Périphrase

femmes en ont été écartées. I. Valorisation de la femme (introduction) « En conséquence » (l.100) connecteur logique « Le sexe supérieur en beauté » (l.100) une périphrase traditionnelle« Comme » (l.100) est une comparaison a valeur de provocation (polémique), une volonté d’égalité physique« Les souffrances maternelles » (l.101) est une périphrase allusive a la grossesse, mise au monde d’un être.« Reconnait et déclare » (l.101-102) et « présence et sous les auspices » (l.102) sont des rythmes binaires

soumis à de fortes tensions A- Le jeu des antithèses -----Le jeu des antithèses Le poème de Baudelaire donne de l'albatros deux visions radicalement opposées : autant l'oiseau en vol est un oiseau majestueux à l'allure souveraine désigné par la périphrase du vers 16 : " les rois de l'azur ", autant lorsqu'il se pose il paraît ridicule : - les " ailes " du vers 7 qualifiés des deux épithètes " grandes " et " blanches " ? " les avirons (vers 8) ; - la beauté du vers 10 ? la laideur du vers 10 ; - du

Mais auprès de Philis on le prit pour l’Aurore, Et l’on crut que Philis était l’astre du jour. Premier quatrain D’emblée, à travers la périphrase "l’Amante de Céphale", se pose le contexte amoureux. L’amante de Céphale, prince Thessalien, désigne Eos, la déesse de l’Aurore, Tétanide soeur d’Hélios, le Soleil, donc l’Aurore elle-même. Cette périphrase est également l’occasion de présenter le monde, l’univers comme animé, personnifié, selon le mode mythologique. Une déesse est aussi un élément

sur laquelle vogue le navire qu’il suit II- Un univers soumis à de fortes tensions -Le jeu des antithèses l'albatros deux visions radicalement opposées : autant l'oiseau en vol est un oiseau majestueux à l'allure souveraine désigné par la périphrase du vers 16 : " les rois de l'azur ", autant lorsqu'il se pose il paraît ridicule : - les " ailes " du vers 7 qualifiés des deux épithètes " grandes " et " blanches " ? " les avirons (vers 8) ; - la beauté du vers 10 ? la laideur du vers 10 ; - du

désigné par le pluriel et au « vos » désignant Philinte, ainsi mis à distance. La périphrase dépréciative des « gens à la mode » témoigne du mépris d’Alceste pour ceux qui sont prêts à sacrifier leur honnêteté pour gagner la sympathie. v.3 Utilisation du verbe « haïr » qui contient une idée négative de rejet et de refus = je n’aime pas v.4-6 : Ces vers explicitent le portrait des « gens à la mode » : nombreuses périphrases + adjectifs qualificatifs connotés péjorativement dans la bouche d’Alceste

fait par la comparaison au père au vers 10 + vers 11 avec rythme ternaire (voir l'allitération) et anaphore de l'adjectif possessif· Phèdre se cache alors par pudeur (elle a honte de son crime, ce qu'elle confirmera plus dans la scène à H) derrière périphrase "filles de Minos" · Puis l'adresse est faite directement à H : "Que faisiez-vous" et H encadre le vers 15, il devient peu à peu le sujet de la tirade, son nom est cité et rime avec "élite" confirmant que les

l'archer et les huées v.14-15. II- Un univers soumis à de fortes tensions - Le poème de Baudelaire donne de l'albatros deux visions radicalement opposées : autant l'oiseau en vol est un oiseau majestueux à l'allure souveraine désigné par la périphrase du v. 16 « les rois de l'azur », autant lorsqu'il se pose il paraît ridicule : les « ailes » du v. 7 qualifiés des deux épithètes « grandes » et « blanches » décrite comme des « avirons » v.8 ; la beauté du v. 10 est désigné par « la laideur

entre l'anecdote et l'allégorie et invite à voir une nouvelle signification du poème. B : Personnification de l'albatros. Les périphrases utilisées pour évoquer l'albatros relèvent de la personnification : prince des nuées ; rois de l'azur = idéalisation du poète par les connotations très positives de ces périphrases. Les albatros sont également désignés par la périphrase : indolents compagnons de voyage, voyageur ailé ou bien encore : infirme qui volait Personnification également par des adjectifs

plusieurs actions à l'imparfait sont perçues comme simultanées. 4°) Les périphrases verbales semi-auxiliaires + infinitif - Périphrases temporelles : aller  futur ; venir de  passé proche ; être sur le point de  imminence. - Périphrases aspectuelles : aspect inchoatif : se mettre à aspect progressif : être en train de aspect terminatif : finir de aspect duratif : ne pas arrêter de, continuer à - Périphrases modales : avec auxiliaires de mode (pouvoir, devoir, savoir, paraître, faire

soumis à de fortes tensions A- Le jeu des antithèses -----Le jeu des antithèses Le poème de Baudelaire donne de l'albatros deux visions radicalement opposées : autant l'oiseau en vol est un oiseau majestueux à l'allure souveraine désigné par la périphrase du vers 16 : " les rois de l'azur ", autant lorsqu'il se pose il paraît ridicule : - les " ailes " du vers 7 qualifiés des deux épithètes " grandes " et " blanches " ? " les avirons (vers 8) ; - la beauté du vers 10 ? la laideur du vers 10 ; - du