Périphrase

la première strophe on peut apercevoir une périphrase : «Ici tomba son corps dégarni de plumage», qui signifie la mer Icarienne, qui porte son nom notamment à cause de sa chute à cet endroit. Par sa substitution elle permet de raconter l’incident produit au-dessus de cette partie de la mer Égée. On peut distinguer une autre périphrase en amorçant la deuxième strophe qui est plus basée sur les figures d’opposition : «d’un esprit glorieux». Cette périphrase remplace le nom de Dédale, père d’Icare, par

région· Eloge du peuple avec les adjectifs « grave et droit » + la périphrase les décrivant « ennemi de l’esclandre » = un peuple travailleur, méritant, digne de respect toutefois il y’a une notion de fatalité dans la périphrase qui fait référence au début du poème)· Samain s’approprie sa terre · Euphémisme « douceur de misère » qui atténue la triste réalité· Allégorie de la Flandre qui est vue de manière méliorative avec la périphrase « ma terre » qui fait référence aux racines du poète(Strophe 5) : 

« havane » & « savane » → exotisme + couleur de la femme « ébène » B) Manière avec laquelle il s'adresse à elle - situation d'énonciation : « je » (écrasé, n'apparaît qu'au vers 5) à une femme évoquée par 7 périphrases → elle prend le dessus, il montre son abolition - périphrases traduisent l'obsession, le polymorphisme → acquiert une dimension magique, la rendant capable de métamorphose : richesse physique + dimension insaisissable (=charme suprême) -témoignage d'une soumission : vers

obligatoire, institution, institut, laïque, préscolaire, secondaire, séminaire, cantine, éducation, internat, conservatoire, cour, école, primaire, pédagogie, pensionnat, classique, externat, académique, admission, etc. Périphrase  : c'est là qu'on apprend, c'est le lieu où l'on passe son adolescence, c'est l’école du passage entre l'enfance et l'âge adulte Proverbes/citation  : « Quand le maître

se traduit essentiellement par des exagérations, des périphrases et des métaphores, pointes . Exagérations : Les précieux vont souvent dans leur expression au-delà de la pensée logique . Ils poussent à l'extrême les comparaisons galantes, ils multiplient les adverbes ( furieusement, terriblement, épouvantablement ...) . Ils feignent de donner une importance disproportionnée à de petites choses et badinent à propos des grandes . Périphrases et métaphores : Les précieux répugnent à désigner un

l'oiseau : symbole de liberté, d'immensité et d'élévation. Albatros : envergure qui en fait un oiseau impressionnant, mais pas dans ce tableau. Tout est donc en contradiction.  Le vers 3 met en lumière le vol paisible et gracieux de l'albatros. Périphrase "compagnons de voyage" révèle une familiarité avec l'oiseau et une certaine fidélité, par ailleurs l'adj. "indolent" signifie étymologiquement "qui ne souffre pas" est une antiphrase prématurée pour désigner l'oiseau et le sort qui lui est réservé

fausse Gloire toujours tyrannique » etc. Les tournures emphatiques « Ȏ insensé celui qui... !  Heureux celui qui... » Multiplicité des procédés d'amplification : périphrases, hyperboles, comparaisons, accumulations (voir ci-dessous) b) Références à la géographie mythologique « Tartare », évocation des Champs Elysées sous forme de périphrase « la douce et pure lumière du séjour des héros » + enfer au pluriel + linéarité de l'espace : le monde des damnés contigu à celui des élus → déplacement horizontal

saurait s’étonner d’y trouver des périphrases, ou d’autres figures de l’atténuation. Dans la mesure où nous avons parlé de refoulement, comment s’étonner que l’objet de ces atténuations soit l’amour, la sexualité, et pour finir, soi-même ? On peut ainsi faire le départ entre les périphrases que l’on dira "classiques", presque lexicalisées, et qui sont le fait de Théramène ("le joug que Thésée a subi tant de fois" v. 60, ou encore Vénus v. 61) et les périphrases ou les atténuations plus neuves, plus

plus, le poète rend compte de son état de « folie » à travers la comparaison « je fus comme fou » au vers 1. De même, nous pouvons retrouver cet état de folie au vers 6 à travers la périphrase hyperbolique « Je voulais me briser le front sur le pavé ». Ici le terme « suicide » est évité au profit d’une périphrase plus imagée qui « fait voir » au lecteur la violence des conséquences psychiques vécues par le poète. De plus, l’allitération des « r » dans « brise le front sur » accentue d’un point

guitare à la main. Au soleil, sous la pluie À midi ou à minuit Il y a tout ce que vous voulez Aux Champs Élysées (périphrase) : Joe Dassin utilise cette périphrase pour dire que beau temps, mauvais temps, à n’importe quel moment de la journée, les champs Élysées sont toujours beaux et qu’il y a toujours quelque chose de nouveau à découvrir. Orchestre à mille cordes (périphrase) : De nos jours on pourrait interpréter le sens du vers comme étant l’orchestre des champs Élysées qui s’y produit