Personnages Portraits Négatifs

lecteur pour pouvoir juger et comprendre une oeuvre. Ainsi il convient de nous demander ici en quoi l'auteur livre en réalité beaucoup plus que le portrait d'une femme résignée au malheur mais bien une vision pessimiste déclinée dans une ambivalence entre explicite et implicite. Il convient donc tout d'abord de voir en quoi Félicité est un personnage qui passe d'illusion à désillusion, puis de s'attarder sur le tableau de la société dépeint ici, et enfin de discuter la possibilité d'un espoir porté

tragi-comédie ?) L’énonciation : qui parle ? (pronoms de la 1°, 3° pers…) A qui ? (tirade, monologue, dialogue) ? La double énonciation (que sait le public que les personnages présents ne savent pas ? Cela peut-il créer un effet d’attente comique / tragique ? Les didascalies (quels renseignements nous donnent-elles sur les personnages, sur l’action) ? Où en est l’intrigue principale ? La scène la fait-elle avancer, rebondir… ? Les champs lexicaux : relever ceux qui dominent uniquement et les

Européens au XVIII eme siècle tout en valorisant Robinson ? Dans une première partie nous étudierons le tableau des marins anglais que nous livre l'extrait , puis nous verrons comment l'auteur généralise ce portrait aux Européens en général .Enfin nous nous concentrerons sur le personnage de Robinson et sur l'image que nous en donne le texte. Dans cet extrait, Tournier nous donne un tableau des marins anglais. Ces marins sont critiqués très violemment et l'on retrouve la description

Enfin, si l’environnement est associé à la création, les personnages le sont tout autant. Balzac, dans son roman, crée le portrait de différents personnages, des descriptions précises et détaillées dont l’usage de la phrénologie et la physiognomonie dominent, qui permettent au lecteur de se représenter le plus finement et précisément possible ces personnages. Dans le deuxième chapitre de La Peau de Chagrin, nous retrouvons le portrait que peint Raphaël de Foedora, la décrivant sous tous les

une certaine popularité. Il travailla pour des mécènes allemands et français (commandes d’illustrations d’ouvrages, des portraits, des décorations…). Toute sa vie d’artiste sera vouée à l’expérimentation de techniques: peintures, lithographies, pointes sèches, gravures sur bois et cuivres, aquarelles, pastels, dessins, sculptures… Ses sujets sont aussi variés : paysages, portraits, squelettes, vampires, têtes de mort… et pour évoquer les différents sentiments tels que la jalousie et l’angoisse, il

et Hector décident de faire une dernière grande promenade en bord de mer et Estelle et Hector sont obligés de se réfugier dans une grotte, surpris par la marée montante, tandis que le mari est resté sur les rochers en hauteurs. Les deux jeunes personnages vont donc devenir intimes pendant que M.Chabre mangera des coquillages à s’en rendre malade. « Neuf mois après son retour à Paris, la belle Mme Chabre accouchait d’un garçon. » M.Chabre n’aurait « jamais pensé que les coquillages eussent une pareille

l’action en Sicile), dans un « palais » (le personnage appartient à la haute noblesse) où séjourne Dom Juan. On apprend que la jeune femme, après avoir été enlevée d’un couvent, puis épousée par Don Juan, vient d’être abandonnée par lui. Sganarelle ôte à Gusman tout espoir que son maître revienne vers Elvire : son départ est bien une trahison de l’engagement qu’il a contracté en se mariant. A cette occasion, il brosse, à sa manière, un portrait (très négatif : blâme et registre épidictique) du grand

inconstance et sa conduite. - La scène 1 de l’acte I constitue un dialogue entre deux valets, où sont présentés, classiquement, l’intrigue et les personnages. Pour autant, elle présente de nombreux caractères originaux et inattendus, à commencer par une ouverture incongrue sur le tabac, avant de présenter un portrait étonnamment critique du personnage principal : Dom Juan. - Nous allons voir tout d’abord en quoi cette première scène est bien une scène d’exposition, mais aussi en quoi elle constitue

Nous sommes dans une scène d’exposition car l’ensemble des vers nous informe sur la situation du personnage v.154, v.156 : personnage épuisé, sur le statut : v.158 : souveraine. J’en déduis donc qu’elle est l’archétype du personnage tragique de haute ligné, petit fille du soleil, souveraine : elle est oppressé entre ce qu’elle est obligé de faire (souveraine) et ce qu’elle ressent. On voit que le personnage est souffrant v.176 : solitude suicidaire et issue d’une famille maudite : ce qui confirme la

c'est-à-dire pendant la crise espagnole. Les couleurs du tableau sont sombres, avec des déclinaisons vert kaki jusqu’à l’orange foncé. Elles évoquent des flammes et de la violence. On voit dans le tableau, un portrait masculin avec des traits arrogants, voir obscène, en partie du au fait que le personnage tire sa langue. On ne voit qu’un seul de ses yeux, mais celui-ci est immense et disproportionné, cependant, on note qu’il est aveugle. La peinture évoque l’angoisse, la mort, la rage et même le pourrissement