Personnalité De Tartuffe

se peigne vaguement ». L’aspect symbolique dans le texte A est donné par la catégorie dans laquelle on peu classer le personnage d’Harpagon. En Harpagon, on peut y voir le vieil homme démodé qui se croit beau et intelligent : on constate cette personnalité chez Harpagon grâce à sa naïveté face à l’ironie de Frosine : (l.15) «  Tu me trouves bien ? ». Dans le texte de Beckett, on retrouve la fonction symbolique dans l’image donnée aux objets que sont la chaussure et le chapeau qui paraissent inquiétant

traduction en effet à l’origine la pièce de Tirso de Molina se nommait l’Abuseur de Séville et le convive de pierre puis elle à fini par être nommé Le Festin de Pierre. Les mises en scène de Dom Juan de Molière. 1664 : Molière met en scène Tartuffe. Dans lequel il critique explicitement le comportement des faux-dévots 17 février 1665 : deuxième représentation de Dom Juan : la scène du pauvre (III, scène 2) dans lequel Dom Juan tente de corrompre un ermite ; est presque entièrement censurée

fut mal accueillie parce que, bien qu’une «grande comédie», elle était écrite en prose. Avait-il renoncé à soumettre le texte aux nécessités de la mesure et de la rime parce qu’il était malade, découragé par la violence des attaques lancées contre “Tartuffe”? Il reste que cette prose rend le texte plus simple, plus clair, plus rapide, plus vivant. À bien étudier le texte, on y décèle de nombreux vers blancs. Pour le comédien Michel Bouquet, « c'est une des proses les plus efficaces qu'on ait jamais

accueillie parce que, bien qu’une «grande comédie», elle était écrite en prose. Molière avait-il renoncé à soumettre le texte aux nécessités de la mesure et de la rime parce qu’il était malade, découragé par la violence des attaques lancées contre “Tartuffe”? Il reste que cette prose rend le texte plus simple, plus clair, plus rapide, plus vivant. À bien étudier le texte, on y décèle de nombreux vers blancs. Pour le comédien Michel Bouquet, «c'est une des proses les plus efficaces qu'on ait jamais

Molière ne s’est pas contenté dans L’Avare de mettre bout à bout des idées empruntées à d’autres. Bien au contraire : pour créer une pièce cohérente et divertissante, pour donner une unité à sa comédie, il a dû dominer ses sources, les marquer de sa personnalité, d’éléments autobiographiques et les adapter aux réalités de son siècle. L’actualité de l’époque Les nouveaux riches Dans L’Avare, Harpagon est un bourgeois enrichi. Cette classification correspond au paysage social d’un XVIIe siècle où la bourgeoisie

communs. De manière comique, il décrit deux hommes se prenant pour ce qu’ils ne sont pas, c'est-à-dire des personnes de qualité. Se croyant au-dessus de tout le monde et se donnant un air, Dorante et M. Jourdain, ridiculisent les gens qui changent de personnalité afin d'entrer dans les critères de sélection de la société. Exagérant leurs défauts tels que la vanité, la malhonnêteté, la flatterie et la manipulation, Molière dénonce l'hypocrisie et montre la vraie nature de ces deux personnages. Tout ceci

c’est la pièce Les Précieuses ridicules(1659). Le roi Louis XIV protège à partir de ce moment la troupe de Molière, et elle s’installe au Palais-Royal. Dans ce moment là, il est célèbre comme auteur, acteur et directeur de troupe. En 1664, sa pièce Tartuffe, où il critique l’hypocrisie des religieux, fait scandale et elle est interdite par le roi. En 1665, Dom Juan est censuré aussi, même si elle a du succès. Cependant, Molière continue d’obtenir la faveur du roi. Viennent après les pièces Le Misanthrope

joué, tournait en ridicule les travers humains. Il le dit lui-même  : « On veut bien être méchant, mais on ne veut pas être ridicule ». Il s'est ainsi moqué entre autres du pédantisme dans Les Femmes savantes, des faux dévots et des crédules dans Tartuffe ou l'Imposteur, de l'avarice dans L'Avare et des faux savants - il y vise en particulier la médecine - dans Le Malade imaginaire. ▪ La tragédie tente, elle aussi, de corriger les vices des hommes, ou plutôt leurs passions, de deux manières :

se trouve au contact des réalités du monde, voyage à la recherche de la connaissance et acquiert un enseignement qui fonde sa philosophie. Les événements ont toujours une fonction pour l’apprentissage du héros qui construit progressivement sa personnalité. L’énonciateur/l’énonciataire,  récit/discours ? Apprécier les indices d’énonciation. L’éloignement pris par rapport à la situation d’énonciation. Combien de récits abrite l’œuvre ? Et combien de narrateurs prennent la parole ? Qui parle ?  Quel

–Corneille, Le Cid ; Médée ; L'Illusion comique,Horace –Giraudoux, La guerre de Troie n'aura pas lieu ; Amphitryon 38 ; Electre. –Hugo, Hernani ; Ruy blas. –Ionesco, Rhinocéros ; La Cantatrice chauve. –Molière, Le Bourgeois gentilhomme ; l'Avare ; Tartuffe (à lire en priorité pour les 1° ES) ; le Malade imaginaire ; Dom Juan ; Le Misanthrope. –Musset, On ne badine pas avec l'amour. –Racine, Andromaque ; Britannicus ; Phèdre. –Sartre, Huis- clos. –Shakespeare, Roméo et Juliette; Hamlet; Macbeth; Othello