Personnalité De Tartuffe

faire une bonne première impression, de bien présenter. Une personne bien habillée aura d’autant plus de chance de se faire engager qu’une personne ne l’étant pas. Ce phénomène existe depuis longtemps, il est révélateur d’une petite partie de notre personnalité. Cependant, pour rester dans le cas d’un entretien d’embauches, une personne moins compétentes pourrait se voir attribuer le poste car il présentait mieux que l’autre, beaucoup plus compétentes. Voici une grande faille de l’apparence. On parait

de Dom Juan, Molière a placé un personnage drôle, lâche et maladroit, incapable de tenir un raisonnement cohérent (III, 1 et V, 2) et qui mêle religion et superstition (le Ciel et le « moine bourru »). Les dévots, échaudés une première fois avec Tartuffe, ont été choqués de voir la cause divine aussi mal défendue. Les autres personnages Comme dans la plupart des comédies de Molière, les personnages ont des statuts sociaux différents, et donc des registres de langage différents. L’éventail des

Le personnage de Julien Sorel, esthétiques et valeurs.Le personnage de Julien Sorel parcourt la société de 1830 et en découvre les rouages, des réalités derrière des apparences brillantes.I. Un jeune de son temps :Tout d’abord, Julien est un jeune homme de son époque : en effet, tous les écrivains de cette génération évoqueront les expériences et les désillusions de cette jeunesse sans chef et tourmentée. Elle est née pendant les grandes batailles napoléoniennes et s’est construite

Boisrobert, Molière réussit à en faire un tableau de son époque, représentant une riche famille bourgeoise du 17è siècle. L’œuvre qui à son époque n’avait pas été bien accueillie est aujourd’hui la deuxième comédie Française la plus représentée après Le Tartuffe. Les personnages : Harpagon : Riche bourgeois veuf, père de Cléante et d’Elise. C’est un vieil homme avare, tyrannique et paranoïaque, qui ne vit que pour l’argent. Il ne donne à ses enfants que le minimum pour vivre et il est obnubilé par

tentera à divers reprise de s'initier à la tragédie mais sans succès, il excelle dans la mise en scène de comédie où il critique férocement les travers de la société. D'ailleurs certaines de ses oeuvres seront interdites de représentation tel que « Tartuffe » où il montre l’hypocrisie des faux dévots ou bien « Dom Juan » qui fera également scandale. Molière continuera cependant de bénéficier de la faveur du roi, avant de la perdre face à Lully, sa dernière pièce « Le malade imaginaire » ne sera même

hait tous les hommes et conçoit même une effroyable haine pour la nature humaine ». Dès les premiers vers, Le Misanthrope nous donne sa position « l’ami du genre humain n’est point du tout mon fait. » Cette phrase à elle seule en dit assez sur la personnalité d’Alceste. Il est tellement désenchanté qu’il décide de fuir la société. Il ne peut se résoudre à oublier sa désillusion. Cela est dû au fait qu’il refuse catégoriquement le changement. Il ne veut pas accepter cette nouvelle société avec ses nouveaux

Fénelon. Mais il y a des excès : la compagnie du Saint-Sacrement devient un groupe de pression : elle sera dissoute en 1665. C'est le renouveau du catholicisme à cette époque qui est à l'origine des multiples attaques contre Molière, pour ses pièces Tartuffe et Dom Juan, on le soupçonne d'impiété, de libertinage et son mariage avec la sœur de son ancienne maîtresse, qui a de plus vingt ans de moins que lui, donne un motif de reproche supplémentaire à ses détracteurs. D'autres auteurs sont également critiqués

Correction du commentaire littéraire n° 1 Dom Juan de Molière Acte I, scène 2 A la fin de l’année 1664, Molière dont le Tartuffe vient d’être censuré décide d’écrire Dom Juan. Il reprend un mythe qui parcourt toute l’Europe, un mythe bien connu du public du XVIIème siècle. En cette période classique, règne de « l’honnête homme », le personnage espagnol excessif intéresse le moraliste qu’est Molière mais, non sans ambiguïté, le dramaturge en fait également un porte-parole des esprits

sensibles pour la majeure partie de la population. Certains ont jugé que les propos étaient blessants, c’est d’ailleurs pour cela qu’a été institué le Conseil Audio Visuel afin d’éviter des débordements. Il en est de même pour Molière, qui avec Le Tartuffe a été censuré pour avoir heurté les dévots ou encore Dom Juan, du même auteur, dont la révolte des personnages et les pirouettes ont scandalisé bien des contemporains. Mais c’est aussi parce que cela peut discréditer une idée : elle risque de ne

époque mais en expliquant ses buts, ses convictions et ses raisonnements. Réception[modifier] Frontispice des Œuvres de Molière (éd. de 1734) Cette pièce de Molière suscita à sa création une levée de boucliers des dévots. Écrite juste après Tartuffe, où Molière fustigeait l'hypocrisie de certains dévots, elle semble aux yeux des religieux de l'époque une apologie du libertinage. Le seul défenseur de la religion semble être Sganarelle, pour lequel la religion ressemble fort à de la superstition