Personnification

L'effet de mort est aussi renforcé par l'accumulation « tordus, vautrés, éclairés de lueurs jaunâtres » l.80-81 Dans cette partie on trouve aussi deux personnification. « l'abat-jour jetait sur eux » l.81 qui montre que la lampe jette de la lumière. Cela donne l'impression au lecteur d’être dans un environnement d'horreur. Et aussi la personnification « les écrasant de regard lourds » l.84 b) Un ménage voué a l'échec: une fatalité inesquivable Contraste entre le ménages de Suzanne et Olivier

parti: A premiere vue, le texte présente un jeune soldat (v.5) dormant tranquillement dans la nature. Le premier quatrain evoque "le val" (titre) comme un lieu paisible et joyeux. La riviere " chante" (v.1), la montagne est "fière" (v.3), ces personnifications donnent l'impression d'un univers paradisiaque et d'une atmosphere joyeuse et paisible. Le rythme du sonnet donne une atmosphere calme, sereine et sans bruit: on entend l'eau coulé et la riviere ''chanté'' .le poete insiste sur la clarté grace

que cette personne à consommer trop de vin. De ce fait, la personnification du « tourbillon intelligent » (v.10) exprime clairement que les anges ne sont plus dans un état pur et lucide. Le tourbillon représente la rapidité des évènements, la violence des effets de l’alcool. À cet égard, l’intelligence des amants n’est plus présente. Ils vivent dans un : « délire parallèle » (v.11), dans la même folie de l’ivresse. Cette personnification appui leur alcoolisme. Ils sont « sœur[s] » (v.12), c’est pourquoi

quête amoureuse. Rimbaud poursuivant une femme, personnifiée par l’aube. - Personnification : « son immense corps » « déesse » => Le poète ne cours plus après l’aube mais après une femme. - « la première entreprise fut une fleur qui me dit son nom » fleur = jeune fille. Et si elle lui dit son nom c’est qu’il a réussit à la connaître un peu mieux ( à la déflorer ? xD) - « Le wasserfall blond » est une personnification de la chute d’eau en femme à la chevelure blonde qui s’échevelle. - « Je

cela. Le magasin leur tire l'argent des poches, les mènes à la baguette.Elle deviennent iraisonnables. En effet, "la machine surchauffée, menait la danse des clientes et leur tirait l'argent de la chair". Il emploie d'ailleurs ici une personnification, la personnification du magasin. Cette chaleur est pour ainsi dire insoutenable on ressentirait presque "l'étouffement du calorifère". Cependant, cette chaleur n'est pas seulement négative, elle comporte aussi quelques aspects positifs: elle donne une certaine

comme ‘’Sinistre’’, ‘’effrayant’’, ‘’menace’, ’douleur’’, ‘’dévore’’,’’ gouffre’’ du à cela il nous montre un poème triste, il exprime aussi sa souffrance intérieur puis encore cette comparaison du monstre avec le temps. De plus il utilise la personnification « Horloge, dieu sinistre », « dont le doigt nous menace et nous dit […] » Il considère l'horloge comme une personne puissante (dieu), et cette horloge menace le lecteur en le pointant du doigt. Nous retrouvons le champ lexical de l’horlogerie

certaine majesté, notamment par la comparaison hyperbolique de la « bâtisse vieille comme le monde » ou la personnification de la roue du moulin que nous verrons en détail plus tard. Le moulin est donc bien au centre de la description et nous verrons

fabulistes ont recours à la personnification de personnes, via l'utilisation des animaux. Lors de l'époque de l'épanouissement de la fable, l'époque de Jean de la Fontaine au XVIIème siècle, il y avait de nombreuses injustices sociales dans le régime de Louis XIV. Afin de les critiquer en évitant la censure qui sévissait à l'époque, les fabulistes ont eut recours a la personnification des personnalités cibles de leurs critiques par des animaux. Cette personnification permet de développer des concepts

mention de la « robe » (v. 3), reprise par le détail des « plis de sa robe » (v. 5), renvoie aux vetements de la femme. De même, le choix du terme « teint » (v. 6) désigne explicitement une femme puisqu’il s’agit d’une particularité humaine.  La personnification de la fleur « elle a dessus la place » (v. 8), « ses beautés laissé choir » (v. 9), donne à la fleur des attitudes humaines, favorisant le rapprochement entre la femme et la fleur. Le poète entreprend donc une métaphore filée des beautés de

Manon DELAFOSSE1ère 5 DM Facultatif de Français Le XIXe siècle est marqué par de nombreux changements de régimes politiques. Cette forte instabilité politique donne lieu à une jeunesse désillusionnée, cette époque est appelée le « Mal du siècle ». En effet elle révèle d’une profonde inquiétude de la jeunesse face à une société en crise. Dans cette deuxième moitié du XIX e siècle nait alors un nouveau mouvement littéraire appelé le symbolisme,