Personnification

 La Fontaine, poète moraliste du 17ème siècle, est connu pour sa parfaite utilisation de la personnification animalière pour parler de la société… et, étant un auteur de constat, la critiquer. En effet, pour éviter la censure de ses œuvres, la Fontaine doit dissimuler sa critique de la société, société fondée sur une hiérarchie rigide, renforcée par le pouvoir autoritaire. Pour ce fait, il utilise la symbolique des animaux. C’est avec ce système de dissimulation de la critique que La Fontaine a

spleen intérieur Et que de l’horizon embrassant tout le cercle - aggravation, ajout (« et ») - = « et quand le ciel, embrassant tout le cercle de l’horizon, nous verse... » - horizon bouché : sans avenir, étouffement - cercle vicieux, cerné - personnification du ciel qui « embrasse le cercle de l’horizon » : nature vivante et étouffante qui agit sur le poète Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; - « il nous » : sujet « le ciel », COD « nous » : sujet collectif, « je » universel -

absolu Repérage des illustrations Procédé d’écriture Métaphore La magnificence du lieu témoigne de la passion amoureuse. Cet amour échappe aux contraintes de la réalité. C’est un amour sensuel et raffiné, comme l’évoque la chambre. Personnification Interprétation Preuves textuelles Explication de l’illustration Éléments comparés Sens de la comparaison « Les soleils mouillés / de ciels brouillés / Pour mon esprit ont les charmes / Si mystérieux / De tes traîtres yeux

quête amoureuse. Rimbaud poursuivant une femme, personnifiée par l’aube. - Personnification : « son immense corps » « déesse » => Le poète ne cours plus après l’aube mais après une femme. - « la première entreprise fut une fleur qui me dit son nom » fleur = jeune fille. Et si elle lui dit son nom c’est qu’il a réussit à la connaître un peu mieux ( à la déflorer ? xD) - « Le wasserfall blond » est une personnification de la chute d’eau en femme à la chevelure blonde qui s’échevelle. - « Je

fantastique « sabbat » l.42 : référence à Faust sur le Brocken, scène de sorcières « comme par magie » l.55 « merveilles » l.25 et leurs description, mise en scène (utilisation du passé simple l.33 « s’illuminèrent » l.35 « s’agitèrent ») * Personnification des « merveilles » « les paupières des personnages représentés » l.37 « frémir » l.39 2) Un homme entre la vie et la mort * Champ lexical de la mort « mourir » l.29 ; « silence » l.51 ; « brisé » l.35 ; « errer » l.30 ; « âme » l

"mâts", "marine", "tamariniers", "mariniers"). Le m et le n sont des consonnes douces et continues : mmmmmm, nnnnnn. Cela emplifie de nouveau l’univers sensible. 3. Les figures de style : Personnification : « Qu’éblouissent les feux » vers 4. Personnification : « Ile paresseuse » vers 5. Personnification : « voiles et de mâts » « Encor tout fatigués par… » vers 11. ?? Parallélisme : « Des hommes dont le corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. » vers

du désordre total qui règne (ici, on voit quelque chose que normalement on entend : la respiration du cheval agonisant est seulement perceptible visuellement). II – La métamorphose poétique de la Lison a) La personnification de la machine - Le texte repose sur une personnification. Au début, verbes à l'infinitif (se dresser, monter les uns sur les autres, retomber) qui pourraient s'utiliser normalemeny pour des êtres vivants, et non pour des machines ; le cri d'agonie (l. 8-9) pourrait être

de même que…), ex : « La musique souvent me prend comme une mer » (Baudelaire). Métaphore : met en relation deux termes (un comparant et un comparé) mais sans outil de comparaison, ex : « L’amour n’est que le roman du cœur » (Beaumarchais). Personnification : est une métaphore qui accorde des caractéristiques humaines à un objet, à un animal ou à un être inanimé, ex : « Venise pour le bal s’habille » (Musset) Animalisation : consiste à attribuer des caractéristiques animales à un être humain, ex

des boutiques obscures, basses, écrasées". Il y a une personnification "laissant échapper des souffles froids de caveau". Ensuite on nous parle des différents magasin "la des bouquinistes, des marchants de jouets d'enfants, des cartonniers". Il fait une description détaillés ensuite de l'intérieur du magasin et ensuite a l'extérieur. Au quatrième paragraphe il nous décrit l'autre côté du passage le côté droit. Il y a une personnification sur les planches "le long de minces planches peintes d'une

est étroit, dangereux, rocheux et même montagneux. "Les échos de la montagne répétèrent" qui est une personnification signifiant que l'endroit était vaste. Nous avons aussi une comparaison avec "immobiles comme la montagne", l'auteur veut dire par là que les barbares étaient très serrés dans l'endroit où ils s'étaient réfugiés (même pour dormir). b) Le Ciel : L'auteur utilise les personnifications "la nuit desendait" et "de larges bandes rouges rayaient le ciel à l'Occident" pour dire que le soleil