Personnification

attitudes différentes lors de chaque rencontre à l'intérieur du merveilleux ( fée ) cela met le lecteur dans une atmosphère plaisante . Tandis que pour la Fontaine il est très important de divertir ses lecteurs avant de l'instruire à travers ses personnifications , allégories.....Afin que les lecteurs se distrait des fables " avec plaisir ".  3.Argumentation indirect  L'apologue à pour fonction d'instruire et de divertir ses lecteurs pour leur enseigner des morales que ce soit jeunes publics ou

ne peuvent t'atteindre » . De plus , la dernière strophe repose sur une personnification des mots qui interprètent cet amour impossible mais fort comme le vers « Il semble que ta voix les répand sur mon cœur;que je les vois brûler à travers ton sourire » Cet amour fusinionel mais interdit laisse place à une incapacité , de la part de cette femme , à oublier son amant malgré son devoir d'épouse. En effet la personnification: « Elle a gardé ta voix qui m'appelle souvent » faisant allusion à sa mémoire

rare ponctuation, (prose intervient à la fin et au milieu(à l'hémistiche), qui fait un rythme particulier) Figures de style : -« La campagne accroupie » = personnification, convoi ralentit, accroupie → référence à la nuit : sombre. Côté mystérieux, paysage animé, atmosphère mystérieuse du voyage. -  « S'immobilise en grinçant » = personnification. -Présence de sons auditifs dans le texte - « arcade sourcilière » : précision du détail, person. du brigand - côté voyage initiatique, éloge du voyage même

1) Personnification de la douleur * Le premier quatrain s'ouvre sur une personnification de la douleur à qui le poète s'adresse avec familiarité et complicité, il est désormais indissociable de la souffrance qui hante tout son être, ce qui justifie le possessif "Ma" pour évoquer sa douleur : "Ma Douleur". Le couple Douleur/Poète est encore accentué par l'apostrophe "Ô" ainsi que par la majuscule du nom "Douleur". Les impératifs sont essentiels à la mise en avant de la personnification "sois

développer ) ( II ) ( a. ) Dans cette fable de La Fontaine, on peut s’apercevoir de la critique qui est implicite. L’auteur parvient a cette critique en utilisant le principe de transpositions. Tout d’abord grâce a des personnifications comme pour Le lion. Grâce au personnification, on le perçoit comme le Roi « Sa Majesté Lionne » ( v. 1 ) Le lion possède un palais ( v.14 ), un sceau ( v. 7 ) et des député ( v.3 ) et courtisans. Puis, il fait aussi une fête, en invitant tout ses confrères dans son

« matin » = espoir, lumière + « crépuscule » = fin, sombre avant le début du poème, le ton est donné _ Parallélisme avec « Les Fleurs du Mal » et « Spleen et Idéal » gout de Baudelaire pour les paradoxes b) Une atmosphère sinistre _ Personnifications « le vent du matin soufflait » (2) « aurore grelottante » (25) atmosphère sinistre marqué par le froid  _ Métaphore « mer de brouillard » (21) atmosphère caractérisé aussi par la brume  _ Bruits sinistre « la Diane chantait » (1) « le

poème de Lamartine rend-il compte de la souffrance du poète ? Lamartine prend la nature à témoin des souffrances qu’il subit de la perte de l’être cher et dont le responsable est le temps. Lamartine prend la nature à témoin en faisant une personnification du lac, et le lac est le destinataire de la parole du poète comme à la strophe 2 où il l’interpelle en lui disant « regarde ».L’énonciateur demande au lac de prendre conscience qu’il est venu seul mais que cette solitude n’étais pas prévu, qu’il

de Paris affaiblie puis l’expression de l’amour et de la confiance du poète pour sa ville, et enfin l’appel à la résistance. I. La description de Paris a) La personnification de Paris * Ville mise en valeur : anaphore vers à 1 à 4 + apostrophe : s’adresse directement à la ville * Personnification confondu avec ses habitants : vocabulaire des sensations : « froid », « faim », « fatigue », des sentiments : « sagesse », « folie », « malheureux » * Silhouette et activités

élite) 2. Qui sont réellement l'araignée et l'ortie ? De qui parle le poète ? trois hypothèses de lecture : - personnifications → strophe 3. animalisation ortie - couleuvre (inoffensif) → atténuation agressivité + personnification araignée – gueux (apparence humaine) → hommage aux marginaux → défendre, tel un porte-parole les + faibles & prosopopée (C° poème) → personnification + discours direct => A+O parlent, en vie, murmurent (exclus murmurent - poète = relayeur de paroles - Strophe 3 :

doigt nous menace et nous dit » qui la personnifie. La caractérisation par les adjectifs négatifs énumérés (« sinistre, effrayant, impassible ») renforce cette première impression qui sera confirmée par la prise de parole de l’horloge. Cette personnification de l’horloge se fait même prosopopée (figure de style employée lorsque l’on donne la parole à un absent, une abstraction ou un inanimée) dès le vers suivant puisque l’horloge parle au discours direct comme le suppose l’ouverture des guillemets