Perte D Humanité

confidences à l'écrivain, l'entraînant dans sa détresse, lui racontant une folle journée de rébellion vécue deux ans plus tôt, en réaction au harcèlement continuel de son mari. La plus belle journée de toute son existence, mais aussi le début de sa perte. Récit poignant d'une émancipation féminine, L'amour et les forêts est un texte fascinant, où la volonté d'être libre se dresse contre l'avilissement. Joy Sorman, "La peau de l'ours": Le narrateur, hybride monstrueux né de l'accouplement d'une femme

texte de Flaubert, reste « béant » après l’assassinat de Dussardier qui n’a que ces vains mots « Vive la République ! » face à l’épée de Sénécal. Cripure, chétif, pour se mesurer à la brusquerie des soldats, exprime sa colère, alors qu’une simple perte de binocle suffit à l’arrêter. Le Clézio emprisonne Jean et Miriam dans le cinéma. Miriam, « terrifiée », ne peut rien contre les réactions insensibles de la foule. Les héros sont tous témoins et la violence est ainsi plus vibrante. Mais leur

tragédie, genre théâtral en déclin après son apogée au XVIIème siècle. Ses personnages ne sont pas des héros qui cherchent à affirmer leur liberté, à assumer un destin exceptionnel. Tout est nié : leur héroïsme, leur libre arbitre mais c’est de la perte de sens et de repère que naît le tragique au XXème siècle. III) La mise en scène de l’universelle solitude 1. Le jeu sur l’illusion théâtrale Mais au-delà de cette parodie de dialogue philosophique, cet extrait reste un dialogue de théâtre

lui-même. Ligne 30, une antithèse déstabilisante souligne sa passivité et sa complaisance dans l’oisiveté : « vide plein de promesses dont tu n’attends rien » l 30 : en général on attend beaucoup des promesses. L’oxymore du « vide plein » souligne la perte de repères habituels. Le parallélisme : « sans gaité et sans tristesse, sans avenir et sans passé » indique la disparition du ressenti et de la projection dans le futur. La phrase finale, une énumération composée de comparaisons, assène son dernier

perpétuaient les humanités (culture grecque et latine) vont fuir et être attirer par Rome. On redécouvre en Italie la culture et littérature Antique. Cet engouement se diffuse à l’E : - la FR au 16e, François 1er encourage ce mouvement en faisant venir des intell et artiste, il met en place le mécénat. ⇨ humanisme de la Renaissance = mouv intell et artistique E du retour aux sources du savoir occ, càd de la culture Antique. ⇨ Humanisme = - cf. humanité, culture litté qui

nécessaire. But : améliorer la conversation, convaincre ses contemporains (destinataires). Procédés : constat au début. Il cherche donc à résoudre le Pb, les solutions (ne pas interrompre l’autre, écouter ceux qui parlent, faire preuve d’abnégation (humanité), adapter la conversation au contexte, ne pas imposer son idée aux autres, éviter l’égocentrisme, faire croire que les idées ne sont pas de soi, pas ê trop péremptoire, ne pas se croire supérieur, ne pas blesser l’amour propre de l’interlocuteur…)

tribu amérindiennes comme en 1963 où il s'est insérré au sein de la tribu Guarini puis Guyaki durant plus de dix ans. Ces voyages lui permettront d'écrire sur les rites d'initiation, la fonction de chef et la guerre. Sa passion était d'interroger une humanité dont il cherchait à restituer l'interrogation propre, constitutive de son état social. L'extrait étudié est le premier ouvrage de l'auteur où il montre sa vision de la politique au sein de l'antropologie puis on a aussi l'essentiel du contenue de

homme, Jean, qui renonce volontairement à son humanité en se transformant en rhinocéros : « […] pourquoi ne pas être un rhinocéros ? J'aime les changements. » C'est un animal monstrueux par sa taille, par sa violence destructrice, symbolisée par sa corne, « il fonce vers Bérenger tête baissée et menace de le piétiner ». L'abandon des vêtements évoque la régression animale tandis que le jeu de mots « vous semblez vraiment perdre la tête » suggère la perte de toute raison en même temps que de toute apparence

est une métaphore de la bête qui habite l’homme ou le coté bestial caché dans tous ce qui s’apparente comme « civilisé ». Car Victor Hugo fait souvent référence à l’animal humain qui est à la fois ce qui permet survie de l’homme et ce qui cause sa perte. Ce principe-là ne s’applique pas seulement sur Ursus, il est également valable pour tous les personnages du roman. Par exemple quand Gwynplaine a été réveillé, et par la même occasion sauvé de la mort, par la faim qui n’avait cessé de le tenailler

développent une maladie « sociale » car ces conditions sociales réunissent la prospérité et le plus profond ennui. Théodule Ribot et la notion d'anhédonie dans La psychologie des sentiments, c'est une incapacité à éprouver du plaisir, cela entraîne la perte de volonté. Les amphétamines recréent du plaisir et donc de la volonté, pour dépasser l'anhédonie. Myerson oppose donc psychanalyse de psychotropes, quant à la rapidité du traitement. Charlie Parker ouvre les inhalateurs de Benzédrine pour en