Pessimisme Fables

Texte n°5: Les fables de la Fontaine Livre IX, fable IX : L‘huître et les plaideurs. Introduction: La Fontaine porte un regard impitoyable sur son temps. Il s’en prend ici à la justice qui parfois ruine ceux qui en n’ont recours. Courte fable hétérométrique, satire de la justice. Nous allons voir comment cet apologue séduit le lecteur par un récit dynamique puis comment elle l’instruit en se prenant à une justice injuste et enfin que les plaideurs ne respectent guère les règles religieuses

« TOUTE LA DIVERSITE DONT J’ETAIS CAPABLE » LIVRE SEPTIEME Second recueil de Fables présenté au public par La Fontaine ; avec un « tout un peu différent » de celui donné aux premières (différence des sujets, plus de variété dans l’Ouvrage). Les effets de style diffèrent de ceux d’Esope pour ne pas tomber dans des répétitions (« le nombre de ces traits n’est pas infini »). Différents enrichissements, étendue des circonstances des récits etc. viendraient pour la plus grande partie de Pilpay sage

qui meurt. • Le dénouement met un point final à l'histoire, dont le lecteur peut imaginer la suite (le bonheur, les enfants), et permet d'annoncer sa morale (les méchants sont punis, les bons récompensés). 4. La morale de l'histoire • Comme les fables de La Fontaine, les contes de Perrault sont assortis d'une moralité, sous la forme d'un petit poème expliquant quelle leçon le lecteur peut tirer du conte. La moralité du Petit Poucet, par exemple, précise que ce n'est pas parce qu'un enfant est

de l’être humain réel, -dégage la moralité à retenir mais n’est pas forcément écrite, souvent multiples et se place indifféremment par rapport au récit. -réunit la fiction et la réalité. -elle désigne un vainqueur ou un perdant, comme dans les fables de La Fontaine -présente plusieurs thèmes comme la nature (les paysages, les animaux, aspects réalistes aspects imaginaires), le monde des Hommes, la vie en société, l’amour et l’amitié, la politique, le pouvoir, les qualités et les défauts des humains

L’apprentissage de la cruauté. Suivez les enfants apprenant leurs fables, et vous verrez que, quand ils sont en état d’en faire l’application, ils en font presque toujours une contraire à l’intention de l’auteur, et qu’au lieu de s’observer sur le défaut dont on les veut guérir ou préserver, ils penchent à aimer le vice avec lequel on tire parti des défauts des autres. Dans la fable précédente, les enfants se moquent du corbeau, mais ils s’affectionnent tous au renard; dans la fable qui

« Éloge du Livre de La Fontaine les Fables » Le livre les Fables de Jean de la Fontaine et composé de douze recueils, qui sont très poétique et agréable à lire. Les recueils n'apparurent pas tous en même temps. A l’exemple du premier recueil qui apparaît en 1668 et du deuxième qui apparaît dix ans plus tard grâce au succès de ce dernier. Je ne conçois qu'une manière d'apprendre les contraintes et les merveilles de la vie, ce qu'il faut faire et s'abstenir de faire a l'exemple de la fable de

une émotion. Ce type de littérature est un moyen efficace pour plaire au lecteur. Tout en lisant ou en écoutant l'histoire, il va être divertit car les adultes comme les enfants ont besoin de s'amuser, de se divertir. Par exemple dans Le Pouvoir des Fables de La Fontaine, l'Orateur Grec essaie de prévenir son peuple face à un danger mais le peuple ne l'écoute pas. Le discours direct n'intéresse pas la foule. Mais quand l'Orateur passe au discours indirect par le biais de la fable de Cérès, tout le public

plus critique et plus ouvert. C’est le cas de la poésie didactique qui vise à enseigner quelque chose au lecteur. A travers ces poèmes se cachent souvent des moraux ou encore une dénonciation de l’époque . Les fables de La Fontaine illustrent bien la poésie didactique. La plupart de ces fables sont satiriques et mise en scène par des animaux. En effet, La Fontaine insiste sur ses intentions morales: « je me sers d'animaux pour instruire les hommes. ». Dans « Le lion et le moucheron », La Fontaine critique

Introduction Nous avons tous appris à l’école primaire des fables de La Fontaine pour l’originalité des récits, le caractère plaisant du monde animal mis en scène et le brio du style. Aujourd’hui, nous reconnaissons à juste titre les talents de ce poète en nous intéressant à la portée morale de ses Fables en tant que modèles parfaits de l’apologue. Il nous est impossible d’étudier des fables en dissociant la forme (« le corps ») du fond (« l’âme »). Ces deux critères sont complémentaires

mythe alors qu’elle est en fait un récit mettant la plupart du temps en scène des animaux. Dans Le dictionnaire des genres littéraires (Encyclopaedia Universalis), Marc Soriano écrit : « Sous cet éclairage [fonction, description, morphologie], les fables sont inséparables des contes. Il s’agit de formes d’art spécifiques qui viennent d’un lointain passé et qui ont un mode d’existence essentiellement oral, par l’intermédiaire de conteurs, spécialisés ou non, qui n’ont pas le statut de créateurs, mais