Peut On Critiquer La Démocratie

philo permet de trouV un accord dur le sens des mots pr éviter la violence Platon : philo = recherche d’une vériT, de quelque chose qui mette d’accord b)- Deux inventions majeures ds l’antiquité grecque (VIe et Ve av JC) La MATHÉMATIQUE et la DÉMOCRATIE La Mathématique si la math = calculs uniquement, —> prquoi la philo naît à ce moment là ? car calculs existent dep des aNées Or math : pensée par raisonnement à partir de déf. abstraites av. , calcul utilisé pr raisons pratiques —> résolut°

Martens L’école peut être démocratique 6TTB L’école est marquée d’inégalités et suit toujours les traditions. Et donc n’est pas réellement démocratique. Hors Joëlle Milquet et son équipe s’efforcent de trouver des nouveaux moyens pour changer ses traditions, comme en instaurant des cours de Rien. L’enseignement a donc certains points démocratiques mais aussi beaucoup de points démocratiques. En voilà juste trois raisons. Premièrement, la plupart des écoles poussent à la démocratie. Dans une grande

MotivationsFin des absolutismesLa démocratie représentative est présentée comme une alternative au despotisme par les philosophes des lumières.Opposition à la démocratie directeLa démocratie représentative s’oppose également à la démocratie directe dans laquelle le peuple prend lui-même les décisions.Pour certains auteurs, elle serait plus adaptée aux hommes modernes que, par exemple, la démocratie athénienne. C'est ainsi que pour Benjamin Constant la démocratie représentative permet au plus grand

Sujet : « La démocratie athénienne peut-elle passer à nos yeux pour un modèle » Introduction Le régime démocratique mis en place à Athènes à partir des réformes de Clisthène (fin du VIe siècle avant notre ère) n’est peut-être qu’une parenthèse dans l’Histoire. Malgré les efforts des Athéniens, sa diffusion est restée limitée au sein du monde grec. En outre, l’indépendance d’Athènes prenant fin avec l’avènement de l’empire macédonien (fin du IVe siècle), il n’a duré qu’à peine deux siècles ; encore

une société de plus en plus morose et méfiante depuis le début de la crise, notamment envers l’Union Européenne. Elle montre également que la majorité des français sont persuadés que la démocratie marche mal et que les représentants politiques ne se soucient pas de ce qu’ils pensent. Il apparaît que la démocratie est une préoccupation importante chez les citoyens. Le déficit démocratique est une notion principalement invoquée pour faire valoir que l'Union européenne et ses instances souffrent d'un

de 4000 ans, la démocratie est le système politique en vigueur dans la majorité des pays « développés » et, même si elle n'en a que le nom, dans la majorité des pays du globe. Étymologiquement, elle vient de Demos, le peuple, et kratos, le pouvoir, littéralement le pouvoir par le peuple. C'est l'idée que le peuple peut et doit se gouverner lui-même, qu'il ne doit pas laisser un despote local prendre les décisions pour lui. A la différence de la démocratie grecque, nos démocraties contemporaines sont

maghrébines a remporté le premier prix du journal Le Monde de la recherche universitaire en 2001. Il a également vécu en Égypte et en Tunisie, ses travaux de recherches portent sur le Maghreb contemporain. Il a publié plusieurs publications : Maghreb : La démocratie impossible (Fayard, 2004), Histoire du Maroc depuis l'indépendance (La Découverte, 2002), Formation des élites marocaines (La Découverte, 2002), École, élite et pouvoir (Alizée, 2002) : la thèse sociale de l'auteur, Le Maroc en transition (La Découverte

impératif). Cette théorie a néanmoins été critiquée par Rousseau (Contrat social, 1762), partisan de la souveraineté populaire et de la démocratie directe. La démocratie que Rousseau dessine dans le Contrat social confie le pouvoir au peuple souverain et fait des individus à la fois des citoyens et des sujets. Ce gouvernement en apparence assez proche de la démocratie athénienne du Ve Siècle avant J.C. commande que le peuple gouverne, par lui-même et pour lui-même. De la révolution jusqu’à la Constitution de

l'on retrouvera assez précisément dans le livre Nous, Citoyens d'Europe ? puisque dans son étude il mêle constamment connaissance politique et supra-nationale (la nation en soi, et l'Europe comme audessus de la nation), ainsi que des notions que l'on peut penser « plus sociale », (ce qui serait lié au côté « moral » de sa formation), en essayant de poser une problématique quant à ce qu'est exactement, au XXIème siècle, l'identité européenne (ses droits, ses prérogatives etc). Ses travaux sont sensiblement

antiparlementaires… Mais la critique est ancienne, le régime représentatif a toujours eu ses détracteurs parmi les fidèles de l4ancien régime, de la monarchie absolue, du despotisme éclairé , mais aussi chez des partisans d’une démocratie directe ou semi-directe… Sans cesse les critiques fusent au sujet de élites politiques gouvernant la France. Se pose alors la question de savoir comment résoudre la crise politique que connaît la France actuellement. En effet, la démocratie est en crise dans nos