Peut On Désobéir Aux Lois

Respecter : traiter avec considération, estimer OU ne pas porter atteinte à, obéir à une loi Est-ce : – peut concerner le but, la raison du combat (on combattrait l’injustice au nom du droit, pour le droit ) OU la modalité du combat ( on combattrait l’injustice en respectant le droit, par le droit) - si c’est au nom du droit qu’on combat l’injustice, c’est en faisant quoi ? désobéir est-ce la seule solution ? L’injustice : ce qui est contraire à la justice, au sens de loi positive (

estimer une action d’après ses résultats finaux permet d’imposer un certain repère universel. À partir de l’idéologie des utilitaristes, l’utilité d’un acte peut être calculé à l’aide des sept critères qui, de façon globale, englobent tous les aspects se reliant à ce dernier. De cette manière, on juge les actions seulement par leurs conséquences. On peut donc comprendre qu’en se fiant qu’à cette idéologie, l’intention n’a aucune importance, puisque les critères ne se simplifient qu’au résultat final de

vision de l’existence, nos comportements. Mais en réalité nous ne connaissons rien de la mort puisque personne n’en ai jamais revenu. Tout d’abord Socrate s’oppose à l’idée même que la mort est un mal, ensuite il accentue et déclare que la mort ne peut être autre chose qu’un bien. Pour finir, il affirme que la mort n’est pas à craindre. PARTIE 1 Tout d’abord Socrate explique que la mort n’est pas un mal. D’ailleurs il montre sa totale sérénité sur sa future coupure avec le reste du monde :

philosophique de Socrate afin d’en faire sa propre pensée. En poursuivant notre lecture, il y a Criton qui est le meilleur ami et le plus riche qui peut aider à sauver Socrate. Le sujet du Criton est l’invasion de Socrate et son sujet philosophique est le devoir civique ainsi que l’obéissance aux lois. D’après Socrate, il proclame la primauté du bien sur les lois, c’est donc pour cela qu’il ne coopère pas avec Criton. Certains croient qu’il est injuste que Socrate demeure et qu’il subisse sa peine, car

tout contribuant à la conservation, entre nous, de toute espèce. C’est cette même pitié qui amène à aider une personne en détresse sans même y réfléchir. C’est cette chose, qu’est la pitié, qui nous tient lieu des lois, des mœurs et des vertus, avec l’avantage que nul ne peut désobéir. C’est elle qui détournera tous êtres méchants qui voudraient faire du mal à un être en difficulté ou sans défense. Voilà donc que pour Jean-Jacques Rousseau, la pitié est un sentiment naturel, qui nous permet de raisonner

positif (« posé », institué) = ensemble des lois telles qu’elles sont instituées dans une communauté à une époque précise = le droit de fait b) droit en tant que norme supérieure à la loi (=ce qui est) dictant ce qui doit-être. La question se modalise ainsi en deux types de questions : a) « Que sont les lois ici et maintenant? » = domaine du juriste, réponse empirique (empeiria=expérience) b) « Quels sont les critères/juger de la justice ou de l’injustice des lois instituées? » = question philosophique

n'en a point tracé de telles parmi les hommes. Je ne croyais pas, certes, que tes édits eussent tant de pouvoir qu'ils permissent à un mortel de violer les lois divines : lois non écrites celles-là, mais intangibles. Ce n'est pas d'aujourd'hui ni d'hier, c'est depuis l'origine qu'elles sont en vigueur, personne ne les a vues naître. Leur désobéir, n'était-ce point, par un lâche respect pour l'autorité d'un homme encourir la rigueur des dieux ? Je savais bien que je mourrais ; c'était inévitable - et

qui lui tenait à cœur, il préconise la non-violence ainsi que le désobéissance civile .Il est le premier à prêcher l’obéissance aux lois justes, ce qui n’est pas seulement un devoir juridique, mais aussi un devoir moral, mais il prône également qu’à l’inverse, chacun est moralement tenu de désobéir aux lois injustes. Il prône donc l’existence de deux catégories de lois : juste et injuste. Selon lui, une loi juste est une prescription établie par l’homme en conformité avec la loi morale ou la loi de

dissertation de phylosophie. Introduction= 15-20 lignes devellopement= 3parties conclusion= 10lignes Introduction: annalyser les termes du sujet, annalyser le type de question, nait on libre ou le devient on? A t on le droit de désobeir a la lois? Pourquoi obeir a la loi? 1) Amorce 2) Reformulation 3) problématique. (= que ce que le problème) Amorce : ''A 1ere vu/ Cependant = ''Donc la question se pose'', '' Est -il...?' EX: ''A première vu, on pourrait penser qu'il est déraisonnable

conforme aux lois positives et au droit positif dans son ensemble, l’autre étant un sentiment de justice naturelle et spontanée, fondée sur la reconnaissance des droits de chacun, sans qu'elle soit nécessairement inspirée par les lois en vigueur. On peut rapprocher la refléxion de Thomas D’aquin à celle d’Aristote dans L’esprit de la loi, où de la même manière, il oppose le Juste et l’Equitable. Dans cette extrait, Thomas d’Aquin nous montre que l’application de la loi, donc du Juste, peut aller à l’encontre