Peut On Fonder La Morale Sur Les Sentiments

la métaphysique des mœurs, Deuxième Section, éd. Delagrave, p.156-157 [INTRODUCTION] [Thème:] Ce texte aborde la recherche philosophique (métaphysique) du principe de la moralité. [Thèse:] L’auteur soutient que le principe de la moralité ne peut pas être empiriquement établi. [Thèse adverse:] Il constate et explique l’échec de toutes les tentatives philosophiques précédentes qui ont vu « l’homme lié par son devoir à des lois » extérieures (positives). Ces tentatives ont été nécessairement

mouvement afin de mettre la chair autour de l’os que la matière peut être sensible. Mais c’est aussi pour que d’Alembert, son interlocuteur, comprenne mieux ce qu’il dirait, car à son époque, les nouvelles lois de Newton venaient d’être découvertes. En effet, il va faire une analogie entre la sensibilité de la matière et le mouvement. Le mouvement est caractérisé par deux forces, soit la force morte et la force vive. À vue d'œil, un objet peut paraître inerte, mais celui-ci est toujours en mouvement. Plus

monothéisme et polythéisme (hindouisme), panthéisme, athéisme (bouddhisme) et enfin chamanisme (pas de dieu mais tabous, rites magiques, lieux particuliers...). ● Mais pourtant, commune essence du religieux : il existe une transcendance à laquelle l'homme peut avoir accès. ● Le fait religieux consiste dans la croyance en l'existence d'une réalité non matérielle à laquelle on n'accède ni par la vie ordinaire, ni par les moyens techniques ordinaires (profane). Cette réalité transcendante apparaît comme à la

dieux particuliers. 1° Pluralité des dieux. 2° Absence d’unité systématique. 3° Caractère fondamental du cercle des divinités. III. De l’individualité propre à chacun des dieux. 1° Matériaux pour cette individualisation. 2° Conservation du caractère moral. 3° Prédominance de l’agrément et de la grâce. CHAPITRE III. – DESTRUCTION DE L’ART CLASSIQUE. I. Le Destin. II. Destruction des dieux par leur anthropomorphisme. 1° Absence de vraie personnalité. 2° Transition de l’art classique à l’art chrétien.

Philo La réflexion peut être définit à une pensé qui se confronte à un problème et qui par conséquent va tenter d’apporter une solution. Pour qu’un problème se manifeste comme problème, càd comme un obstacle venant contrarié une intention, cela suppose que la pensée soit en réalité déjà orienté vers la recherche d’une connaissance, par conséquent que cette pensée est déjà une réflexion ce qui semble paradoxale i ci c’est l’idée d’un commencement de la réflexion, d’un point de départ, car tout

Devoir de philosophie : Peut-on dire à chacun sa morale ? La morale se définit par l'ensemble des règles de conduite tenues comme universellement et inconditionnellement valables. Elle concerne tout ce qui se rapporte aux moeurs, au caractère, aux attitudes humaines en général, et, en particulier aux règles de conduite et à leur justification.C'est la morale qui permet aux individus de justifier leur conduite, de distinguer le bien du mal dès le plus jeune âge et de diriger leur vie pratique

devions le satisfaire. Le désir est la recherche d'un objet que l'on imagine ou que l'on sait être source de satisfaction. On ne désire que ce qu'on n'a pas. Le désir s'accompagne donc du sentiment d'un manque, d'une privation. Si l'objet de notre désir est difficilement accessible, ce sentiment de manque peut devenir souffrance, douleur. On comprend, dans ces conditions, que satisfaire ses désirs c'est mettre fin à cette souffrance. Satisfaire tous ses désirs devient alors un moyen de libération

Enquête sur les principes de la morale. L'objet de l'Enquête est la détermination de l'origine véritable de la moralité. Quelle est l'origine des distinctions que nous faisons entre le bien et le mal, entre la vertu et le vice? L'Enquête peut être lue comme la réponse de Hume aux « selfish systems of morals », autrement dit aux morales de l'intérêt, de l'égoïsme, qui reposent sur l'idée d'un principe égoïste gouvernant la nature humaine, et nient l'existence du sentiment naturel de bienveillance envers

au pouvoir expressif de la couleur. → Intensité lumineuse et structure. Sentiment d’un espace universel infini → Immensité de la mer déchainée. Tourbillon cosmique, fusion de l’air et de l’eau, dynamisme échappant au contrôle. Cherche à provoquer la réaction du spectateur, retranscription des énergies. · William Turner, Mer Tempête, 1840. → Enorme tourbillon d’air, d’eau et de vapeur. Conclusion Constable → Sentiment humain dotant une signification au milieu naturel. Turner → Milieu naturel

est l’éducation morale que Kant assimile à l’éducation pratique (2). La question que l’on se pose est celle du fondement de l’éducation morale. On peut définir d’une part communément la morale comme regroupant un ensemble de règles que l’homme doit respecter et d’autre part on assimile traditionnellement l’homme moral à l’homme libre. Le problème qui se pose à nous est le suivant : à quelles conditions une éducation morale qui consiste en l’apprentissage du respect de règles peut-elle rendre l’homme