Peut On Juger Les Autres Cultures

j'obtienne ce à quoi j'ai droit Le droit attend donc d'être respecté, suivi. Mais la question est de savoir ce qui fonde ce pouvoir d'obligation du droit. Lorsque le droit est transgressé il peut y avoir recours à la force. (cf forces de l'ordre). Mais cette force qui est de l'ordre de la contrainte physique peut-elle constituer la force du droit? N'est-elle pas simplement le moyen du droit témoignant par là que le droit est par lui-même incapable de produire nécessairement son effet, de contraindre

La Culture : analyse et enjeux Dans son sens courant la culture est l’ensemble de connaissances acquises par un individu, un groupe social ou la société toute entière. On distingue la culture savante (connaissance des grandes oeuvres classiques, littéraires, philosophiques, artistiques, scientifiques) de la culture populaire dite “vernaculaire” (celle qui se transmet au sein de groupes sociaux plus restreints: village, région; il s’agit des chants, danses, produits d’artisanat, peintures, etc.)

I. L'auteur introduit le texte en exposant la thèse selon laquelle la diversité des cultures a le plus souvent été un phénomène obscur et mal interprété parmi les hommes. Il ajoute que la science et le progrès n'ont en revanche pas aidé à évincer ces courants de pensées, mais ils ont plutôt cherché des moyens à s'y soumettre ou s'y resigner. II. Claude Lévi-Strauss explique la difficulté qu'on les hommes à admettre la difference en avançant trois arguments importants. Levi-Strauss débute

Explication de texte: Ernst CASSIRER,Essaie sur l'homme, 1944 Depuis l'Antiquité, mais surtout pendant le Moyen-Age chrétien, des humains se sont interrogés sur le «propre de l'homme», se demandant en quoi ils se distinguaient essentiellement des autres animaux. Effectivement, qu'est ce que l'homme? Est-ce un animal prééminent? Dans le texte que nous allons étudier, Ernst CASSIRER tente de répondre à cette question en excluant le fait que l'homme n'ait aucun rapport avec l'animal. Selon Ernst

Dissertation de philosophie : N’est-on jamais heureux qu’en imagination ? N’est – on jamais heureux qu’en imagination ? Si l’on peut poser cette question c’est que tout homme n’est pas heureux comme il le souhaiterait. En effet si l’on pose cette question à un homme quelconque, que nous répondrait-il ? Il nous dirait que oui il n’est heureux qu’en imagination car, être heureux pour l’homme c’est avoir tout ce que l’on veut, quand on le veut. C'est-à-dire qu’être heureux pour un homme équivaut

l'état animal à celui d'homme. Un animal est par son instinct même tout ce qu'il peut être ; une raison étrangère a pris d'avance pour lui tous les soins indispensables. Mais l'homme a besoin de sa propre raison. Il n'a pas d'instinct, et il faut qu'il se fasse à lui-même son plan de conduite. Mais, comme il n'en est pas immédiatement capable, et qu'il arrive dans le monde à l'état sauvage, il a besoin du secours des autres. L'espèce humaine est obligée de tirer peu à peu d'elle-même par ses propres

regrettable. Mais en attendant, que pensez de ce voyageur ? D : Je n’entends rien à cet homme-là. L’étude de mœurs et de cultures différentes ne la mener qu’à sa perte. Je dirai même qu’il est devenu fou à lier. Le fait de voyager dans le temps est complétement absurde. C : Nullement, pour moi un navigateur est un vagabond qui traverse le temps et l’espace. De ce fait, on peut donc reconsidérer son voyage. D : Une autre bizarrerie apparente, c’est la contradiction du caractère de l’homme et de son

considèrent, de manière péjorative , comme des « sauvages » en s’appuyant précisément sur le sens véritable et mélioratif du terme, de façon à donner à son développement la rigueur et la logique implacable d’une démonstration à laquelle le lecteur ne peut que souscrire. De plus, Le lecteur est frappé par la violence des propos de Montaigne lorsqu’il s’attaque à la civilisation européenne. Nous sommes dans un registre polémique. A travers des phrases affirmatives au présent de généralité, marquant la

Introduction : Nous avons acquis nos sens dés la naissance, dans le but de nous ouvrir au monde avant même de l’avoir exploré. Ces sens nous permettent d’éprouver des sensations d’un certain ordre et en conséquence de percevoir les réalités matérielles. On peut aller au devant des ces réalités qui caractérisent le monde sans même avoir à nous déplacer, ou même à enquêter sur le monde qui nous entoure, mais bien à l’éprouver, à le sentir, à le voir, à l’écouter, à le gouter et le laisser nous inculquer les

de sa propre réalité et ne peut ainsi la juger. La conscience est donc ce qui distingue l’homme de l’animal et lui permet de fonder une responsabilité morale. La vie en groupe a instauré ces valeurs qui ont imposé des normes sociales, des règles de conduite universelles, applicables à tous. Ainsi, les hommes, pour vivre ensemble, se sont obligés de suivre un comportement, à se réguler, et ne plus agir en tant qu’être unique : ils doivent aussi agir en fonction des autres. Il faut savoir faire des