Peut On Juger Les Autres Cultures

objectif de l’ONU est également de juger. L’ONU crée une cour pénale internationale pour juger des crimes comme les génocides ou encore des crimes contre l’humanité. Cette cour se trouve à La Haye aux Pays-Bas. Elle n’est cependant compétente si les deux états en conflit décident de se soumettre à sa juridiction. Depuis 2002, la cour pénale internationale complète le dispositif judiciaire de l’ONU. En effet la CPI exerce sa fonction contre les individus, pour juger les crimes de guerre et les crimes

pouvons pas nier que notre culture se caractérise par un haut degré de développement scientifique et technique. Tout le problème est de savoir si cette affirmation nous autorise à dire que notre culture est supérieure aux autres. Avons-nous le droit de considérer notre culture comme supérieure sous prétexte que son niveau scientifique et technique et élevé ? Ainsi, nous en venons au problème principal du sujet : quels sont les critères de hiérarchisations des cultures ? Une fois ces critères trouvés

Repousser, refuser et rejeter la culture d’autrui est un phénomène que l’on retrouve sur des époques différentes et chez des peuples différents. Nous devons admettre le fait que chaque conscience cherche à s’imposer à l’autre en exprimant sa dimension de liberté et sa capacité à désirer. S’imposer sans prendre en considération l’autre, c’est rejeter son avis et le fait qu’il puisse être contre cette volonté. Le dénie de l’autre et de sa culture apparait surtout au XXème siècle lorsque la colonisation

des Sauvages ! Regard sur la différence « Tous des sauvages ! » est une exposition autour du thème de la différence entre les cultures et de l'ethnocentrisme. L'exposition prend appui sur le livre Race et histoire (1952) de Claude Lévi-Strauss, qui nous montre que nous pensons être la seule culture civilisée ayant le bon et sain mode de penser, et vivre. Le comportement de l'étranger est incompréhensible et même dit de barbare (barbare voulant d'ailleurs dire

aussi la réflexion par laquelle on peut se mettre d’accord. La problématique Les gouts et les objets sur lesquels ils portent sont-ils d’une nature telle qu’aucune discussion sur eux n’est possible Que veut on dire par on ne discute pas veut on dire simplement que l’on ne peut pas en parler cela serait trop simple et puis cette interprétation est démentie par l’expérience. Veut on dire que les gouts ne peuvent pas être l’enjeu d’une discussion réfléchie, qu’on en peut pas se mette d’accord sur eux

dont l’étymologie est « sub » qui signifie jeté autour. Le sujet est celui qui peut dire « je », celui qui se pense, celui qui peu un retour sur soi, celui qui peut juger de ses actes. Le sujet est l’homme, la conscience par opposition corrélative au sujet qui est la distinction entre sujet et objet et qui recouvre l’homme et le monde extérieur. Notre subjectivité est orienté vers trois horizon : le monde, les autres et vers moi. La conscience apparaît comme une donnée primaire et même solidaire

cette langue et ce que nous attendons d’elle De prime abord le français comme toutes les autres langues se divise en deux catégories : l’écrit et l’oral. Notre langue dispose de plusieurs irrégularités a commencer par nos deux auxiliaires très fréquemment employé : être et avoir. Il est de notre devoir de respecter notre langue et par conséquent d’écrire sans fautes. En effet, faire des fautes d’orthographe peut nous handicaper dans tous les domaines. Lorsque l’on rédige un curriculum vitae, une facture

Montaigne y décrit également le mode de vie des indigènes qui y habitent, et le compare à l'histoire et la culture européennes. Nous étudierons en quoi ce chapitre est l'expression de l'humanisme de la Renaissance, à la fois par le fait que son auteur soit savant et cultivé, mais aussi par la position et le jugement qu'il exprime. Montaigne, en grand humaniste, se doit de posséder une large culture, nourrie de la lecture des auteurs de l'Antiquité. Il raconte donc, en préambule, le premier affrontement

quelque chose ou au contraire de s'abstenir de le faire. Suivant un phénomène de dédoublement, cette petite voix nous permet de distinguer le bien et le mal, d'en fixer des normes et ainsi de juger la moralité de nos actions ou de celles d'autrui (on remarque d'ailleurs un premier paradoxe : est-il moral de juger la conduite d'autrui, même si celle-ci est profondément immorale?). Mais qu'est-ce que la morale? Celle-ci (du latin mores coutumes, moeurs) se définit comme une théorie de l'obligation,

opérer un jugement ? » Qu’est ce que la beauté ? Chaque sujet peut avoir un avis différent sur la question. Je peux trouver telle ou telle chose belle ou non, cela variera selon chaque individu. Le jugement peut par une preuve concrète se vérifier, mais la validité du jugement esthétique, quant à lui, ne saurait totalement exister car elle pose la question du point de vue : pouvons nous réellement discuter des goûts et des couleurs ? Peut-on définir ce qu’est la beauté ? Faut-il la considérer par un