Peut On Justifier Certaines Inégalités Dans Les Sociétés Démocratiques

et relation avec les autres sciences sociales 2 1.1. Définition 2 1.2. A quoi sert la science économique ? 3 1.3. Ne pas confondre ! 3 Sciences sociales : ensemble des disciplines scientifiques qui étudient les hommes vivants en société 3 1.4. Critiques possibles : science des choix mais sont-ils toujours les meilleurs ? 5 2. Complexité du fonctionnement de l’économie 5 2.1. Les concepts de base communs 5 LE MARCHE 5 2.2. Des modes d’approche différents parmi

réuni dans les mains des dirigeants les moyens de matériels de gestion.’’ Ainsi, afin de réussir à vivre en communauté, l’Homme a accepté d’otorger une partie de sa liberté au profit d’ un système prônant justice et égalité pour l’ensemble de la société, ensemble d’individus unis par des rapports déterminés par des services mutuels permettant d’aboutir à la realisation de nos désirs et la recherche d’un bien commun. L’État est donc une organisation sociale structurée, assurant le bon déroulement

Le Droit On appelle droit l'ensemble des règles et des lois qui organisent la vie des hommes en société. Ce droit n'est pas nécessairement écrit : toutes les sociétés ont un droit ; or, nombre de sociétés sont restées sans écriture. On appelle droit coutumier l'ensemble des lois et des règles qui se transmettent par la seule tradition. Au cours de l'Histoire, le droit a tout permis, tout justifié, la trahison, l'exploitation, la torture, le meurtre. Même si justicia en latin vient de jus, le

croissance. Il est connoté positivement comme évolution progressiste et concerne les structures de l’économie et de la société. « Il correspond à l’ensemble des transformations techniques, sociales et culturelles qui permettent l’apparition et la prolongation de la croissance » (Dictionnaire d’économie et de sciences sociales de Capul et Garnier, éditions Hatier). Il ne peut être appréhendé par un seul indicateur (ni même par l’IDH, cf. rappel de cours 2). Des données démographiques (espérance

c'est-à-dire une entité qu'on va juridiquement individualisée → quelques soient les individus qui la composent il existe toujours comme tel. L'État existe juridiquement. L'État français en 2010 est le même sur le plan juridique qu'en 1958. Un même État peut être lié par des conventions européennes malgré les changements de régime → il y a toujours le même État juridique. Le changement de régime ne fait pas varier l'organe lui-même. L'État perdure. Règle d'intérim = le Président est élu pour 5 ans

politique de la différence d’Iris Young 31 Bibliographie 79 Introduction Ce travail a été conçu à partir de certaines interrogations qui m’interpellaient à propos de la société française. J’observais que quelques mots tels que « racaille », « jeune de banlieue » ou « Cité » sont devenus des termes pour désigner/ assigner des places occupées par certains individus dans la société ; je remarquais que ces mots sont en quelque sorte liés pour former une « histoire unique » (celle des banlieues pauvres

Partout dominent des inégalités en particulier économiques et sociales, partout prolifèrent des systèmes d’oppression et de soumission ouverte ou cachée. L’inégalité morale ou politique dit Rousseau est « établie, ou du moins autorisée par le consentement des hommes. Celle-ci consiste dans les différents privilèges dont quelques uns jouissent, au préjudice des autres, comme d’être plus riches, plus honorés, plus puissants qu’eux, ou même de sens faire obéir ». De fait, toutes les sociétés existantes et

Lévi-Strauss). Cette citation témoigne de l’image que les citoyens se font depuis longtemps des hommes politiques. A la veille des précédentes élections présidentielle, le syndrome de > renaît dans les discours de certains candidats : Jean Marie Le Pen, José Bové… On a une résurgence des discours populistes, antiparlementaires… Mais la critique est ancienne, le régime représentatif a toujours eu ses détracteurs parmi les fidèles de l4ancien régime, de la monarchie

chacun contre tous. Le droit se confond avec la puissance. Hobbes dira que rien ne peut être considérer comme juste ou injuste (il n’y pas à pas de référent du point de vue du droit juridique et même par rapport à la morale). Dans le Léviathan il écrit « Là où il n’a pas de pouvoir commun, il n’a pas de loi donc il n’a pas d’injustice ». La condition de l’homme à l’état de nature est négative, quand il n’y a pas de société civile pour Hobbes nous n’avons affaire qu’à une multitude d’individus s’affrontant

L’EMPIRE ET LE DROIT par Philippe MOREAU DEFARGES (*) Entre égalité souveraine des Etats et persistance des inégalités de puissance, entre maintien de la paix et reconnaissance du droit à la légitime défense, entre non-ingérence dans les affaires intérieures et respect par tous des mêmes principes En premier lieu, les principes confèrent aux Etats un ensemble de droits démocratiques, susceptibles d’évoquer ceux des individus : égalité souveraine, inviolabilité des frontières, intégrité territoriale