Peut On Obéir

L’obéissance est une forme d’influence sociale. Être obéissant est faire ce qu’une personne nous demande ou faire ce qu’on nous a toujours appris sans avoir le choix et sans se poser de questions. Celui ou celle à qui l’ont obéit donne un ordre. L’obéissance peut-être bonne comme mauvaise. C’est être à l’attente de chaque chose qui nous entoure sans avoir de liberté. La question posée consiste à s’interroger sur le fait que l’obéissance convient à toute personne dans ce monde qui est le nôtre ou seulement

à la liberté ? Peut-on affirmer à la fois que l'homme est libre et qu'il est soumis à des lois? C’est pourquoi nous verrons, dans une première partie, qu’obéir, c’est renoncer à sa liberté, et donc que désobéir c’est aussi affirmer sa liberté. Dans une seconde partie, nous verrons que la liberté ne consiste pas à faire se que l’on veut, mais à faire ce que l’on doit. Puis, pour finir, nous réfléchirons a comment obéir librement tout en ne renonçant pas à sa liberté. Obéir, c’est renoncer

Chapitre 1 : Sens des symboles et des mots. A) Les symboles Dans les anciens palais de justice, le symbole était une femme avec une toge antique et des yeux bandés avec une balance et un glaive (épée). Pourquoi a-t-elle les yeux bandés ? Peut-être parce que la justice est aveugle car la justice est neutre et impartiale/neutre. Pourquoi le glaive et la balance ? Ces sceaux sont symbolisé dans le droit, dans le palais de justice, notaire ou encore avocat. 1) Le Glaive Le glaive symbolise

Dans la vie de tous les jours, on doit toujours s’adapter à la société dans laquelle nous vivons. Il existe plusieurs personnes avec des pensées différentes et cela peut causer des conflits, puisque ce n’est pas tout le monde qui approuve les idées des autres. Par exemple, il y a les lois qui peuvent paraitre plus injuste pour certaines personnes que d’autre, comme que les plus riches doivent payer plus d’impôts. Alors ce qui amène à la question : le citoyen devrait-il respecter les lois de la cité

Notre vie est ponctuée de codes auxquels il peut sembler naturel de se soumettre, que ce soit le Code de la route, les règlements intérieurs ou les constitutions qui régissent l’état, la soumission est prescrite. L’obéissance civile trouve même sa place dans la Déclaration des droits de l’Homme, qui affirme que « tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l’instant : il se rend coupable par la résistance. » De là à dire qu’il faut obéir à la loi, en tout temps, en tout lieu, sans

Ainsi on peut poser comme question problématique: dans quelle(s) situation(s) peut-on dire qu'un homme est libre vraiment, et d'ailleurs qu'est-ce que la vraie liberté? Ou encore, obéir est-ce renoncer à sa liberté?La thèse de l'auteur est de dire que l'homme libre n'est pas nécessairement celui qui commande et/ou fait ce qui lui plaît, mais au contraire que l'homme libre se définit comme celui qui agit en raison et de façon utile pour le bien commun et par là-même, pour son propre bien.On peut partager

regarder autrement la vie et ont proposé autre chose souvent contre les principes existant à l’époque dans leur société et ils n’ont presque jamais, du moins de leur vivant, été remercié mais ils ont lancé une idée nouvelle et qui plus tard peut donner une évolution comme par exemple la suppression de la peine de mort dans certains pays. Et puis il ne faut pas oublier de choisir, de faire de bon choix et d’écouter notre conscience. Nous nous sommes battus pendant des siècles pour avoir

SUJET : La liberté peut-elle se définir comme l'obéissance à la raison ? La définition immédiate de la liberté, c’est d’être libre, c'est "faire ce que l'on veut". En ce sens, la liberté s'oppose à toute contrainte, puisque "faire ce que l'on veut" implique que rien ne vienne s' i mposer (comme une obligation) ou s'opposer (comme une interdiction ou une entrave) à la volonté.Définir la notion de liberté comme l’absence de contrainte ou la possibilité d’agir selon

» disait Platon. Ainsi, on peut donc se demander qu'est ce qui permet d'affirmer qu'une loi est juste ? Le juste est conforme au droit et à l'égalité des pouvoirs et la loi est là pour faire régner la justice. Mais, ces lois sont elles toujours justes ? Qu'est ce qui nous permet de le dire ? Sur quoi nous reposons nous pour l'affirmer ? Quelles sont ces conditions ? Nous verrons dans un premier temps ce qui fait qu'une loi est juste. Cependant, nous verrons qu'elle peut parfois être injuste. Enfin

compétence du peuplePlaton était contre la démocratie. Adversaire farouche de la démocratie, à l’opposé d’Aristote. Il pense qu’on peut donner le pouvoir au peuple sous certaines conditions.Politique de Aristote, chapitre III,11: cadre de sa réflexion:→ Se situe dans le cadre d’une interrogation sur la compétence du peuple. Est-ce qu’une pop pas forcément éduquée peut exercer le pouvoir ?Les institutions supposent qu’il n’y a pas besoin de compétence. Ce que la démocratie grecque refuse