Peut On Obéir

Définition : •parfois : Quelquefois, dans certains cas, pas toujours ! •obéir : Verbe transitif indirect (latin oboedire, de audire, écouter). * Se soumettre à la volonté de quelqu'un, à un règlement, exécuter un ordre : Obéir à ses parents, à la loi. * Céder à une incitation, un sentiment, etc. : Obéir à ses instincts. * Répondre au mouvement commandé, fonctionner correctement : Les freins n'obéissent plus. Mes jambes refusent d'obéir. * Être soumis à une force, une action, une règle par une

nécessité à laquelle on ne peut déroger, tandis que dans le cas des phénomènes humains la loi exprime une obligation à laquelle l’individu peut toujours tenter de se soustraire. Ainsi la question « Doit-on toujours obéir aux lois ? » ne se pose que dans le domaine des relations humaines. Remarque : Cette première définition nous permet de réduire notre champ d ‘investigation dans la mesure où dans l’ordre des phénomènes naturels la question de savoir si nous devons ou pas obéir à la loi ne se pose pas

« Obéir aux lois et aux coutumes de son pays» est la première maxime de la morale provisoire de Descartes, laquelle recommande le conformisme comme respect des pratiques collectives et des règles établies. Selon cette morale, la meilleure conduite à adopter, c’est-à-dire, la conduite la plus juste, consiste à se conformer aux lois positives parce qu’elles ont pour fonction la réglementation des relations entre les individus et pour fin, le maintien de l’ordre et de la paix sociale. Etre juste selon

Obéir est-ce renoncer à notre liberté individuelle ? L'homme est-il plus libre en obéissant aux lois de la cité ou de l’État qu'en obéissant à lui seul? Voilà deux questions que nous pouvons nous poser. La liberté au sens courant opposée à l’obéissance comme Rabelais le dit lui-même dans l’abbaye de Thélème où la liberté est le maître mot : « fais ce que voudras ». Chaque individu présent dans cette abbaye jouit d’une liberté sans limite et profite ainsi de la vie jusqu’à sa mort. La liberté

existe différentes formes de liberté, être libre, c'est aussi, être libre physiquement (être libre de ses mouvements), mais aussi pouvoir réfléchir (avoir une liberté d’intelligence). Par exemple : un prisonnier n’est pas libre dans la mesure où il ne peut pas agir à sa guise. Le fait d’être en prison est une entrave à sa liberté, notamment de mouvement. Être libre serait donc pouvoir agir sans contraintes extérieures.Deuxièmement, être libre, c'est aussi être maître de nous-mêmes, de nos faits et gestes

au droit, c’est-à-dire aux exigences morales. Considérée en elle-même, la force est sans valeur ; du point de vue moral, elle n’acquiert une valeur que par sa soumission au droit. De la même manière, l’obéissance n’est pas en soi une valeur ; obéir pour obéir est stupide ; l’obéissance n’a de la valeur que si elle représente pour chacun un devoir, une exigence morale, ce qui signifie qu’elle ne saurait être obtenue par la seule contrainte. « Transformer sa force en droit », c’est la mettre au service

doivent obéir. Quelle définition de la souveraineté est donnée par Loyseau ? Comment est-elle organisée ? I- Pourquoi une hiérarchie/Par qui a elle été ordonnée Le fait que la société doit être harmonieuse (bienséance ligne 1) justifie cette organisation de la société en 3 ordres. Cette organisation a été voulue par Dieu (c’est pourquoi le clergé se situe au-dessus). On ne peut pas vivre en totale égalité (ligne 8), c’est pourquoi certains doivent commander et d’autres doivent leurs obéir. La

Dissertation philosophie Sujet : Obéir à des lois, est-ce être libre ? Les lois juridiques correspondent à un ensemble de règles obligatoires établies par l’autorité souveraine d’une société, et sanctionnées par la force publique. Normalement, leurs but est que tous les hommes soient libres et égaux, c'est-à-dire qu’en obéissant aux lois, les hommes seraient libres, c'est-à-dire aient le droit de faire tout ce qui n’est a défendu par la loi. Mais cela dépend de l’autorité souveraine, en effet

suffit). Est-ce vrai ? Si non, que faut-il en plus ? Le faut-il toujours ? Le verbe « obéir » signifie « respecter ce qui est demandé », « faire ce que les règles, les lois ordonnent ». Enfin, la loi, elle, est une notion qui peut présenter divers aspects. On peut la qualifier de « positive » lorsqu’elle est écrite et qu’elle concerne tout un peuple, de « naturelle » lorsqu’elle précède toutes lois écrites, et elle peut être morale ou divine. Il semble qu’obéir à ces différentes lois soit nécessaire pour

pouvoir Concept: peut être définit comme une représentation intellectuel qui permet d'appréhendé le réel selon des détermination abstraite et général selon 2 modalité, en compréhension ou en extension, si on conceptualise en compréhension on va chercher a analité la réalité a partir de certain trait spécifique. ( ex: le type idéal de l'étique protestante ). On peut conceptualisé en extension, on doit définir tout les objets d'une catégorie. On peut observé que le concept de pouvoir peut avoir plusieurs