Peut On Parler De Culture Européenne

Séquence 2 HISTOIRE VOYAGES ET DECOUVERTES XVI° XVIII° Séance 1 : le monde avant l’expansion européenne. Coller la frise chronologique sous le titre écrit. Objectif : comprendre pourquoi et comment l’Europe, qui à la fin du XVème siècle n’est qu’une civilisation parmi d’autres dans le monde, en vient à connaitre une telle expansion politique et à étendre sa civilisation. Les 2 cartes couleur : le monde connu au Moyen-âge/le monde après les premières découvertes. Voir les 2 cartes couleurs précédentes

monde en deux : d'une part, le monde subjectif de notre experience ; d'autre part, le monde pretendument objectif de la realite. En fait, l'observateur, le phenomene observe et le processus d'observation sont vus comme formant un tout, tout que l'on ne peut impunement desarticuler. Cette fawn de voir va engendrer bien des idees nouvelles et de nouveaux processus d'analyse tant dans les sciences dites exactes que dans les sciences humaines. Si notre regard actif, en ce compris nos paroles et nos comportements

s’agisse d’un déclin économique, culturel, moral ou social. Apparemment, la France serait aujourd’hui une nation vieillissante, morose, peu crédible sur la scène internationale, peu audacieuse et peu créative. Alors que certains de ses voisins européens connaissent un nouveau dynamisme et alors que la France était un pays prestigieux, il semble que celle-ci n’ait pas réussi à s’adapter aux nouveaux enjeux du monde contemporain. C’est avec la publication du Désarroi français d’Alain Duhamel et

JACOBINISME OU FEDERALISME ? Alain de Benoist On a assisté en France, il y a quelques années, à un débat véritablement surréaliste. Le prétexte en a été la signature par le gouvernement français, le 7 mai 1999, de la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires. Ce document, adopté le 5 novembre 1992 à Strasbourg par le Conseil de l’Europe, énonçait un certain nombre de dispositions en faveur de l’emploi des langues régionales dans la vie publique. La France, qui s’y était longtemps

façonne la réponse que l’Espagne y apporte. La religion catholique a, de bien des façons, influencé la perception que les conquistadors ont eu du nouveau monde.une terre qui se rattache à l’ancienne terre uniquement au travers de dieuAvant même de parler de la description du monde qui est faite, il paraît intéressant de noter que la découverte du nouveau monde est noté comme l’évènement le plus important de l’histoire. Exception faite de « l’incarnation et la mort de celui qui l’a crée »L4 qui référent

adversaires éparpillés. * Leur puissance commerciale, même contestée par la concurrence asiatique et européenne, demeure la première au monde : les plus grandes firmes multinationales sont américaines et le dollar est la monnaie d'échanges internationale. * Enfin, les Etats-Unis exportent leur modèle culturel. L'anglais est la langue des relations diplomatiques et du commerce international ; la culture et la civilisation américaines se propagent dans le monde : l'audiovisuel en est le fer de lance (cinéma

deux points de vue différents quant à l’approche du même problème. Les auteurs établissent au début du texte ouvrage que le journalisme dominant américain repose sur un modèle de démocratie pluraliste qui préserve l’ordre établi, essentialise la culture et banalise la diversité. Le texte sous-tend ainsi une discussion sur l'importance de la diversification du journalisme et d’une restructuration de la presse américaine. La diversité du journalisme est importante, non seulement parce qu'elle permet

les sens qui leur sont attribués sont fonction du point de vue et du courant de pensée des énonciateurs. Le géographe Laurent Carroué, spécialiste de ces questions plaide pour une distinction plus nette de ces deux termes. Pour lui la mondialisation peut être définie comme le processus historique d'extension du système capitaliste à l'ensemble de l'espace géographique mondial. Il critique l'usage trop vague de globalisation. Origines et évolutions La distinction entre ces deux termes est propre

Universiteit Leuven LA CULTURE POPULAIRE N'EXISTE PAS, OU LES AMBIGUÏTÉS DES CULTURAL STUDIES Dans l'index de nombreux livres contemporains sur les «études culturelles» ou Cultural Studies1, on cherchera en vain, entre politique et postmoderne, un terme comme populaire. Cette omission paraît d'autant plus singulière que le champ des études culturelles a, jusqu'à nos jours, des liens très forts, historiques aussi bien que théoriques, avec l'étude, voire la défense de la culture populaire (au sens

adversaires éparpillés. * Leur puissance commerciale, même contestée par la concurrence asiatique et européenne, demeure la première au monde : les plus grandes firmes multinationales sont américaines et le dollar est la monnaie d'échanges internationale. * Enfin, les Etats-Unis exportent leur modèle culturel. L'anglais est la langue des relations diplomatiques et du commerce international ; la culture et la civilisation américaines se propagent dans le monde : l'audiovisuel en est le fer de lance (cinéma