Peut On Prouver Rationnellement Que Dieu Existe

INTRODUCTION : Par la raison dont Dieu l’a dotée, l’homme est le seul parmi les animaux qui se pose des questions sur le sens, la valeur et la finalité de la vie après la satisfaction de ses besoins vitaux. C’est pourquoi Arthur Schopenhauer considère l’homme comme un « animal métaphysique ». En autres termes, l’homme est le seul à avoir un penchant naturel à la pensée et à l’interrogation métaphysique. Il se pose ainsi des questions sur la vie, sur la mort, sur l’existence de Dieu, sur l’immatérialité et

sociologie, anthropologie…). Cette catégorie n’est pas directement concernée par notre sujet, nous pouvons donc l’évincer (du moins pour le moment). Quelques reformulations … Peut-il y avoir science sans démonstration ? La science peut-elle se passer de démonstration ? La démonstration est-elle nécessaire à la science ? Peut-on connaître et expliquer sans démontrer ? La démonstration est-elle un critère de scientificité ? La démonstration est-elle une étape nécessaire de la quête de savoir

démarche organisée rationnellement pour finalement obtenir un résultat. Discours Religieux : But 1 : Il veut convaincre les gens de l’existence de Dieu. Il veut éliminer tous les doutes dans la tête des gens que cet être suprême n’existe pas et montrer qu’il est vrai. Il veut prouver que ce créateur de l’univers a bel et bien existé et qu’il est le créateur de l’homme et de l’univers, à-vrai-dire notre créateur. «L’être humain est créé à l’image de Dieu et destinée à devenir

royales. Ce lieu commun entraine la prolifération d’un discours qui énumère les grands rois de l’histoire universelle ayant fini misérablement : rois de la Bible, puis ceux de l’Antiquité gréco-romaine, puis ceux de l’époque moderne à cette accumulation prouve que Pangloss n’a rien compris à la consigne du « Te taire » prononcée auparavant par le derviche. Il cède comme toujours au plaisir de la parole [discours rhétorique, logorrhée] à mécanique verbale qui s’emballe et tourne à vide. Les points de suspension

rappeler à l'ordre et de la dissuader de conserver ce type d'attitude. La punition divine serait alors le châtiment imposé à l’homme pécheur pour le rappeler à l’ordre divin, à la loi de Dieu, pour qu’il s’y tienne désormais. Il est donc ici question de justice. Il y aurait des règles, des lois, des normes, édictées par Dieu, qu’il faudrait respecter sous peine de sanctions. L’expression « sentence divine » plus utilisée que « punition divine » nous confirme l’idée du jugement d’un comportement par une

originel : depuis que les hommes se sont écartés de Dieu et ont voulu tout savoir eux-mêmes ils ne sont pas heureux. Ils ont valorisé la raison à l’extrême et ils ont rejeté la croyance. L’excès de la raison a conduit au scepticisme (aucune connaissance) ainsi qu’à l’excès inverse qui est le dogmatisme (courant de pensée qui estime tout savoir). Ces deux fléaux conduisent l’humanité à douter de tout comme à devenir trop sûre d’elle. Cela peut conduire au laxisme et à l’autoritarisme qui empêchent

Descartes, Dieu est un Dieu créateur auquel on peut accéder par la raison et pas uniquement par la foi. « Dieu peut être démontré avec plus de certitudes qu’une démonstration mathématique. » Pour cela il reprend donc la Bible et essaie de la justifier philosophiquement, rationnellement. Dans Les méditations il démontre l’existence de Dieu à deux reprises ; dans la 3ème méditation et dans la 5ème. b) Comparaison entre l’homme et Dieu « Je porte l’image et la ressemblance de Dieu » signifie

Peut-il être raisonnable de désobéir à la loi ? 1 Résumé: Une loi nous oblige à faire ce qui est dit et non ce qui est juste. Cependant, on attend d'une loi qu'elle soit juste. Y aurait-il des lois injustes qui légitimeraient le recours à la désobéissance ? Ce qui nous dérange et nous pousse à la révolte est donc le conflit entre lois extérieures et liberté intérieure. Cette dissertation analyse qu'il y a peut-être finalement un accord possible.  I. L'histoire de l'homme et de la société

religion occupe tout l'espace, alors, la religion est considérée comme un phénomène universel, une caractéristique de toute société quelle qu'elle soit. Une société sans religion est-elle souhaitable ? La doxa nous permettrait de dire que la religion peut être dangereuse au sein d'une communauté dans la mesure où les croyances sont diversifiées, cependant la religion permet une unité, la constitution de règles entre les hommes. En effet, une « société » est un regroupement d'individualités structuré

compagnons. Pour compléter son enquête philosophique, Candide va consulter un derviche (religieux musulman appartenant à une confrérie) ainsi qu’un vieillard : deux figures traditionnelles de la sagesse : Le derviche  il faut se taire sur ce qu’on ne peut comprendre. Le vieillard  travailler est le remède au malheur humain. Candide rentre alors dans sa métairie pour mettre en pratique ces enseignements. Mouvement du texte : Deux grands mouvements : Premier mouvement : long discours de Pangloss sur