Peut On Tolerer Toutes Les Opinions

son système de valeurs et des principes), la tolérance est cependant une attitude plutôt passive. Sur le plan morale, l’idée qui sous entend parfois la tolérance est que combattre ce que l’on n’admet pas provoquerait un mal plus important que de tolérer. En sociologie, le seuil de tolérance d’une communauté est la proportion d’individus étrangers qu’elle est censée pouvoir accepter sans produire un phénomène de rejet. « La tolérance ne devrait être qu’un état transitoire. Elle doit mener au respect

admettre toutes les opinions? Introduction: Généralement, on considère qu'il faut admettre toutes les opinions quelles qu'elles soient, afin de respecter la liberté d'opinions, d'expression de chaque individu. Cependant, certains rétorquent que toutes les opinions ne sont pas acceptables, puisqu'il y en aurait des plus dangereuses que d'autres, ou encore des opinions qui devraient rester uniquement personnelles. Faut-il admettre toutes les opinions?Autrement dit, toutes les opinions sont-elles

réforme au XVIème siècle provoquera les guerres fratricides appelées guerres de religion. Pendant la colonisation, les Colons, souvent sous le voile de l’Eglise n’ont pas fait preuve de tolérance vis-à-vis des peuples colonisés et de leurs cultures. Tout se passait comme si la civilisation était universelle. Et le « paganisme » devait effectivement disparaître par l’assimilation à la métropole. Que de confusion n y a t’-il pas eu en ces temps tristes de l’histoire humaine ? Aucun effort n’étant fait

doit-elle accepter toutes les opinions ? [pic] En ce mardi 4 novembre 2008 se déroule l’événement du moi, et très probablement de l’année : le vote aux Etats-Unis d’Amérique ! Aujourd’hui se joue l’avenir du monde, et ce dans la démocratie la plus puissante de la planète, chaque citoyen va pouvoir donner son avis, opposer son opinion à celle des autres, chacun va pouvoir choisir. C’est ainsi que se déroule la vie en démocratie, on choisi, on élève la voix et on donne son opinion, son avis, mais

admettre toutes les opinions de tous les individus dû à ce principe de liberté. Cependant, il y a certaines opinions qui peuvent avoir des répercussions néfastes sur la société. En effet, certaines de ceux-ci peuvent être poussées à la haine et la méchanceté. C'est pourquoi nous pouvons nous demander la question suivante : Toutes les opinions se valent-elles? En d’autres mots, est ce que les jugements de chaque personne devraient être acceptés, admis? Tout d’abord, dire que toutes les opinions se

comportements différents Quelle est la limite de la tolérance ? A quel point acceptons les différences ? Est-ce que la tolérance est établie à partir de critères subjectifs ? Est-ce qu’à tout tolérer on détruit la tolérance ? Paradoxalement, on peut définir l’intolérable. Dire qu’il y a intolérance, c’est cesser de tolérer. La liberté de croire suppose la tolérance. La tolérance se définit comme une indulgence, une condescendant à l’égard de l’erreur c’est-à-dire face à l’attitude passive. La tolérance

faut-il respecter toutes les opinions ? Toutes les opinions sont-elles acceptables ? Peut-on exprimer librement nos idées sans aucune limite ? Les opinions personnelles peuvent elles être dangereuses ? Pour répondre à ces questions, nous verrons en quoi, matériellement toutes les opinions peuvent être respectées. Puis dans un deuxième temps nous évaluerons dans quelles mesures il convient de les respecter au sens moral. Pour finir, nous verrons ce qu’un respect total des opinions peut entrainer. En

est souvent définie par la majorité des sujets comme étant la marque d'une ouverture d'esprit qui sait accepter les différences alors que le scepticisme consiste dans le fait de douter. La tolérance signifie l'acceptation des individus et de leurs opinions. "Faut-il" renvoie à l'idée de nécessité (est-il nécessaire de douter pour pouvoir être tolérant) ainsi qu'à l'idée de devoir moral (est-ce un devoir ou une obligation de douter pour pouvoir être tolérant ?). - constat de l'opinion générale concernant

contre la persécution religieuse, ont mis en avant l’argument suivant : les opinions privées des personnes, et en particulier leurs opinions religieuses, n’appartiennent qu’à leur conscience ; même si nous estimons que ces opinions sont mauvaises ou fausses, aucune répression ne peut être justifiée et la tolérance est la seule attitude possible. Certains vont jusqu’à dire qu’aux yeux de Dieu, toutes les opinions, toutes les croyances et tous les cultes sont bons à condition que l’homme, qu’il soit

par inquiétude, par vanité : les hommes se croient imbéciles quand ils n’ont pas d’avis. S’appuyant sur leur droit à penser, ils se font un devoir de tout juger. Comment concilier, alors, la critique de l’opinion avec la reconnaissance de sa liberté ? A quoi sert-il de défendre un droit qui par le mépris est sans cesse bafoué ? Se défier des opinions privées, n’est-ce pas souterrainement se réserver la vérité ? Si pourtant l’opinion est hâtive, si les avis sont précipités, c’est qu’ils ne sont pas