Peut On Tout Rationaliser

------------------------------------------------- Les structures organisationnelles I. Qu’est qu’une structure ? La structure peut être définie comme l’ensemble des dispositifs selon lesquels une entreprise ou, plus généralement, une organisation répartit, coordonne et contrôle ses activités. Ce concept présente plusieurs facettes qui sont multiples et largement complémentaires : « La structure est ce qui décrits les rapports des différentes services entre eux, avec les liaisons hiérarchiques

l’organisation, la dévolution et la transmission du pouvoir entre les différentes institutions de l’Etat. Cela dans le but de garantir une liberté individuelle des citoyens, puisque seul le pouvoir peut arrêter le pouvoir1. Entant que Loi fondamentale, une Constitution devrait durée jusqu’à l’éternité. Même si elle peut ou doit subir des révisions ou des amendements en fonction de l’évolution de la société. C’est une des raisons pour lesquelles notre pays a connu quatre constitutions qui ont été révisées

document1) Pour les autres, le document joint à la convocation de cette réunion peut être utilisé mais chaque assoc. peut présenter le bilan de l’année écoulée à sa manière. Le budget de la Mairie étant « tendu », ne pas envisager d’augmentation des subventions. « Maison des associations » : 87 associations dont 33 ont des locaux. Celles qui ont des locaux sont logées par pôle :ex : les humanitaires au Tribunal , etc…. Rationaliser l’utilisation des locaux Mutualisation des besoins (Jean-Pierre Maugein

Le régime parlementaire, régime de concentration des pouvoirs ? Le régime parlementaire est un régime dans lequel le gouvernement est politiquement responsable devant le Parlement, et où celui-ci peut faire l’objet d’une dissolution par l’exécutif. Dans ce régime, la séparation des pouvoirs est dite souple parce que les deux pouvoirs ont des actions réciproques (la responsabilité politique et la dissolution). On distingue, au sein des régimes parlementaires, les régimes dits monistes et des régimes

pas de la théorie du droit mais des choses concrètes. Ce droit est essentiel car c’est le fondement de notre système juridique : on en tire toutes les autres normes (lois, traités etc…). Il pose les fondements de notre société et de notre Etat. La Constitution pose également un certain nombre de racines fondamentales qui sont nos limites à respecter. Toutes ces limites sont inscrites plus ou moins dans les textes constitutionnels. C’est une Constitution qui organise la production des autres normes

Le chef de l’état dans les régimes parlementaires. La théorie, c’est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c’est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. La séparation des pouvoirs théorisée par l’anglais Locke puis par le français Montesquieu en analysant le régime parlementaire de l’Angleterre au XVIIIème siècle a permis d’élaborer une description du régime parlementaire. Ce régime est caractérisé par la souplesse de la séparation des pouvoirs où l’exécutif

exprimé par une constitution, qui énonce la primauté de la loi fédérale, évidement si les états décident de s’unir, cela suppose que ensemble ils feront de meilleures choses. Il y a donc un État (ou un Bund) qui dispose de certaines choses, la fédération peut venir après une association moins poussée. Si l’on a un État, on doit parler donc de séparation de pouvoirs, pour pouvoir envisager le régime utilisé, la séparation des pouvoirs est donc un principe de répartition des différentes fonctions de l'État

Le président de la république bénéficie d’une immunité pendant son mandat mais un mois après la cessation de ses fonctions il peut faire l’objet d’action en justice : Irresponsabilité politique = le parlement, le peuple ou une autre institution ne peuvent pas l’obliger à démissionner pour une raison politique. Responsabilité pénale = il est irresponsables des actes commis pendant son mandat sauf en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible, dans ce cas la haute cours statue sur

où chaque civilisation persévère dans son être propre et ne converge pas avec les autres. En tout état de cause, les civilisations sont aujourd'hui confrontées à des crises financières de plus en plus violentes, d'autant que la finance contemporaine a laissé se déchaîner la cupidité – les analyses de Max Weber montraient au contraire que le déploiement du capitalisme reposait sur la capacité à rationaliser les appétits et la cupidité, à les maîtriser. Plus fondamentalement, les sociétés sont exposées

l’interprétation commune, c'est a dire que la maladie supprime la liberté par toutes les contraintes qu’elle apporte, toutes les possibilités qu’elle supprime dans le choix des loisirs, de l’alimentation, ou même des vêtements; puis on retrouve celle de Sartre pour qui la maladie n’est qu’en apparence une perte de liberté. En effet la maladie est une situation nouvelle qui fait perdre au malade des possibilités. Cependant il peut tenter de les reconquérir. Pour Sartre, le malade prend conscience de sa