Peut On Vivre Sans Morale

Premièrement, je vais vous expliquer ce qu’est la loi morale selon Kant. On pourrait aussi appeler la loi morale, l’impératif catégorique. Elle représente une action qui est bonne en soi, et qui ne tient pas compte des buts ni des circonstances, car elle n’est pas un moyen en vue d’autre chose. En fait, elle est bonne en elle-même peut importe les buts et il est impossible de soustraire ou d’échapper à cette obligation. Alors, nous devons y obéir de façon à laisser nos désirs et nos inclinations

quon met un mot la dessus mais enfait on ne sait pas vrmt cque cest Cest comme dire lunivers est infini, oui tout le monde comprends, tout le monde voit cque ça veut dire mais en realité ce nest quon mot qui cache un concept car aucun etre humain ne peut realement pretendre quil comprend et sait ce quest linfini car notre perception et comprehension des choses est limité La réalité cest la mm chose, tu vois ton pc devant toi, tu le touche, ton cerveau te dis donc quil existe, quil a telle consistence

ivrognerie La tempérance est (avec la prudence, la force et la justice) l’une des quatre vertus cardinales, dans la philosophie réaliste comme chez le philosophe grec Aristote. Thomas d'Aquin reprendra cette classification en fondant toute sa morale du bonheur sur les vertus cardinales. Il y ajoutera les vertus théologales (qui sont la foi, l’espérance et la charité) et les dons de l’Esprit Saint qui forment toute la structure anthropologique de la personne « mise debout » dans sa nature et par

Faut-il dire avec Durkheim : « Quand notre conscience morale parle, c’est la société qui parle en nous » ? « J’erre dans cette ville, dans cette meute…parmi tous ces visages, toutes ces voix qui m’assaillent, qui me dictent le Bien et le Mal… oh, je voudrais plutôt être aveugle… » Honoré de Balzac confie ainsi la détresse de ses derniers jours, dans une lettre adressée à un ami. Gagné par le délire, il désigne clairement son rapport avec la société comme « dictateur » du Bien et du Mal et plus

Analyse du sujet Sommes-nous capables de vivre en marge de la société, et, si oui, en avons-nous le droit? Le sujet pose à la fois une question de fait et une question de droit. en fait/en droit La société dont il est question ici est-elle l'ensemble de l'humanité (" la société des hommes "); ou une société particulière, un milieu de vie structuré et spécifique dans lequel est intégré un individu dont les rapports avec ses semblables sont réglés par des conventions plus ou moins fixes

impossible nos désirs, et donc changer nos désirs. Exemple : la mort de l'être aimé : on ne peut pas désirer qu'une relation amoureuse soit éternelle, c'est impossible... dans son désir, on doit accepter que des choses vont à l'encontre de ce désir. Les stoïciens nous incitent à renoncer a désirer en le raisonnant, la raison l'emporte donc. Nous devons vivre d'avantage avec la raison plutot que de vivre ses désirs. Pour eux, la vie bonne est sans désir, seulement avec des volontés (réalisables)

Sujet : peut-on vivre libre sans lois? Aperçu du corrigé : peut-on vivre libre sans lois? Le sujet traité fait surtout référence à la loi civile dans la mesure où l’on ne peut transgresser les lois naturelles, et parce que les lois morales sont des lois qui sont le fruit d’un consentement quand elles sont suivis. A première vue, il n’y a pas dans les lois morales véritablement de contraintes extérieures. Le sujet renverse l’idée que les lois sont des obstacles à la liberté en en faisant au contraire

LE PLAISIR : INTRODUCTION Lorsqu'on pose la question du plaisir, la question de la vertu n'est jamais loin. « Qu'est-ce qu'une vie bonne ? », Philèbe. La question de la nature du plaisir apparaît comme condition de sa valeur morale. I / La nature du plaisir La définition commune du plaisir est simple mais peu profonde. Le TLF le définit comme : « un état affectif agréable, durable, que procure la satisfaction d'un besoin, d'un désir ou l'accomplissement d'une activité gratifiante ». L'état

PREMIERE SECTION : La Morale I – L’éthique eudémoniste : a) « Ethique à Eudème », Aristote -Réfléchir sur le fait qu’on a de vivre ou ne pas vivre. Opinion des uns et des autres. Celles le plus souvent avancées ne sont pas des opinions suffisantes. Au début, impasse : Pourquoi les raisons que nous avons de vivre nous échappent ? La première thèse positive est celle d’Anaxagore. -D’abord, Aristote nous parle de la vie des plantes et des animaux. Puis de la notre, une vie contemplative

PEUT ON FAIRE DES REPROCHES A LA BONNE CS ? Rousseau qualifie la conscience d'«instinct divin», alliant alors nos pulsions animales au pouvoir suprême, qui permet à l'homme de distinguer le bien du mal. En effet, l'homme, cet être si singulier, possède la pensée et ses réflexions lui ont permis d'inventer le concept de moralité. Ainsi, la bonne conscience devient le juge de l'esprit, et règne chez celui qui «éprouve le sentiment de n'avoir rien à se reprocher» (Lalande). Mais est-il si facile d'acquérir