Peut T On Vouloir Vivre Dans L Illusion

temps semble obliger le lecteur à réagir aux événements qui se déroulent sous ses yeux ; le lecteur n’est donc plus un spectateur passif mais  il devient ainsi le témoin actif des scènes auxquelles il assiste. Dans ce recueil de J.M.G Le Clézio on peut aussi trouver du conditionnel pour évoquer les rêves d’une vie meilleure (O voleurs… p232) , (la grande vie… p161). On trouve aussi l’imparfait pour évoquer des tranches de vie des personnages avant le temps d’énonciation (le jeu d’Anne, la grande

humaine : on ne peut pas marcher sur l'eau, on doit mourir un jour... De plus, l'être humain est un individu social qui ne se réalise qu'au contact d'autres hommes. Or, peut-on penser que ceux-ci resteraient libres, sans morale ni contraintes publiques ? L'objection nous montre que notre définition est trop large car l'on risque de nier toute liberté. Si la liberté est l'absence totale de contraintes, alors on doit admettre que la liberté n'a aucun sens pour l'Homme (illusion). Si la liberté admet

Peut-on se passer de désirer ? Introduction : L'homme, éternel insatisfait, semble toujours dans l'attente, dans le manque. Ainsi, l'homme désir continuellement quelque chose. C'est d'ailleurs la base de la société de consommation : les objets comblent les besoins. Le désir, par définition, est une tension vers un objet manquant. C’est toujours l’expérience d’un manque, d’une insuffisance qui nous pousse à chercher un objet considéré comme source de satisfaction. Or, justement, si un individus

Sujet 1 : La nature de l’homme nous conduit-elle à la guerre ou à la paix ? - les mots-clés : le mot « nature » est polysémique, et l'exploitation de ce champ sémantique nuancera et enrichira les arguments. Rappelons que le mot « nature » peut désigner l'ensemble des caractères qui définissent un être ou une chose (ce qui est inné, spontané, par opposition à ce qui est acquis). Le mot « nature » recouvre aussi, bien entendu, l'ensemble des choses perçues, visibles, en tant que milieu où vit l'homme

La question de la vérité se pose dès que nous voulons porter un jugement, nous donnons une opinion qui nous est propre à chacun. Dans cette question « Peut » fait référence à la légitimité de la question de « dire » qui est d’affirmer « à chacun » pour toutes les personnes « sa vérité » qui est définie par l’adéquation entre le réel et le discours. Dans cette question est un jugement que l’on se pose où il faut savoir distinguer le vrai du faux, ce n’est pas le réel que l’on rechercher mais si

définition, inaccessible. Il m’est même possible de désirer ce qui ne l’est pas (échapper au temps,…). Jamais de tels désirs ne pourront-être satisfaits et il en découle alors un manque puisque l’on ne peut atteindre l’objet de son désir. « Je désire une poire ». On la veut, on l’a et on la mange. On peut alors croire éprouver une satisfaction, avoir assouvi son désir, mais il n’en est rien. Le manque nous reprend aussitôt. Toutefois en satisfaisant ce désir, j’ai détruit l’objet de mon désir. En satisfaisant

contradictoires qu’il y a hic et nunc tout lieu de démêler. L’autonomie peut se définir d’abord négativement par rapport à ce qui s’oppose à l’immunité de la personne, et s’entend alors comme refus de l’injustice, de la barbarie, de la violence et de toute subjugation ouvertement commanditaire ou de manipulation subtile, là où ‘‘l’ordre stipulé’’ « commande, (…) ordonne des comportements et les régularise. » 1 Ce concept d’autonomie peut s’entendre aussi positivement au besoin de déploiement de soi comme

une idée peut être réelle, même si elle n’est pas une chose. Donc la réalité, ce serait ce qui n’est pas purement subjectif ( que pour moi) mais objectif ( même si non empirique) car intersubjectif ( pour toute conscience). Donc la réalité, ce serait ce qui est le résultat d’un consensus présent dans la conscience collective : la réalité commune, quotidienne, la réalité selon la science. Ce consensus permettrait de distinguer ce qui est réel, de ce qui est fictif ou illusoire, mais on peut se demander

fondamental dans l'oeuvre balzacienne. L'argent c'est, d'après le Larousse 2007, la monnaie, en pièces, en billets, en valeurs mais aussi la monnaie qu'elle représente ; il conditionne également les comportements. Cela est évoqué dès le début des Illusions perdues, comme nous l'avons vu à l'occasion de la première explication de texte faite en classe. L'avarice du père Séchard a ainsi été mise en lumière, ce personnage demandant à son fils ce qu'il a fait de ses banques (page 72). Le compte de l'argent

donnent peut-être un but à atteindre, ils font tout simplement partie de nous. Mais un paradoxe peut se manifester lorsqu'on parle de désir et réalité. En effet, la question est de savoir si l'on peut prendre ses désirs pour desréalités. Nous verrons dans un premier moment que le désir est ancré dans la condition humaine. Ensuite, il s'agira de mettre en avant différents griefs que l'on peut adresser à l'objet désirant. Enfin, dans un dernier mouvement, nous verrons si un compromis peut tout de