Peut T On Vouloir Vivre Dans L Illusion

Satisfaire nos désirs semble être la condition nécessaire et sufsante pour être heureux  : comment pourrait-on être heureux si l’on se sait insatisfait ? Mais  : - Peut-on satisfaire tous nos désirs ? L’homme n’est-il pas au contraire un être nécessairement insatisfait ? Nos désirs n’excluent alors-t-il pas le bonheur  ? - Au contraire, ne peut-on pas avoir une vie heureuse avec des moments d’insatisfaction, de peines ? -Dans ce cadre, notre bonheur ne dépend-il pas plus de la conscience de notre vie

faculté de dire « je », comme le montre Kant. De plus, le sujet est immédiat avec lui-même : la conscience de soi est indépendante de toute extériorité ou toute médiation. Enfin, le sujet est unifié : grâce à la permanence de la conscience, le sujet peut unifier toutes ses représentations, malgré les changements qu'il subit au cours du temps. L'existentialisme de Sartre défend également l'idée que le sujet est libre et indéterminé, car il est défini uniquement par ses actions et non par une essence

ont une valeur absolue, irremplaçable (dignité) tandis que les choses n’ont qu’une valeur relative (marchande) car H peut raisonner sur lui mm, mettre en question ses actes, dire « je ». Lacan (psychanalyste) : « stade du miroir » : jeune enfant se reconnait dans son reflet. Husserl : intersubjectivité est fondatrice de l’objectivité, c’est en communiquant avec autrui que le sujet peut sortir de sa subjectivité. Risque de solipsisme (certain de son existence mais doutant de la réalité du reste du monde) 

permanence des objets. Si la connaissance implique des procédures d’objectivation, n’est-elle pas par principe condamnée à manquer l’identité d’un sujet ? Et qu’est-ce que le sujet ou le moi en-dehors de la conscience qu’il a de lui-même ? Une fiction peut-être comme le montre Hume, auquel cas la conscience de soi n’aurait pas d’objet et si elle en a un, elle est disqualifiée par la réflexion précédente dans toute prétention à l’objectivité. Alors faut-il renoncer à la connaissance de soi-même ou

vient à la fin de la vie, une fin qui peut arriver au bout de 10 ou 15 ans - ou après-demain. On espère que cela sera dix ans ou plus, mais c’est là une illusion, un désir, une sorte d’impulsion. On ne peut comprendre comment affronter la mort sans comprendre ou affronter la vie, car la mort n’est pas le contraire de la vie. Plutôt que de poser les questions : comment affronter la mort ou qu’est-ce que l’immortalité, si elle est un état dans lequel on peut vivre, on ferait mieux de demander comment

de nous étonner.   Chapitre I. Qu’est ce que l’éducation ? ou : Pourquoi être un élève ? A. Analyse : 1. La notion d’analyse : Exercice : L’analyse permet de juger une personne, on analyse son comportement (ses faits et gestes), on peut également analyser une situation, cela nous permet de réfléchir quant à la situation, on analyse les différentes possibilités. L’analyse permet de faire des choix, ce qui est bien, bon, mal, inutile… L’analyse permet donc la réflexion. - L’analyse

Dès lors se pose la question de savoir dans quelles conditions la conscience peut être un frein ou un moteur pour l’homme. La conscience suppose donc à la fois un retour sur soi et une ouverture sur le monde, elle s'apparait à elle-même comme étant à la fois l’image d’un moi profond et l’image du monde. Si notre conscience évolue uniquement et limitativement dans le respect des Autres ou des règles de la société, elle peut être considérée comme un obstacle dans l’évolution humaine. Si en revanche

animal qui dispose d'une conscience réflexive, c'est à dire qui est capable de se penser lui-même et de se vivre dans la singularité : dire "je suis moi-même", c'est dire "je ne suis pas un autre et j'assume la responsabilité de mon originalité". Mais, en même temps l'homme est aussi un être social qui subit l'influence des autres et on peut se demander si cela ne le conduit pas nécessairement au conformisme. Alors, les autres sont-ils l'obstacle

����� L'homme est le seul animal qui dispose d'une conscience réflexive, c'est à dire qui est capable de se penser lui-même et de se vivre dans la singularité : dire "je suis moi-même", c'est dire "je ne suis pas un autre et j'assume la responsabilité de mon originalité". Mais, en même temps l'homme est aussi un être social qui subit l'influence des autres et on peut se demander si cela ne le conduit pas nécessairement au conformisme. Alors, les autres sont-ils l'obstacle qui m'empêche d'être ou

Introduction L'opposition du bien et du mal, de la morale et de l'immoralité, des bons et des méchants, n'est selon Nietzsche qu'une illusion utile à la conservation d'un type humain : les prêtres, qui se servent de ces notions pour étendre leur domination à l'ensemble de l'espèce humaine. Il en fait la critique dans le passage de Humain trop humain que l'on se propose d'étudier, en analysant la définition que donnent les moralistes de la méchanceté. Il leur objecte qu'elle n'a pas de sens, ou qu'elle