Peut Ton Connaitre Autrui

individus qu'ils ne sont que des mortels, qu'ils doivent connaître leurs propres limites et qu'ils ne sont pas des dieux. Le "connais-toi" socratique est une recherche de l'universel dans le but d'atteindre une règle de sagesse .A travers cette citation, Platon nous montre l’importance de se connaitre, de savoir qui l’on est soi-même. L’interrogation "Suis-je le mieux placé" présuppose deux choses. Tout d'abord, même s'il est difficile de se connaître soi-même, nous nous connaissons certainement mieux

qui est placé au dessous. Le sujet n’a pas de sens seul. «L’enfer c’est les autres» l enfer: dépendance avec autrui. Reste identique à lui même à partir de l’acquisition du je malgré les changements. «La seule réalité de je que je peux avoir existe par la multitude de rôles joue». Sartre Selon lui l’introspection ne mène nul part. Pour Descartes seul je peux arriver à me connaître (solipsisme= solitude) Selon S. Deux manière d’être : L objet L’être en soi

Sujet : Nous sommes trop inattentifs ou trop occupés de nous-mêmes pour nous approfondir les uns les autres. Quiconque a vu des masques dans un bal, danser amicalement ensemble, et se tenir par la main sans se connaître pour se quitter le moment d'après, et ne plus se voir ni se regretter, peut se faire une idée du monde ». (Vauvenargues, Réflexions et maximes, in Œuvres, Garnier-Flammarion n° 336, p.2) Introduction Aujourd'hui, plus qu'hier encore, absolument plus personne n'est indifférent à

toujours responsable de lui-même par conséquent il ne sera pas responsable de ses actes. On peut légitimement se demander si mes actes déterminent ce que je suis ? Mes actes comme mes expériences participent à la création de mon être. C’est par son action de toucher à tout que l’enfant apprend ce qui est dangereux et ce qui ne l’est pas. Par exemple c’est en se brulant que l’enfant comprend que le feu peut blesser. Tout homme est l’auteur d’un certain nombre d’actes, de comportements normal à sont

Le « soi » intérieur peut se référer à une conscience existante et pourtant quelques fois cachées par un voile psychique le rendant impossible à identifier. Ainsi, la connaissance de soi demande un important retour sur soi même dans le but de rentrer en osmose avec sa propre conscience bien souvent réfutée. La question de sincérité est ainsi mise en relief par un manque de réflexion sur cette notion étant pourtant le cœur de notre existence. De ce fait, la sincérité reflète elle-même une vérité

propres convictions et son propre jugement. Ce sujet fait intervenir la conscience réflexive. L'homme est le zoon politikon d'Aristote, c'est à dire une citoyen avant tout. Il faut donc savoir si autrui est un obstacle à la constitution de soi. D'entrée il semblerait que oui dans la mesure ou il peut paraître qu'autrui n'a pas à influencer la constitution de soi. Mais, plongés dans la solitude sommes nous capables d'être nous mêmes? Il nous faudra donc étudier dans une première partie en

ce « je ». Si la prise de conscience répond à la question « suis-je ? », elle peut aussi répondre à la question « qui suis-je ?», comment alors parvenir à cette prise de conscience, à cette connaissance de soi la plus authentique et complète possible ? En effet, le problème est de savoir si, dans ce processus, l'on a besoin d'autrui ou si l'on a besoin de la solitude pour prendre conscience de soi, et mieux se connaître, à moins que cette conscience et cette connaissance de soi ne soient qu’illusoires

objective des idées est toute leur réalité ; elles ne disposent pas de ce que la scolastique a nommé : réalité formelle. Rien de conforme à ce que les pensées me représentent n'existent en toute certitude dans le monde extérieur6 . De la sorte, si chacun peut prendre conscience de lui - même, ce ne serait pas immédiatement, mais par la rencontre de quelque chose d'autre. Cet autre que moi, si nécessaire à la prise de conscience que je suis, cet autre que moi ne saurait les idées qui peuvent ne dépeindre

pouvoir le dire, le connaître, le répéter. [pic] L'énoncé un peu vague du sujet invite à une formulation plus précise de la ou des problématiques en jeu. On peut se demander ce qu'est la connaissance de soi en posant le problème de l'introspection, et si autrui n'est pas mieux placé que moi pour me connaître dans la mesure où ma subjectivité nuirait à l'objectivité de ma propre connaissance de moi-même. Inversement, autrui dans son objectivité peut-il réellement me connaître en tant que conscience

texte. Caractère insatiable du désir. Bonheur soulagement éphémère. Dans la douleur l'homme éprouve l'intensité de sa conscience réfléchie. Douleur: vouloir vivre négatif. Le bonheur ne peut-être qualifié que négativement. Le bonheur est un moindre malheur. Plaisir participerait du bonheur mais quantité peut être problématique. Parfois confusion entre le plaisir le besoin et la douleur= douleur de ne pas satisfaire d'autant plus douloureux. Ennui pesanteur du temps. Seul la souffrance permet de