Phedre Le Regard

transformer à chaque instant en débat, conflit, ou affrontement. Même dans le cas du monologue, le personnage débat en quelque sorte avec lui-même (exemples monologues des héros tragiques classique qui essaient de délibérer sur les résolutions à prendre : Phèdre, Andromaque etc...)On peut citer l'exemple du texte d'Anouilh qui se présente sous la forme d'un dialogue assez naturel entre deux soeurs échangeant leurs points de vue sur l'idée d'aller enterrer leur frère. 2) Les didascalies Autre spécificité

les genres de l’argumentation du XVIème siècle à nos jours. Introduction : la question de l’homme dans les genres de l’argumentation : histoire et évolution : Séquence 1 : la question de la femme au XVIIIème siècle : Problématique : quel regard nouveau porte-t-on sur la femme au XVIIIème siècle ? Quels auteurs ont remis en cause l’idée de son infériorité morale et intellectuelle ? Quels sont les enjeux de ces contestations ? Objectifs : - Définir les caractéristiques du siècle des Lumières

occupe une place particulière dans la littérature, c’est qu’il est à la fois le texte et la représentation. Le théâtre est par sa nature, un spectacle qui s’appuie sur un texte. En effet, le mot « théâtre » vient du grec qui signifie « lieu où l’on regarde ». La pièce de théâtre n'est donc pas destinée à être lu mais jouée. Cependant les textes de théâtre sont aussi publiés et le lecteur peut prendre plaisir à lire celles-ci. Le texte théâtral est-il autonome ou a-t-il besoin d’être vu joué sur scène

raisonnable mais il peut aussi être déraisonnable. Premièrement, l'amour est raisonnable car il fait de nous une meilleure personne. «Rien ne peut aussi bien que l'amour inspirer à l'homme ce qu'il faut pour mener une vie honnête» 1, comme le disait Phèdre. L’amour nous montre la voie pour être meilleur, pour élever notre être vers un niveau supérieur de conscience. Il nous rend bon et nous fait connaitre la joie, et la joie ne peut être pleinement appréciée que lorsqu’elle est partagée. En partageant

de mes aïeux » (Phèdre, Racine). Cette transcendance prend le plus souvent le visage de la fatalité toujours hostile au héros. Le héros tragique apparaît toujours comme un personnage maudit, marqué par la haine injustifiée des dieux ou bien il subit la malédiction attachée à sa famille qui se répand de génération en génération. Chez Racine cette malédiction est liée à son jansénisme. La fatalité dépossède l’être de sa volonté et lui dicte une conduite forcée. Très visible dans Phèdre « objet infortuné »

l’exposition -le discours (actio) -le dénouement -Sens concrète vs. sens figuratif -la césure de l’alexandrin (12 syllabes, après la 6ième) : correspond au point tournant /culminant -pourquoi l’auteur utilise les procédés de style là où ils les a mis ? -regarder les personnages et les mots qui les caractérisent Le corbeau et le renard ils devaient faire attention à ne pas faire confiance à tout le monde ! - - La fable et l’apologue sont des termes synonymes. - Dt. Begriff Fabel abgeleitet vom lat. fabula

de choses vont ê soulignées dans leur rapport pour les opposer : * Corneille = vertu romaine (Ms Nicomède c’est en Bithynie, Rodogune c’est en Syrie, Le Cid en Espagne médiévale, Médée en Grèce) * Racine = lyrisme de la poésie grecque (= Phèdre, Bajazet -> on est dans le mythe, ça n’a rien de grec) Méfions-nous des stéréotypes ! Britannicus = pièce qui, avec Bajazet … Dans sa concept° même de la trag, Corneille tendait tjs à minimiser la place de l’amour qui …. (En orange : A reprendre

mythe et le rapport de la tragédie. Le héros du mythe et le héros tragique sont la proie, d’une puissance qui est les dépasse, une puissance divine, une force qui dirige et oblige leur liberté que ce soit les dieux, la passion, la fatalité. Ex : Phèdre Le mythe se définit d’abord par son retour cyclique, il est exemplaire dans la mesure où il revient à de multiples époques, histoires, ce n’est pas le cas du tragique et de la tragédie. (Ex : Don Juan) La Princesse de Clèves n’est pas un mythe,

PARTIE 1 : LE THEATRE EST UN LIEU A/ THEATRE ANTIQUE 1/ Le mot théâtre vient du latin « theatrum » qui signifie « lieu où l'on regarde » autrement dit « le lieu d'où l'on a des visions » venu du grec ancien « θέατρον » (theatron en lettres latines) possédant le même sens que le mot latin. Le mot latin « spectaculum », est l'origine du nom commun « spectacle » et est issu de « spectare ». 2/ L'architecture destiné aux édifices théâtraux grecs apparaît vers 550 avant JC devant le temple

exemple jusqu'au théâtre contemporain de nos jours. Toutes ces pièces ont cependant le même objectif, celui d'être représentées. En effet le nom « théâtre » vient du latin theatrum, lui-même venu du grec ancien theatron qui signifie « lieu d'où l'on regarde», la pièce de théâtre n'est donc pas destiné à être lu mais jouée. Cependant les textes de théâtre sont aussi publiés et le lecteur peut prendre plaisir à lire celles-ci. Nous pouvons donc nous demander si la simple lecture d'un texte théâtral est