Phénoménologie de l'esprit

termes, car pour que l’être humain sache qu’il ment, il faudrait qu’il ne sache pas qu’il le fait. En effet, mentir fait allusion au mensonge, à l’illusion, à l’erreur. La vérité est l’accord de l’esprit avec la réalité, c’est la sincérité, donc mentir c’est ne pas être sincère, c’est un désaccord entre l’esprit et la réalité. Mentir, c’est cacher une vérité que l’on connaît, il est donc facile de mentir à quelqu’un, mais se mentir à soi même c’est savoir la vérité et se la cacher. « Peut-on » invoque

Voici un texte fameux (paru en 1989 dans le magazine La Recherche), d’un des plus grands philosophes du XXème siècle, Michel Henry. Fondateur d’une phénoménologie matérielle post-husserlienne et post-heideggérienne, cet auteur a certainement argumenté la plus forte et la plus sérieuse critique de toute l’histoire portée à la science et à la réalisation de cette dernière dans la technique moderne (cf. La Barbarie paru en 1987). M. Henry reprend dans le texte qui suit, l’essentiel des résultats

mutation du singulier en universel, ne se fait pas directement. Là encore, des intermédiaires, des modalités, des procédés spéciaux apparaissent. La première de ces modalités est l’intuition, modalité de la connaissance mettant sans intermédiaire l’esprit en présence de son objet, objet de nature spatio-temporelle. L’intuition désigne en effet la manière dont un objet se donne immédiatement à notre connaissance, mais n’est possible qui l’on nous a déjà « donné » l’objet, si on l’a déjà « senti » :

Les psychothérapies La psychothérapie est composée du mot « psycho » (= esprit) et du mot « thérapie » (= soin) signifie le soin de l'esprit. Le terme de « psychothérapie » est inventé en 1891 par Hippolyte BERNHEIM dans son ouvrage « hypnotisme, suggestion, psychothérapie » et a lancé le courant des psychothérapies. Les psychothérapies sont proposées dans un mode précis défini par le thérapeute, c'est a dire : • Un lieu • la durée de la séance • la fréquence des séances

consciente par laquelle l’homme extériorise dans le monde des fins destinées à le modifier de manière à produire des valeurs individuellement ou socialement utiles et ainsi à satisfaire ses besoins biologiques et spirituels. Hegel => phénoménologie de l’esprit. Deux individus cherchent à être reconnus l’un par l’autre : l’homme a besoin de reconnaissance ( ҂ animal qui n’a pas de conscience ) => lutte qui doit prendre fin. Il faut aller jusqu’au bout du conflit car le conflit n’engendre

Cet extrait est issu de l’ouvrage intitulé : Phénoménologie de la perception. Il a été écrit par Merleau-Ponty au milieu du XXème siècle. C’est dans cet ouvrage que Merleau-Ponty entreprend de définir l’homme de trouver la réponse à la fameuse question : Qui suis-je ? Ainsi, lorsque que, dans cet ouvrage, il en vient à chercher si l'utilisation que l'homme fait de son corps ne dépasserait pas l’être simplement biologique, il découvre que l'association de la nature et de la culture, est indispensable

animaux par la production de ses propres subsistance. C’est à dire qu’il fabrique lui même ce dont il a besoin pour vivre. Et comme disait Hegel : L’homme prend conscience de ses besoins et met en œuvre des techniques pour les satisfaire (Phénoménologie de l’Esprit). De nos jours, toute la nature est devenue un fond exploitable et calculable (Martin Heidegger), c’est notre source de travail que nous avons appris peu a peu à exploiter pour que celle-ci nous serve. Mais l’évolution des besoins nous

que je la théorise, puis je la mets à l’épreuve en agissant dans le monde, en cherchant la reconnaissance de ma singularité de sujet dans le regard de l’autre (ce qui est expliqué à travers la dialectique du maître et de l’esclave dans la Phénoménologie de l’Esprit) Mais mon être se forme-t-il uniquement grâce à l’activité de mon cogito, ou puis-je être un autre, totalement différent et étranger à ce que je me représente ? Y a-t-il un dédoublement de l’être ? Une opposition entre l’être et le paraître

l’évolution du nôtre sans qu’on puisse les soumettre au calcul ou les approximer. Roger Penrose fait d’ailleurs l’hypothèse qu’un tel modèle est envisageable pour concilier mécanique quantique et relativité généralisée dans son livre Les deux infinis et l’esprit humain. Autrement dit les mathématiques et la logique suggèrent dans leur développement des formes de conception de l’insaisissable. La connaissance mathématique et logique devient étude de conceptions qui intègrent des limites à la connaissance

suivant la version du platonisme dont on parle, peuvent être les concepts (les Idées en général ), les nombres (platonisme mathématique ), ou encore les valeurs logiques. -spiritualisme :  Le spiritualisme est une doctrine qui affirme l'existence de l'esprit comme une réalité supérieure et antérieure à la matière1. Cette doctrine proclame également l'existence de valeurs spirituelles et morales. Déf :Le spiritualisme tend à affirmer qu'il y aurait deux réalités : la réalité matérielle et la réalité spirituelle