Phénoménologie de l'esprit

GEORG WILHELM FRIEDRICH HEGEL (1770-1831) Dialectique de maître et de l’esclave La conscience est un résultat (1807) La dialectique du maître et de l’esclave que l’on trouve dans la Phénoménologie de l’Esprit de Hegel décrit comment la conscience se transforme en conscience de soi. Faisant de celle-ci un résultat et non une réalité spontanée, elle apparaît comme une critique de la conscience-substance. Toutefois, elle n’invite pas pour autant à se délivrer de toute conscience. Car, si

penser par exemple au nu en danse. Mais c’est absolument secondaire ! Ca n’est pas un enjeu. Il y a un enjeu: la présence. Un médium: le corps. Le nu n’en est qu’une variation. L’unique intérêt est, dès lors, la façon dont le nu s’habille par l’esprit: il y a des nudités violentes, d’autres douces, des crues, des abstraites, des cliniques, des discursives, des genrées, des énigmatiques, des obscènes, des drôles, des floues, des surprenantes, des banales… Le projet de la plupart des artistes

Chapitre 3 : Que savons nous des autres ? Notions : autrui, le devoir, la matière et l’esprit et le vivant 1) Problématiques 2) Définitions Altérité : c’est un concept constitutif de notre façon de penser le monde et de nous penser nous même. Qui dit altérité, dit rejet et étrangeté. Autrui : Le mot est invariable et sans article. Il vient du latin alter qui signifie différent et de hic qui signifie proximité/relation. Une double tendance, une lié à la différence, l’autre à l’étrangeté

tous eu des doutes sur des choses dites, sur une vérité quelconque ou encore sur le monde qui nous entoure. Nous pouvons alors nous demander si le philosophe est sceptique. Le scepticisme est une doctrine selon laquelle la vérité est inaccessible à l'esprit humain, ou que l'on ne peut jamais être sur de l'atteindre. Dans les deux cas il est indissociable du doute dit « sceptique » lequel, et dans la mesure où il n'est aucunement transitoire ne peut conduire à la suspension du jugement. Le philosophe

dans un processus électro-chimique du cerveau resp. dans une longueur d'onde lumineuse), alors que ces deux termes font partie de niveaux irréductibles l'un à l'autre: le niveau du sujet, et le niveau de l'objet. Les rapports entre le corps et l'esprit sont absolument déroutants. Je reprends l'exemple de la couleur. Qu’est-ce que le rouge? La science nous apprend comment sont excitées les cellules rétiniennes par telle longueur d’onde qui vient les frapper, et comment cette excitation est transmise

DIDÁCTIQUE DU FRANÇAIS álvaro.barrón@hotmail.com 0033609987995 T3.Syntaxe et sémantique en langue in fieri. 1.L'originalité du verbe en tant que phénomène et puis en tant que partie de langue. La phénoménologie impose des conséquences non négligeables par rapport à autres parties de langue. Ce vocable, verbe, est avant tout un phénomène qui est toujours présent dans l'histoire de la humanité ; dans nos langues le verbe est omniprésent : “Au commence, il était le verbe” Marina

un souvenir, une idée… tous nos états de conscience peuvent être envisagés comme des apparences, ma conscience elle-même définit la façon dont je m’apparais à moi-même. Dès lors, c’est bien plus du côté du sujet qu’il faudra chercher, avec la phénoménologie, la fausseté ou la vérité de l’apparence, puisque l’être même des choses semble tout entier donné dans l’apparaître. Pyrrhon a construit son scepticisme en commençant par le trope de la critique des sens, les illusions perceptives ne

Heidelberg puis de Berlin entre 1818 et 1829. Hegel y définit l’esthétique comme la science du beau, une conception qui s’imposera. Il différencie les différents types d’art (symbolique, classique, romantique), comme autant de moments du déploiement de l’Esprit. Hegel donne son sens moderne au terme d’« esthétique ». Avant lui, l’esthétique désignait la science du sens, de la sensation. Le rapprochement de l’art et de l’esthétique avait été initié par Wollf, car il considérait que les œuvres d’art devaient

* Cogito – voir « JE » * Médiation du langage * Dialogue intérieur * Entendement * Existence – médiate et immédiate * Conscience – théorique et pratique * Animaux ≠ homme – le conscience : le propre de l’homme * Phénoménologie - intentionnalité * Expérience * Solipsisme - enfermement du moi – seul au monde Inconscient (coma) ≠ inconscience (Freud) ≠ inerties (Platon) SAVOIR AVEC : * Liberté * Morale/responsabilité * Conscience de soi = ou ≠

pas parfait). On ne saurait top insister sur l'importance du terme "possibles" dans cette citation. Montesquieu C'est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ; il va jusqu'à ce qu'il trouve des limites. (De l'esprit des lois) Ces trois citations expliquent et énoncent le principe de la séparation des pouvoirs. Parce que posséder le pouvoir, c'est être tenté d'en abuser, le pouvoir risque de tendre au despotisme. Il faut donc instituer des contre pouvoirs. Reconnaissant