Phénotype

On étudie chez la Drosophile la transmission de trois gènes différents possédant chacun deux versions alléliques : corps noir et corps gris ailes tordues et normales œil rugueux et œil lisse Tout croisement entre un individu sauvage, de phénotype [b+, c+, r+] de souche pure et un individu mutant pour un ou plusieurs de ces gènes donne toujours 100% d’individus de type sauvage qui constituent la génération F1. On ne considère que les caractères corps et ailes. On croise une Drosophile femelle

sauvegardent d’une génération à l’autre certains traits de chaque caractère qui favorisent la survie et la reproduction. Le principe de sélection naturelle repose sur trois principes : - La variation : Chaque individu d’une espèce possède un phénotype, donc un génotype différent des autres individus. C’est la première condition pour qu’il y ait sélection naturelle : certains caractères doivent présenter des variations (ex : poissons bleus ou colorés) - L’adaptation : Les variations (ou traits)

caryotype va nous permettre de comprendre le rôle des chromosomes sexuels dans le déterminisme du sexe. Elle  montre que : - tous les caryotypes ne présentant que des X sont féminins (XX, XO, XXX) - la présence d’un Y est systématiquement associé au phénotype est masculin (XY, XXY, XYY…). C’est donc la présence du Y et non le nombre de X qui détermine la différenciation du sexe masculin.   Il existe cependant de rares exceptions de cas cliniques de caryotypes inversés.   b) Le sexe génétique détermine

Les innovations génétiques I. La diversité des phénotypes individuels Le phénotype est l’ensemble des caractères observables d’un individu. La diversité d’un individu porte sur le phénotype qui diffère à différentes échelles : Macroscopique (caractères observables à l’œil nue), cellulaire (présence de marqueurs à la surface des cellules), Moléculaire (synthèse des protéines).

de cours     A partir du XXème siècle, les connaissances en génétique permettent de maîtriser des techniques scientifiques de croisement pour obtenir de nouvelles plantes qui n'existaient pas dans la nature: sélection de phénotypes avantageux associées à l'identification de gènes hybridation orientée afin de combiner différents génotypes avantageux (exemple du maïs: doc 1 de cours) 1er hybride: 1947 Ces pratiques scientifiques ont contribué à l'obtention et la conservation

.................................................................................................................................. > Du sexe génotypique au sexe phénotypique A Sexe phénotypique et sexe génétique B La réalisation du phénotype sexuel C L’acquisition de la fonctionnalité de l’appareil reproducteur ......................... 197 198 Conclusion Chapitre 2 > La régulation physiologique du fonctionnement de l’appareil reproducteur mâle ..........

....................8 III.2 Le mode de transmission ne répondant à aucun des schémas de transmission de maladie monogénique ou mitochondriale, la maladie est dite "complexe"................................ 9 IV Maladie génétique "compexe" et phénotype quantitatif continu........................................... 10 V Ou s'arrête la variabilité interindividuelle et où commence la maladie multifactorielle, la maladie génétique "complexe" ?.....................................................

même gène), lors que le gène ne s’exprime pas phénotypiquement (ex : yeux brun et peau blanche). * Le phénotype : Caractéristique visible chez un individu => c’est l’apparence (ex : couleur de la peau) * Influence de l’environnement sur le phénomène génétique : * Des plantes ayant le même phénotype on des génotypes différents. * Les roses ayant le même génotype ont des phénotypes différents selon leur environnement. * L’on rencontre ces phénomènes chez l’homme, c’est pourquoi l’on

Rappel du sujet de juin 2005, phénotype masculin et AMH : La différenciation sexuelle débute au cours de la vie embryonnaire et se termine à la puberté. Elle est sous contrôle génétique et hormonal. Pour des causes diverses, certaines anomalies peuvent être observées. Chez un garçon de dix ans, une ouverture chirurgicale de la paroi abdominale a révélé une organisation normale de l'appareil génital mâle mais également la présence d'un utérus dans la partie médiane de l'abdomen. À partir de l'exploitation

d'éléphant", l'autre à soies "chevelues" et à pièces buccales normales donne des individus F1 qui présentent tous le même phénotype : soies et pièces buccales normales. On croise un individu F1 avec un individu de lignée pure présentant des soies "chevelues" et de pièces buccales en "trompe d'éléphant". Les résultats sont consignés dans le tableau ci-dessous. |phénotype |nombre d'individus | |On notera :