Photogramme

« dessins photogéniques ». Mais c’est surtout le travail de Christian Schad qui fait douter de la découverte fortuite des rayogrammes par Man Ray. En effet, Christian Schad avait réalisé des photogrammes en 1818-1819 qu’il avait nommé « Schadographies ». Même si j’ai utilisé le mot générique de photogramme, il faut savoir qu’il n’est apparu qu’en 1929 avec Lazslo Moholy-Nagy un constructiviste qui s’intéressa au procédé quelques mois après la découverte de Man Ray. Plusieurs choses différencient

facteur formel primaire, qui crée l’espace et le mouvement, et élimine la perspective centrale de la photographie ». En 1925, il appelle « photogramme » ses « photos sans appareil ». Passionné par les nouvelles techniques et toujours à la recherche de l’innovation, il devient l’un des plus grands photographes de son époque, réalisant de nombreux photogrammes et photomontages. C’est aussi au Bauhaus que l’artiste conçoit et réalise un équipement destiné à la scène intitulé « Licht-Raum Modulator »

Bad Burns, Paul Sharits Paul Jeffrey Sharits (1943-1993) est un artiste américain « underground » spécialisé dans le multimédia. Il est surtout connu pour son cinéma expérimental utilisant le photogramme, le défilement, le ralentissement des images, etc. créant ainsi de nouvelles œuvres à partir d’une simplification du cinéma à sa nature de base. Pendant sa carrière, Sharits n’a cessé de travailler le cinéma de manière nouvelle et non classique, comme pour son œuvre Bad Burns (16mm, 6 min

ému par le père et vivre la scène de son côté » écrit Charles Tesson. Qu’en pensez-vous ? N’est-il pas possible d’être en accord avec les deux points de vue à la fois ? RESSOURCES HUMAINES, l’affiche du film : RESSOURCES HUMAINES, photogrammes : Plan 1, à la maison (début du film) : Plan 2, dans l’usine (fin du film) : Analyse globale de RESSOURCES HUMAINES, film de Laurent Cantet, 1999, 100mn. Après visionnage, question globale : de quoi parle ce film ? ► Feed-back

souvent un de ces deux mots est sous-entendu dans les réponses des élèves. Deuxième étape : Réalisation de photogrammes afin de faire prendre conscience aux élèves de l'existence d'objets qui réagissent à la lumière. ( Une question : "Pourquoi le papier photographique est-il emballé dans une épaisse pochette en plastique noire ?" ( Une expérience : réalisation d'un photogramme ( Déroulement de l'expérience - Les rideaux noirs de la salle sont abaissés. - J'éteins les lampes

le salut nazi associés à l'attitude fourbe attribuée classiquement au loup dans le conte. PHOTOGRAMME 1 PHOTOGRAMME 2 ▪ Par le comique de situation. Ex : peureux, idiot et dragueur, il n'est nullement un chef de guerre terrifiant. PHOTOGRAMME 3 PHOTOGRAMME 4 ▪ Par l'utilisation de connotations9 de deux types : ▪ Racistes. Ex : le pied de Wolf transformé en saucisse de Francfort (stéréotype). PHOTOGRAMME 5 ▪ Sexy, voire sexuelles. Particularité de Tex Avery, dont il fera un des éléments de son

. Essais critiques III. Le troisième sens Le photogramme pp. 59 à 61 C'est pourquoi, dans une certaine mesure (qui est celle de nos balbutiements théoriques), le filmique, très paradoxalement, ne peut être saisi dans le film "en situation", "en mouvement", "au naturel", mais seulement, encore, dans cet artefact majeur qu'est le photogramme. Depuis longtemps je suis intrigué par ce phénomène: s'intéresser et même s' accrocher à des photographies de film (aux portes d'un cinéma, dans les Cahiers),

en scène un personnage musicien en qui pendant toute la durée du film va créer une chanson muré dans une solitude involontaire Gaspard travaille son instrument et sa composition inspirée de chants marins seul dans sa chambre. Photogramme 1 Photogramme 2 Aussi, les trois filles que Gaspard va côtoyer vont toutes chanter une chanson. Mais aucune d’entre elles ne se montre, par rapport à la musique, à la création artistique, active. Léna a commandé la chanson, Margot en a

parodie-t-elle ? Quel est le point commun de ces publicités ? …………………………………………………………………………………………………...  2    Rédiger  un  scénario  de  publicité     a. Créez dans votre répertoire personnel un dossier dédié à ce projet, nommé « photogramme ». b. Travaillez d’abord au brouillon. Choisissez par binôme un objet de votre quotidien le plus courant. c. Trouvez-lui un nom à la mode. Si vous manquez d’inspiration, suivez les conseils donnés dans l’introduction de cette page : www.conseilsmarketing

livre/film. III. Analyse d’un extrait. L’extrait choisi doit présenter un intérê et être ANALYSE, non pas résumé seulement. S’il s’agit d’un livre, l’extrait doit être numérisé ou photocopié ; s’il s’agit d’un film, vous pouvez prélever des photogrammes ou indiquer le lien internet où se trouve la séquence. Analyser, ce n’est pas résumer ou décrire ! IV. Critique personnelle. A quelle(s) question(s) le livre/le film répond-il ? Ce traitement est-il satisfaisant, convaincant ?