Photographie pure

divers comme la sculpture, la peinture... Les artistes " traduisent" selon leurs ressentis, leurs personnalités, leurs talents, une idée du réel, du vécu ou du métaphorique ; cependant ce qui touche au réel dans toute son objectivité, c'est la photographie. Celle-ci retranscrit la réalité par sa capacité descriptive . Dans une étude détaillée , nous parlerons d'Henri Cartier-Bresson , photographe, qui a réussi à saisir un artiste, Alberto Giacometti . II. L'étude : Les deux oeuvres ressemblent

limitatif : Le portrait photographique de 1960 à nos jours, continuité et évolution. Dans son principe de base, la photographie hésite entre une représentation fidèle de la réalité et un enregistrement du réel. L'histoire du portrait photographique est empreinte de l'histoire de la peinture, mais également de la science pour les aspects techniques et chimique de la photographie argentique, mais aussi numérique. La démocratisation du portrait soulève des questions de vérité et d'identité puisque

C’est dès le début du XXème siècle que la photographie fait son entrée dans le domaine artistique. Elle va alors insuffler un nouveau courant de création, mais aussi de nouvelles problématiques. En effet, étant considérée jusqu’alors comme une pratique « mécanique » de production d’image, elle va mettre quelques années à se placer en tant que pratique artistique. Cependant, même si elle est aujourd’hui reconnue en tant que telle, elle bénéficie encore de différents statuts. C’est ce que soulignait

« Le néon dans l’art contemporain, obscure clarté » « Dans tout ce qui est là, dans une photographie sous notre regard, il n’y a que de l’ombre et de la lumière. Mais dans un rapport inverse de celui du réel : l’ombre et devenue matérielle et la lumière est absence de grain d’argent. L’image photographique tient sa matérialité de celles des ombres, lesquelles n’étaient, dans le photographié, que manque de lumière. » « La matière, l’Ombre

Un soir au café, il décide de prendre un verre d’absinthe et soudain, l’inspiration vient. Le récit continue, en décrivant les visions de l’écrivain, et conclu finalement quand celui-ci décide de prendre une absinthe pure. Il est suggéré implicitement qu’après ce verre d’absinthe pure, l’écrivain sera incapable d’écrire son roman rêvé. Manuel-Antonio Monteagudo. • Antony Deschamps (1800-1869) Né à Paris le 12 Mars 1800, Antony Deschamps est l’auteur du plus ancien travail littéraire sur

l'on imagine être les responsables et les bénéficiaires de ces actes. L'art engagé dénonce cette occultation intéressée. L'art obscène, quant à lui, choisit de montrer l'irreprésentable, la violence dans sa crudité la plus extrême, dans son outrance pure. Il est apparemment sans intention, si ce n'est de montrer le visage de l'horrible et de nous amener à le fixer sans ciller. L’artiste engagé d’aujourd’hui comme d’hier critique ; il réalise des petites interventions qui ne laissent pas forcément

La photographie de guerre Sommaire: Introduction 1) L’évolution de la photographie de guerre 1.1) La photographie de guerre avant 1939 1.2) La photographie de guerre après 1939 2) Le photographe de guerre 2.1) Son métier 2.2) Les grands photographes de guerre 3) Les enjeux de la photographie de guerre 3.1) Ses impacts 3.2) Son contrôle 3.3) Ses travers Conclusion Introduction : La photographie est devenue au fil du temps un moyen de communication très

laquelle cette chose sera saisie crue et vive, puis laissée là, et la « voilà » ! Francis Bacon Sans avoir véritablement jamais appuyé sur le déclencheur, Francis Bacon (1909-1992) a été marié à la photographie. Il est très tôt pris d’une frénésie envers la photographie et découpe dans la presse et les livres de cinéma, parfois il commande même des clichés qui lui servent de modèles pour ses toiles. « Document de travail », la photo s’est chez lui substituée à l’étude préparatoire

également, elle fige le temps et l’arrête. On pourra donc dire qu’elle a cette faculté d’attraper la plus fugitive des choses, de chasser la vie et de la faire subsister comme souvenir on s’offrant à elle en tant que support. L’image impose alors une pure présence de ce qui est absent. Mais il existe pour autant un autre ongle de perception de l’image qui limite sa puissance, car l’image n’est pas le réel, elle est une représentation interprétée de la réalité, elle n’est pas objective et ne concerne

est sensible au contenu évocateur des images. Dans l’art occidental, la nudité féminine a été considérée comme non désintéressé : cette nudité étant pure, l’ambiguïté viendrait de l’œil du spectateur. Comme par le passé, l’image de la femme est essentiellement un produit masculin. La grande majorité des modèles ont été dessinés, peints ou photographiés par des hommes qui appliquent leur vision, déjà en choisissant la pose et ensuite, en déterminant sa situation, c’est-à-dire le sujet. Les images de