Phrase

contenant, la matière et l’objet. N° 3 du poly La synecdoque Prendre la partie pour le tout et inversement (proche de la métonymie). N° 9 du poly II. Les figures fondées sur l’opposition L’antithèse Opposition de deux mots dans une même phrase. N° 6 du poly L’oxymore Opposition de deux mots dans une même expression. N° 4 du poly L’antiphrase Dire le contraire de ce que l’on pense (souvent moquerie) = ironie. N° 26 du poly N° 39 du poly III. Les figures fondées sur l’insistance

Le type de phrase Les prévenus n’ont pas été convoqués Les peines ont été fixées PHRASES DECLARATIVES A travers ces phrases déclaratives l’auteur montre le caractère injuste du pouvoir en place La figure de style vos gueules d’anus d’hyène Vos oreilles de léporides Métaphore Ces différentes métaphores mettent a nue la discrimination effectuer par le parti unique BILAN PARTIEL Le type de phrase et la figure de

mise en place d’une tactique. Le premier mot de la première phrase « enfin » marque la rupture entre l’intention et la décision. Elle est décidée et déterminée « malgré les ordres sévères que Balthazar avait donné » ligne 2, l’emploi de l’adjectif « sévères » nous montre qu’elle est prête à tout même à encourir la colère de son mari. Le verbe « voulut » nous montre encore une fois sa volonté de combat comme on le voit plus loin dan la phrase ligne 5 « combattre corps à corps contre sa rivale » le verbe

difficultés et de l'évolution de votre réflexion. 1. numérotez chaque phrase ou si celle ci est longue, chaque unité de sens 2. Statut de la phrase : s’agit-il d’une affirmation, d’une négation, d’une interrogation ? Le ton est-il critique, ironique, polémique… ? Y a-t-il un terme d’opposition ? Lequel ?… 3. Qu’est-ce qui est dit ? (Cette colonne correspond à ce que serait une paraphrase) Il ne faut pas alors résumer simplement la phrase du texte mais relever tout ce qui est affirmé. 4. Colonne essentielle

avouez-le vous en aimez un autre », cette phrase déclarative et affirmative a pour but de faire douter Lucienne sur son amour pour son mari, en considérant que sa pensée est vraie. -Phrases exclamatives et questions rhétoriques, l17, « Mais si ! (…) l’état d’extrait » Il insiste pour lui montrer qu’elle ne l’aime pas. -l 35 « Jamais la première, mais la seconde…Tout de suite !...Comme je le disais dernièrement à… ».Lucienne parle vite et ne finit pas sa phrase, cette rapidité déclenche le rire chez

paragraphes de quelques lignes qui se suivent et cette écriture reste classique, il répète à chaque début de paragraphe « Au bout du petit matin » et « Dans cette ville inerte ». Alors qu’a la fin du poème, l’écriture ressemble plus à des bouts de phrases mis les uns aux autres avec des retours à la ligne très fréquemment et cela sort totalement de l’écriture classique, ici c’est Césaire qui a choisit une disposition comme cela et on pourrait faire un rapprochement éventuel avec le style surréaliste

Impliquant la permutation des constituants de la phrase a) Proposez des paraphrases pour les phrases suivantes en opérant des déplacements de constituants:  À une heure aussi tardive les rues de notre ville sont en général désertes. – Avec ces embouteillages un bon quart d’heure est nécessaire pour atteindre le centre dela ville. – À l’heure de la récréation, il traversa rapidement la cour pour gagner la salle des professeurs. b) Dans les phrases suivantes, changez l’ordre des constituants et

fantasque. Objectif : L’élève doit être capable de faire la différence entre l’opposition et la concession. Durée : Une heure Prérequis et outils langagiers : Phrase simple et phrase complexe- les conjonctions de coordination et les conjonctions de subordination- le subjonctif présent et l’indicatif… I-Observation Présentation des phrases- supports sur le tableau : 1. Jaques est trop maigre pourtant son frère est obèse 2. L’une bonne, l’autre mauvaise 3. L’enfant est tout blanc et tout vermeil

des plus importantes :c’était, en premier lieu, la propriété nouvellement acquise par l’infinitif de s’attirer une préposition. Accompagné de celle-ci, l’infinitif a tellement enrichi ses possibilités syntaxiques qu’il a pu, depui, exercer, dans la phrase, la fonction de tous les termes principaux. Donc, dans l’ancien français, l’infinitif tenait à la fois du substantif et du verbe, s’étant arrêté à mi-chemin dans sa marche régressive. La parenté entre l’infinitif et le substantif se manifestait

syntaxiques. La syntaxe correspond à l’organisation des informations au sein de la phrase. Dans un texte littéraire, elle renvoie à des choix qui portent le plus souvent des significations, qui permettent de souligner telle idée, tel argument, telle sensation ou impression. Les procédés syntaxiques s’appuient sur les éléments suivants : ← longueur de la phrase; ← organisation interne de la phrase  et ordre des groupes (propositions[1], groupes nominaux, groupes prépositionnels, adjectifs