Phèdre Fabuliste

lui garantir la vie en cas de tempête. L'issue du récit semble donner raison au Roseau, puisque le vent « déracine » le Chêne, alors que le Roseau « plie » sans céder. Au registre polémique se superpose donc le registre didactique. En effet, le fabuliste cherche à délivrer un enseignement au lecteur. Cependant, la morale de la fable n'est pas exprimée. On peut donc tenter de la retrouver. Dans un premier temps, on peut penser que la fable défend l'idée selon laquelle n'est pas toujours le plus fort

. Situation : La Fontaine, célèbre fabuliste et moraliste du 17ème siècle qui connait bien la cour et les animaux, la nature. Il était maître des eaux et forêts. C’est une poésie, une fable. C’est un texte narratif mais qui contient aussi une argumentation explicite (Vers 17 « je » et il y une morale). La Fontaine s’adresse aux lecteurs (vous). . Plan du texte : Vers 1 à 16 : les circonstances (mort de la lionne, organisation des obsèques). Vers 17 à 23 : 1ère intervention du moraliste qui

Le Rat et l'Huitre Présentation: Pour cette fable La Fontaine ne s'inspire de personne, par contre il cite une citation du Rabelaisien Picrocholin. Problématique: Comment par ce récit de voyage le fabuliste enseigne au lecteur une leçon de vie? I- A nous deux le monde Mise en situation : autour du Rat qui veut découvrir le monde. Du champs au trou l'espace se ressers : il étouffe dans son trou. Champs lexical de champs. Le rat ne s'inquiète pas de ses actes : parataxe (juxtaposition de

Jean de la Fontaine est né le 6 ou 7 juillet 1621 . C'est un fabuliste du 17 ème siècle , il fut au service de la cour royal donc du Roi Louis XIV ce qui lui inspirera le fait d 'écrire des fables et donc de critiquer le système politique de son temps : la monarchie à travers un procédé de personification des animaux , objet , éléments naturels . Le but d'une fable est de plaire mais aussi d'instruire ( fonction didactique) . Voici ci-dessous quelques-unes de ses grandes oeuvres : 1654 Première

Monsieur de Barillon, à qui il dédie une fable à buts argumentatifs. Nous verrons ainsi de quelles manières La Fontaine plaide-t-il pour le genre de l’apologue à travers « Le Pouvoir des Fables » : en effet, à travers une argumentation indirecte, le fabuliste fait transparaître la valeur politique de la fable, ainsi que sa valeur morale. En raison de sa qualité de discours narratif à visée argumentative, nous pouvons tout d’abord définir que cet apologue plaide auprès de quelqu’un : en l’occurrence

rat La Fontaine, né en 1621 à Château-Thierry, était un partisan des anciens, c’est-à-dire de l‘imitation des textes antiques qui selon certains représentaient ce qu‘il y avait de mieux à travers toute l‘histoire littéraire. Mais, le célèbre fabuliste et écrivain Jean de La Fontaine reprend ici les fables d’Esope avec modernité et originalité en replaçant dans le contexte de l’époque ces fables qui mettent en scène des animaux de toutes sortes et tout en leur donnant une portée universelle. La

fables de ce premier recueil) ; d’autres signes témoignent de la gravité de la fable : l’emploi de l’alexandrin et ce, dès le vers liminaire (« Il était une vieille/ ayant deux chambrières ») mais aussi le recours à des références savantes : le fabuliste n’est pas qu’un simple amuseur, il est avant tout un érudit et un professeur, maniant aussi bien les références historiques (avec l’Antiquité de Phébus et Thétis) que géographiques (« Charybde », « Sylla » au vers de clôture). Enfin, la fable prétend

et son fromage, ou encore l'Âne qui donne pour tous les autres en tribut au ciel sa propre vie (VII, 1). Et il faut bien constater avec Rousseau que le lecteur, emporté par le récit, n'a pas tellement pitié de ces victimes… Car il est rare que le fabuliste consacre quelques vers à s'apitoyer sur le dindon de la farce : il nous livre les faits tels quels. 3. Quelle morale de vie se dégage des fables : débrouillardise et médiocrité ? Devant ces constatations, s'il fallait se forger un code de vie

que La fontaine nous fait part d’une banale histoire d’un berger puisqu’il nous raconte ses habitudes. Les premiers adjectifs employés sont simples, comme « imbécile » (v.2), ce qui prouve que ce texte a été rédigé pour un large public. Le but du fabuliste est d’attirer la pitié du public, pour cela il va utiliser des phrases clés, notamment « Ah ! Le pauvre Robin mouton ! ». Les personnages utilisés sont basiques, comme « le Loup » (v.3) ou « Robin Mouton » (v.6), afin que le lecteur suive facilement

d’instruire le lecteur puisqu’il propose une morale à la fin du récit qui donne deux leçons très importantes. « Quelle chose par là nous peut être enseignée ? J’en vois deux » (V. 36). Transition : Plaire pour instruire demeure l’objectif principal du fabuliste La Fontaine. Certes, la fable enseigne des comportements, des réflexes à avoir, tel que la méfiance, et délivre une leçon de sagesse, mais le « message » délivré et la leçon, ne sont pas si évidents à comprendre et emmènent donc l’enfant plus au