Phèdre Illusion

intelligente de la résilience. Le sujet est toujours en responsabilité. La guérison (au sens d'un équilibre rétabli) est donc aussi une manifestation de la liberté. L'hypothèse de l'inconscient ne remet pas en cause une conception de l'homme, mais une illusion (devenue une erreur dans une lecture anthropologique dépassée), au contraire elle invite à mieux le penser pour lui assurer un devenir légitime et harmonieux.

Jean de La Fontaine est un poète français du XVIIème siècle appartenant au classicisme. « Le Rat et l’Eléphant » est une fable du livre VIII de son recueil Fables, publié en 1678 dédié à Madame de Montespan, la maîtresse du roi. Dans cet apologue, deux personnages animaliers reflétant les comportements humains sont mis en avant. Un rat apercevant un éléphant partir en voyage se questionne pourquoi les personnes sont admiratives des éléments les plus imposants. Dans un premier volet d’analyse

soi, une nature naturante (causa sui generis). L’homme, au contraire, est une nature naturée, il est régi par une nécessite absolue, laquelle réside en Dieu. Si l’homme et ses actions échappent à la contingence, la liberté devient alors une pure illusion, que Spinoza démontrent par l’exemple de la Pierre. Extrait de la lettre à Schuler sur la pierre Cette dernière se meut dans l’espace, inconsciente de l’origine de son mouvement, croyant être la cause de son mouvement : “Une pierre reçoit

Racine, Phèdre, 1677, acte V scène 7 Biographie : Jean Racine né en 1639 dans l’Aisne et mort en 1699. Il est bourgeois et est orphelin très tôt. L’Abbaye de Port-Royal il se trouve le jansénisme (= tendance au sein de l’Eglise catholique), lecture des évangiles selon la grâce certains l’ont et d’autres ne l’ont pas. A Port-Royal il y a des écoles et des solides axés sur le latin et le grec. En 1658, Racine quitte Port-Royal et vient vire à Paris. Il écrit des œuvres pour le Roi. La première

des outils propres à son auto-réalisation. C'est l'illusion d'un « moi » libre et pleinement conscient qui nous permet de croire encore et désirer la continuation de la vie. Bien que l'unité et la transparence de soi puisse être entendue comme une illusion, la conscience demeure ce formidable don que la nature nous a, de manière exclusive, attribué. Pascal rappelle d'ailleurs, dans ses Pensées, que « La grandeur de l'homme est grande en ce qu'il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable

qu'un masque de théâtre, et donc qu'une apparence illusoire de son être. Il ressent maintenant qu'il ne peut pas être réduit à cette image, à ce masque, à cette illusion. De plus, lorsqu'il s'éloigne du Miroir ou lorsque la Lumière disparaît, le masque, le reflet disparaît, même bien évidem­ment s'il continue à exister, à être. Encore Illusion, se dit il Pour mieux saisir cet objet et tenter d'en trouver le sens, ii essaie de comprendre les lois physiques qui le constituent, le font fonctionner,

de l´aveu dans Phèdre L´aveu signifie dévoiler une action, d'expliquer quelque chose d'ignoré, de caché. Le texte de Phèdre en comporte cinq. On peut même dire, avec Roland Barthes, que c´est une tragédie de l´aveu. Dans cette pièce de Racine, Phèdre rompt trois fois le silence. Les personnages d´Hippolyte et d´Aricie rompent chacun une fois le silence. Souvent les personnages ont des difficultés à avouer et c´est avec l´aide d´autres qu´ils le font.  Les aveux de Phèdre : Le premier

Dans la préface de sa tragédie, Racine dit de Phèdre qu'elle n'est « ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente. ». Cette phrase soulève une question claire qui se complique dès que l'on essaie d'y répondre. Comment juger de façon totalement objective l'innocence ou au contraire la culpabilité ? En effet, Phèdre est coupable par bien des aspects à commencer par l'amour incestueux qu'elle porte à son beau-fils Hippolyte. Dans la scène 7 de l'acte V, elle s'accuse elle-même de cette passion

Commentaire composé Phèdre acte II scène 5 Jean Racine est un dramaturge classique du XVII é siècle ; ce mouvement artistique et littéraire a atteint son apogée sous le règne de Louis XIV, il estaxé sur le réalisme, la vraisemblance et la bienséance. Jean Racine privilégie les œuvres théâtrales appartenant au registre de la tragédie s’inspirant d’œuvres antiques et plus particulièrementgrecques. Il s’inspire de d'Euripide et de Sophocle pour créer une de ses tragédies la plus connue, Phèdre, en 1677.

McNamara, profondément traumatisé par l'évolution du conflit, démissionne fin 1967. L'objet sensible concerne surtout la conscription obligatoire, que la presse couvre à plusieurs reprises par des portraits sur les jeunes qui partent se battre sans illusion ou qui résistent: «Les nouvelles demandes de la conscription – 30 000 hommes par mois» (Time, février 66), «La conscription – qui la combat et comment?» (Life, décembre 1966). Les enjeux de 1966 La question centrale soulevée par ces reportages