Phénomènes Criminels

DROIT PENAL GENERAL   PLAN INTRODUCTION 1) Les fondements théoriques du droit pénal 2) La réalité du phénomène criminel 3) Les sources du droit pénale Première partie : L’INFRACTION Chapitre premier : LA CLASSIFICATION DES INFRACTIONS Section I : Les infractions classées selon leur gravité § 1 : Les contraventions § 2 : Les délits § 3 : Les crimes Section II : Les infractions classées selon leur nature § 1 : Les infractions politiques § 2 : Les infractions militaires § 3 : Les infractions de terrorisme

constituent des actes de délinquance. La délinquance n'est pas qu'un problème sociologique, c'est un problème juridique qui appelle une politique de prévention et de répression de la part des pouvoirs publics. Elle se mesure statistiquement, c'est un phénomène objectif. La déviance ne se mesure pas dans la mesure où toutes les formes de déviance ne peuvent être recensées et dépendent largement de la subjectivité de celui qui se fait "juge". » Source : Albert Ogien, Sociologie de la déviance, coll. «

cyberterrorisme A) Enjeux des cyberterroristes B) Les modes opératoires PARTIE 2. : Lutte contre le cyberterrorisme et limite A) Prévention et lutte B) Les limites CONCLUSION : Introduction 1. Les attaques informatiques, un phénomène toujours grandissant. La montée en puissance des technologies de l’information et de la communication (TIC) s’est accompagnée d’une grande liberté sur le cyberespace, c’est ainsi que de nouvelles formes d’attaques informatiques sont apparues et

les actes pour voir s’ils sont constitutifs d’une infraction. Le droit pénal c’est d’ailleurs un outil pour mesurer le degré, l’ampleur ou la mesure du phénomène criminel (objet de la première fiche td). Ce n’est pas le seul outil de mesure, il doit composer avec d’autres disciplines qui peuvent nous donner une autre image de ce phénomène. La connaissance est limitée, encadrée. Le droit pénal ne nous donne une application que sur les infractions qui ont été constatée et ont donné lieu à des poursuites

pouvons identifier les types de source suivants : la presse, les rapports publics de commissions d'enquête (parlementaires, judiciaires et administratives), les témoignages d'acteurs clé (juges d'instruction, policiers et ex-membres d'organisations criminelles devenus délateurs) et les autres ouvrages de recherche antérieurement publiés. Parmi ces sources, la presse quotidienne et le journalisme d'investigation jouent un rôle privilégié. Un examen des sources citées dans des travaux de haut niveau révèle

Le phénomène du tueur en série n’est pas intrinsèque à la société moderne. Depuis les temps anciens, ce phénomène a été répertorié un peu partout à travers le monde. Il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’un crime rare (Hickey, 1995) et plus exceptionnel encore lorsque le tueur est une femme. On connaît environ une cinquantaine de femmes tueuses en série «célèbres» contre 800 tueurs en série masculins «célèbres». C’est ce qui explique que peu d’études se soient penchées sur le sujet, malgré que

Eut-elle été criminelle 1 – INTRODUCTION : Un jour, alors que Jean Gabriel PERIOT visionne des vidéos d’archive sur la seconde guerre mondiale, il remarque un phénomène historique dont les images sont plus que choquantes. Après la guerre, certaines femmes soupçonnées d’avoir eu des relations avec les allemands sont tondues en place publique. Un spectacle d’humiliation dont ne se lasse pas la foule qui rit aux éclats et se réjouit de cette vengeance qui peut aller parfois jusqu’à la mort de

droit pénal général Le droit pénal est le produit du phénomène criminel. On considère que s’il y a droit pénal c’est parce qu’il y a au départ un phénomène criminel. Sans crime, nous n’aurions pas besoin de réagir. Le droit pénal est la façon dont une société ou un groupe social, à un moment donné, va répondre au phénomène criminel et encadrer ces réponses par des normes juridiques. La façon dont une société réagit à un phénomène criminel varie selon la société et la période historique. La réponse

Les statistiques criminelles Exposer les statistiques Il y a trois modes de mesure du phénomène criminel: La criminalité légale, se sont les sanctions infligés par les tribunaux. La criminalité apparente, se sont les statistiques de la police, les dénonciations, les plaintes, les enquêtes, les poursuites, des infractions sans suite, les poursuites aboutit avec relaxe/aquitement, ... C’est la criminalité réelle, le nombre réel d’infraction commis. Le professeur japonnais Oba l’a qualifié

Le terme économie souterraine ou clandestine regroupe trois formes d'activités très différentes : l'économie générée par le travail au noir, les délits économiques ou les activités criminelles oudélictuelles et leur recel. Cependant elles ont toutes au moins trois points communs : * elles échappent aux règles économiques et sociales et à l'intervention de l'État ; * elles ne donnent lieu à aucun prélèvement obligatoire (fiscal ou social) ; * elles faussent le jeu de la libre concurrence