Pietà

une figue bestiale de cruautée d'autre le symbole de la réssistance; L'oiseau-entre le cheval ( peuple) et le taureau (symbole de résistance): -Peut etre une colombe donc symbolise l'espoir et la paix; La mère et l'enfant -Evoquation de la "pièta" ( fige de la vierge pleurant la mort du christ);-Douleur et hurlement visible grâce aux yeux et narine en formes de larmes et la langue pointue qui sort de la bouche de la femme; -Le visage basculée ver les ciel , la mère hurle sa détresse au ciel;

qui traine sa jambe coupée vers le bas du tableau, à droite. Il a également créé le soldat démembré en bas à gauche, en s’inspirant de l'Apocalypse de Saint-Sever. Quant a la femme tenant le cadavre de son enfant, à gauche, elle fut comparés à la Pietà de Michel-Ange. INSIYA, SHANAYA, BENAJA, ALRIC

douleur et les hurlements de la mère sont perceptibles au premier abord, alors que le reste du tableau peut sembler plus difficile d'accès. L'enfant mort dans les bras de sa mère se rapprochent d'une autre image à portée universelle : celle d'une piéta (vierge à l’enfant). Cette figure exprime une douleur universellement compréhensible, et traduit l'horreur de toutes les guerres. Ses yeux en forme de larme, sa langue en forme de couteau, son visage tourné vers le ciel (d'où est venu le drame), tout

vennaient se reposer et se sécher en sortant du bain». 1853 ROMANTISME. Représentation d'une scène historique, idéalisée, costumes antiques ( théâtralisée). Jacques Jean Louis David La Mort de Marat. 1793 NEO-CLASSICISME Semblable à la Pieta de Michel Ange. Effet tragique ressenti, jeu de lumière, éclairage sur la corps ( renforce le côté tragique de la scène) Référence au christ, aspect de héroïsation . Ingres. Le bain Turc 1863 ( commande de KhalilBay ) Forme Tondo. On retrouve

le combat avec la mort est une sorte de danse chaotique· Conclusion attendue, clôture philosophique et exemplaire· Dimension tragique : Raphaël, en essayant d’échapper à son destin, l’a provoqué· Mais burlesque : mort sans dignité· Cf Michel-Ange : Pieta ; Cabanel : Ophélie

scène intérieure où l’on voit différents animaux et personnages aux traits déformés. Quatre parties correspondent aux différents groupes de personnages :-femme à l’enfant (L'enfant mort dans les bras de sa mère qui pourrait s'apparenter a une piéta ) et le taureau (symbole de la force brute, de la cruauté )-cheval (symbole du peuple sacrifié) et lampe(symbole de l’espoir) ;-les deux femmes ;-le personnage bras en croix dans les flammes (référence au « Tres de Mayo » de Goya) Le tableau a

intéresse : « la création d’Adam » I) Michel-Ange Né au château de Caprese le 6 mars 1975, Michel-ange Est le fils d’un bourgeois florentin désobéit à sa famille en devenant sculpteur. Sa virtuosité comme sculpteur de marbre resplendit dans sa Piéta de 1497-1500. Il préfère les personnages individuels, souvent héroïques et inspirés par les statues de l’antiquité classique. Comme peintre, Michel-Ange produit peu de tableaux de chevalet. Par contre, il réalise des fresques comme celles de la chapelle

même, l’architecture ne semble pas appartenir au même espace. L’espace devient incohérent par rapport aux règles de la perspective. - La Déposition du Christ, 1525, Eglise Félicita. Scène qui se déroule avant la Mise au Tombeau. Il peut s’agir d’une Pieta à Superposition des jambes du Christ et de ma Vierge. La Vierge est soutenue, mais elle semble être surélevée comme le Christ. Marie-Madeleine est en rose, dos au spectateur. On l’a reconnaît facilement car elle n’a pas de couvre chef et laisse ses

d’autres le symbole de la résistance. -l’oiseau A peine visible, entre le cheval et le taureau, il pourrait être une colombe, symbole d'espoir et de paix. -la mère et l’enfant Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé

rencontre Jean et Jules qui deviendront respectivement les papes Léon X et Clément VII, commanditaires de ses plus grandes œuvres. Bousculant les principes traditionnels de l'art, il est rapidement consacré et surnommé 'le Divin'. On lui doit la 'Pietà' de la basilique Saint-Pierre au Vatican, les sculptures de David et de Moïse, une fresque narrant la Création sur la voûte de la chapelle Sixtine, et le célèbre 'Jugement dernier' sur le mur de l'autel de cette même chapelle. Cette dernière œuvre