Pietà

On peut voir un taureau avec des yeux humains qui semble fixé le spectateur il pourrait représente la mort ou la cruauté. On peut y voir un signal envers la population. La mère et l'enfant qui peut être assimiler à la vierge et l'enfant ou a la pieta. Sa langue en forme de pointes et ses yeux en forme de larmes représentent sa souffrance, sa tête orienter vers le ciel montre quelle implore quelqu'un ( Dieu ; Taureau?). Le cheval représente le peuple espagnol, une lance transperce son flanc, sa

bouche ouverte, sa langue pointue comme celle du cheval traduisent la douleur, l’horreur de toutes les guerres. Elle a le regard tourné vers le ciel, d’où sont venues les bombes. Comme pour le cheval, elle rappelle une image traditionnelle: une « Pieta ». Elle incarne le peuple qui souffre. Il symbolise l’Espagne, à travers la corrida. Il représente aussi le Minotaure, personnage-monstre très présent chez Picasso. C’est le seul personnage qui tourne la tête vers le spectateur. Il semble impassible

passion pour la corrida. La douleur et les hurlements de la mère sont perceptibles au premier abord, alors que le reste du tableau peut sembler de perception plus difficile. L'enfant mort dans les bras de sa mère peut faire penser à l'image d'une piéta : la vierge pleurant le Christ mort. L'homme, sur la gauche ayant les bras levés au ciel, en croix, Picasso fait assurément ici une référence au Tres de Mayo de Goya. Il se trouve dans la posture de l'insurgé face au peloton d'exécution. Les yeux,

tribunal chez Eschyle pour rendre un jugement le plus équitable possible. Prendre en compte l'individualité de chaque homme. b) la notion de charité chez Pascal qui nous détache des passions et de la libido dominendi. Rose de Sharon et la figure de la Pieta, donnant le sein à la fin du roman. Ces solutions ne se donnent pas sur un plan politique mais sur un plan communautaire. c) instruction comme possibilité de remettre en cause les lois et de ne pas les valider sans avoir délibéré éthiquement. Développement

employé : il se hisse du statut de rebut a celui de heros tragique ( inspiré par dieu ). Image sacrées : image du mariage connotée ; mére protéctrice ( vierge marie protegant Jesus avec inversion sexuelle ; le mot pitié n’es pas sans é&voquer la piéta ou la vierge de pitié ), œil «  pleins d’éclairs «  connote le jugement de Dieu dans l’imaginaire collectif . Conclusion : toute cette lecture est permise par le lieu de l’action : Quasimodo c’était arreter sous le grand portail. Quasimodo

sculpteur, un poète et un architecte italien de la Renaissance. Ses sculptures les plus connues sont le David (1504) qui a longtemps orné la façade du Palazzo Vecchio de Florence avant d'être transféré dans l'Académie des Beaux-Arts de la ville, La Pietà (1499) exposée dans une chapelle latérale de la basilique Saint-Pierre de Rome, ou le Moïse (1515) conservé dans la Basilique Saint-Pierre-aux-Liens. Le plafond de la chapelle Sixtine, peint entre 1508 et 1512, et le Jugement dernier (influencé par

bombardements est actuellement exposé au muse Reina Sofia de Madrid. C’est une peinture peinte a l’huile sur toile.1) Au premier plan, de gauche a droite sur le tableau on peut observer tout d’abord une femme portant un enfant dans ses bras c’est une Piéta, c'est-à-dire une représentation de la Vierge a l’enfant Jésus. 2) On voit ensuite un taureau, ce taureau représente les nationalistes de Franco, il s’oppose au cheval qui lui représente les Républicains, c'est-à-dire le peuple qui se font écraser

représente le fascisme. Le chœur des femmes : elles pleurent la liberté attaquée. Quelques symboles religieux sont présents aussi : la lance dans le cheval peut renvoyer  à celle qui touchait le corps du Christ, la mère portant l’enfant est comme une Piéta, la femme venant de l’extérieur porte la lumière de l’espoir. C’est sur cette torche que l’on trouve la ponte du triangle que l’on peut tracer dans le tableau.    Le choix du noir et blanc accentue la gravité du sujet.    En dépit d’une impression

également référence à la presse. C. La composition, l'espace : 1- Un axe vertical divise le tableau en 2 grandes parties. 2- Quatre parties correspondent aux différents groupes de personnages : -femme à l’enfant (symbole de la souffrance, référence à la Piéta de Michel-Ange) et taureau (symbole de la force brute, de la cruauté, les Nationalistes ) -cheval (symbole du peuple sacrifié, les Républicains) et lampe(symbole de l’espoir) ; -les deux femmes ; -le personnage bras en croix dans les flammes (référence

humains. Il semble fixer le spectateur. C’est une figure ambigüe. Certains y voient une figure de la bestialité et de la cruauté, d’autres le symbole de la résistance. -La mère et l’enfant : Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà (figure de la Vierge pleurant la mort du Christ).La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé