Pietà

bombardement. La mère portant son enfant traduit l’horreur de toutes les guerres. Ses yeux (en forme de larmes), sa longue (en forme de couteau) ainsi que son visage tourné vers le ciel exprime la souffrance et le désarroi. C’est une référence à la pietà de Michel-Ange (Vierge pleurant la mort du Christ). Le soldat porte sur son visage toute la brutalité et la violence de la guerre. Il est démembré. La fleur est présente comme une lueur d’espoir. L’épée brisée à côté complète cette symbolique

equites. Cicéron présente cette société hiérarchisée comme un gage du bon fonctionnement de l’Etat. Cette société permet à chacun, pourvu qu’il ait des qualités personnelles, celles du mos majorum : « ingenium », « ratio », « virtute », « fides », « pietas », de faire carrière, ouverte à tous : « omnium civium » (L11.12). Dans cette forme d’idéalisation de la société, Cicéron montre qu’il est conscient de la réalité : certaines classes sont plus favorisées que d’autres. Dans une société latine, on

les repères ont disparu, le chaos est total. L'artiste représente quatre femmes hurlant leur douleur et leur désespoir face à ce bombardement aveugle. Celle de droite semble implorer le ciel au milieu des flammes, celle à l'extrême gauche, comme une pietà d'un tableau religieux, pleure son enfant mort dans ses bras, symbole de la victime innocente. Au pied de ces femmes, un soldat, au corps déchiqueté, tient dans sa main une épée, arme bien dérisoire pour lutter contre la puissance de feu des avions

beaucoup plus sombre que la partie droite). 2- Quatre parties correspondent aux différents groupes de personnages : -femme à l’enfant (L'enfant mort dans les bras de sa mère se rapprochent-ils d'une autre image à portée universelle : celle d'une piéta ? ) et taureau (symbole de la force brute, de la cruauté ) -cheval (symbole du peuple sacrifié) et lampe(symbole de l’espoir) ; -les deux femmes ; -le personnage bras en croix dans les flammes (référence au « Tres de Mayo » de Goya) 3- Composition

|A gauche, le taureau : symbole de la force brute, de cruauté. Il apparaît impassible. | |Devant le taureau une mère agenouillée porte dans ses bras son enfant mort (une pietà) devant une maison en flamme. | |Message de l’artiste | |

Jacopo Galli, également mécène, l'acquiert. L'épisode symbolise bien les rapports de l'artiste avec l'Eglise : attraction due à sa notoriété, mais répulsion dogmatique inhérente à sa liberté créative. Durant ce séjour, il sculpte aussi la  Pietà  de la basilique Saint-Pierre pour un cardinal français. 1501  : retour à Florence, il reçoit la commande par la cité du David en marbre de Carrare (hauteur 434 cm, Galerie de l'Académie

le hurlement qu’elle pousse, la tête levée vers le haut du tableau. Elle est à la fois de face et de profil et son cou et son nez sont démesurément grands. Celle-ci a les seins dénudés, ce qui symbolisent une maternité brisée faisant référence à la Piéta (la Vierge au Christ mort), œuvre datant du XVIIe siècle. Au premier plan à gauche, à droite de la femme à l’enfant mort, on observe un soldat allongé sur le sol sans vie. Son corps est morcelé, il a le bras coupé et la tête décapitée. Il tient dans

aiguë de la souffrance et du désespoir. - L'artiste représente quatre femmes hurlant leur douleur et leur désespoir face à ce bombardement aveugle. Celle à droite semble implorer le ciel au milieu des flammes, celle à l'extrême gauche, comme une pietà d'un tableau religieux, pleure son enfant mort dans ses bras, symbole de la victime innocente. Au pied de ces femmes, un soldat, au corps déchiqueté, qui tient une épée, arme bien ridicule pour lutter contre la puissance de feu des avions allemands

Elles sont omniprésentes dans l’environnement de la com’ (marques, produits…) Ex : Hermès, voiture Clio, Athéna, Mars, Atlas (2), Gilette Vénus… Les sources monothéistes : judéo-chrétienne, Islam… - Figure de Jésus (Kookai : img de la pieta / Benetton, Girbaud : La cène) - Péchés capitaux - Les 10 Commandements - Moïse (la sortie d’Egypte) - Arche de Noé (lié au Déluge) - Le jugement dernier (Paradis, Enfer, Purgatoire) Les légendes historiques autour de quelques

donc son œuvre : son tableau intitulé Guernica sera très célèbre et immense (presque 8m de largeur) et est sans nul doute une œuvre engagée. Référence artistique : -La mère portant son enfant mort peut ressembler à une sculpture de Michel Ange : Pietà -Dans cette œuvre Picasso fait aussi référence à une autre œuvre : Tres de mayo de Francisco de Goya. La référence est faite grâce à la femme en proie aux flammes sur la droite du tableau -Comme référence on peut aussi citer « La victoire de Guernica »