Pitié Pour Le Mal

Le bien et le mal sont des notions familières. Elles orientent nos actions et nos jugements, faisant la part de ce qui mérite d'être poursuivi et réalisé et de ce qui mérite d'être condamné et empêché. On rapporte cette capacité de distinction du bien et du mal à une faculté présente en tous : la conscience morale. Elle ne se détermine pas en fonction de ce qui est mais en fonction de ce qui doit être et dès lors elle implique dans l'existence de tout homme un certain nombre de devoirs. Quelle

pathétique.___- Champ lexical de la pitié « malheureux », « pitoyables », « douleur ».___- Champ lexical des pleurs « affligée », « pleurs », « éplorée ». v.1-2 : « affligée » / « chargée » à la rime (2 participes passés passifs) → elle subit → insistance sur la situation pitoyable. v.21-22 : répétition de « douleur » qui montre que cette douleur a vaincu la mère : elle ne peut pas sauver son enfant. De plus, Esaü ne respecte pas l'amour maternel, ce qui inspire la pitié.  La « mère » est évoquée par

est le plus importante, la « clé de voute ». Définition de « La miséricorde » sur le site de la Conférence des évêques de France http://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?lexiqueID=75 du latin misereri : avoir pitié et cor : cœur Attribut de Dieu qui explique tout son dessein de salut pour l’humanité. La bonté de Dieu est infinie car elle est un des aspects de sa miséricorde (Ps 86,5). On nomme ainsi l'attitude profonde de l'être caractérisée par la disposition

instruire et à plaire, les différents procédés comiques, le miroir de la société). Puis dans une seconde partie nous parlerons de la tragédie avec ses buts et ses moyens pour convaincre le lecteur (chercher à toucher, inspirer la terreur et/ou la pitié). Et pour finir nous parlerons des deux genres qui sont si différents mais qui ont la même force pour convaincre. Le théâtre miroir de la société. Pour plusieurs auteurs de différents siècles, le but est de faire passer un message bien souvent social

relief sujet « c'est votre mère »). Elle était en exil « dans son pays » sans saison « il ne pleut » présent = donner présence qui s'actualisera par la suite → fonction info faible : info rares, concentrées surtout fin réplique notaire ; remplit mal fonction d'exposition → atmosphère grave et romanesque installée par mort récente de mère mais en dehors testament nous ignorons tout intrigue « il va falloir continuer à vivre comme on dit » pas intrigue mais nécessite commune exprime langage commun

Médée qu’il a aimé. (l.309) « Et douce, comme tu savais être » (l.311) « Je sais ce que je perds avec toi, Médée. » Mais tout ce qu’elle va obtenir de Jason c’est de la pitié. (l.317) « Je sais le mal que je te fais, sans l’avoir désiré… » Cela en est trop pour elle, il n’y a pas de pitié pour Médée. (l.318) «Ne laisse pas la pitié t’entrer dans l’âme, Jason. Trop est trop. » Médée en très bonne manipulatrice vas tout mettre en œuvre pour faire croire à Jason qu’elle est apaisée et qu’elle

brume » (v21), qui joue le rôle d’image. Il reflète la souffrance et la colère de Mazeppa et donc insiste sur ces sentiments. On trouve donc tout au long du texte, une référence directe et « flagrante » à la douleur du personnage, ce qui provoque la pitié du lecteur pour ce dernier. De plus, certaines figures de style, montrent aussi la souffrance du héros et insistent donc sur ce sentiment, mais de façon plus indirecte, ce qui permet ainsi d’atteindre l’inconscient du lecteur. Ainsi les comparaisons

certaine étendue, en un langage relevé d'assaisonnements dont chaque espèce est utilisée séparément selon les parties de l'œuvre ; c'est une imitation faite par des personnages en action et non par le moyen d'une narration, et qui par l'entremise de la pitié et de la crainte, accomplit la purgation des émotions de ce genre. » Selon Aristote, le sujet d'une tragédie doit être une action moralement sérieuse et doit présenter une unité complète. Il doit également occuper une certaine ampleur, non seulement

Le Père Paneloux : religieux qui s’attache à concilier la confiance en la bonté divine et la lutte contre la souffrance humaine Tarrou : intellectuel qui observe le comportement humain avec beaucoup de lucidité, mais qui, devant la souffrance à du mal à la garder et éprouve les sentiments d’un homme révolté. Il sera volontaire pour combattre le fléau, afin de trouver la paix intérieure. Le docteur Rieux : il est le narrateur et un inlassable adversaire de la peste, il est l’interprète des idées

l'homme est isolé, vit pour ses besoins. Pas de lien social, pas de langage. Mais alors que distingue cette homme de l'animal ? Même vertu que les animaux, pas de méchanceté, mais satisfait ses besoins, ses instincts. Etat de nature → pitié (empêche de faire le mal, pousse à la solidarité, souci d'autrui), amour de soi (conservation consciente = subsister dans l'existence grâce au souci de soi, centration sur soi). Ces deux caractéristique donne à l'homme une tendance à se dépasser. Ceci entraîne