Placere Et Docere

lesquelles la valeur symbolique de ces personnages va être révélée; ➢ des dialogues qui confrontent différents points de vue ou qui permettent d'énoncer une leçon; Ainsi le conte philosophique s’inscrit dans la fonction de la littérature : docere / placere = plaire et instruire (Horace) « Nous avons tâché de joindre l’agréable à l’utile, n’ayant d’autre mérite et d’autre part à cet ouvrage que le choix. Les personnes de tout état trouveront de quoi s’instruire en s’amusant. » (VOLTAIRE, préface

héros vertueux La littérature a-t-elle un impératif moral ? I. Thèse : le personnage de roman doit être un modèle Le personnage doit représenter un idéal. La littérature veut instruire/édifier. Cf la devise Placere et docere de l’Antiquité. A- Le héros moral: Le roman doit présenter comme personnages des êtres exceptionnels, dont le comportement témoigne de cette volonté morale. On peut envisager qu’une telle attitude soit parfaitement naturelle chez eux

Sasha Laussel 4 Février 2021Dissertation Les Fables de La Fontaine font partie du patrimoine littéraire français, voire mondial. Regroupées dans trois recueils comprenant deux cent quarante-trois fables allégoriques publiées par Jean de La Fontaine entre années 1668 et 1694. La plupart, inspirées des fables d’Ésope, Babrius et Phèdre, mettent en scène des animaux anthropomorphes et contiennent presque systématiquement, une morale explicite ou implicite

partager des émotions, comme dans les salons délicats de l'époque où l'on dissertait sur l'amour. Conclusion La Fontaine s'engage fermement dans la fable et nous demande de nous interroger et donc a bien suivi la formule latine Placère et Docere. La portée analytique est une réussite. Ce texte a pour but de convaincre le lecteur par les sentiments et non par la persuasion. Les fables ont connu de grands succès à son époque mais avec le vrai développement de la littérature; l'apologue(2)

thèses/ simplicité de compréhension 2) ses limites : ambiguïté de la morale et de l’interprétation / simplification vers caricature / affaiblissement de la démonstration 3) l’alliance selon les circonstances et le public : le principe du movere, docere, placere / des auteurs polygraphes Devoir d’invention : quelques éléments de correction : 3 critères à prendre en compte : 1) la langue : relisez – vous !!!! pas de délayage mais une recherche de style, respectez les critères de longueur 2) l’énonciation :

acteur et l'on doit à cet artiste du classicisme de nombreuses pièces comiques. Néanmoins, L’école des femmes inaugure une série de « comédies sérieuses » dont le propos n’est plus uniquement le divertissement, mais se conforme au principe du « docere et placere » (instruire en plaisant) : la comédie acquiert une fonction morale, déjà énoncée par Aristote dans sa Poétique. Ainsi,le Tartuffe, Dom Juan, etc..., comédies sérieuses, seront plus une sujet de réflexion que de diverstissement. L’école des femmes

n’ai pas, pour moi, lui répondez-vous, sujet à m’en plaindre, au contraire, je m’en loue fort, et il me semble même qu’il est assez civil » Dialogues et discours rapportés Préface des Caractères La Bruyère met le style (placere) au service don but moral (docere) « S’il arrive que l’on plaise, il ne faut pas néanmoins s’en repentir, si cela sert à insinuer et à faire recevoir les vérités qui doivent instruire. » Préface des Caractères Visée morale « On ne doit parler, on ne doit écrire

cette frivolité fondamentale et universelle de l’Homme, « animal » guidé par le besoin de « s’amuser ». Ouverture : La Fontaine, comme nombre d’auteurs du siècle classique (Molière, par ex.), défend à de nombreuses reprises la doctrine du placere et docere, comme par exemple dans sa préface aux Fables ou encore dans la fable qui ouvre son livre VI, « Le pâtre et le Lion ».

des hommes que l’on peint pour examiner la nature humaine ? Introduction : Le XVIIe siècle verra l’épanouissement des moralistes qui éduquent, souvent par des formes légères et humoristiques, respectant l’une des règles du classicisme, le placere et docere signifiant « Plaire et éduquer ». En éduquant ses contemporains, le moraliste cherche aussi à leur plaire. Pour autant, se posant comme éducateur, il semble qu’il s'exclut de la société qu’il critique. Ainsi pouvons-nous nous demander dans

mettrons au jour les richesses offertes par l'apologue. I. Le plaisir du lecteur 1. Le lecteur est transporté dans un « ailleurs » Si l'écrivain choisit la fiction pour transmettre un message, c'est avant tout pour plaire au lecteur. « Docere et placere », « instruire et plaire », écrivait Horace ; « instruire en plaisant » pourrait-on ajouter. Dans cette perspective, la fiction apparaît comme une forme privilégiée. La fiction est en effet par nature un « déplacement », dans la mesure où tout