Plaidoyer Ironique

Lecture analytique, Lettres Persanes En quoi cette lettre apporte-t-elle une conclusion à l’ensemble du roman ? Alors qu’une grande partie des lettres du roman sont consacrées à l’observation ironique et critique des défauts de la société française, le dénouement inattendu donne le mot de la fin à une femme. La première lettre était écrite par Usbek. Cette dernière lettre est une lettre envoyée par Roxane à Usbek. Le roman commence par un voyage, il finit par le thème tragique type, la

Olympe de Gouges qualifie cela «d’ignorance la plus crasse ». * Apostrophe adressée à l’homme « Homme, es-tu (…) » * Reproches sous forme de questions « es-tu capable d’être juste ? » ; « qui t’a donné le souverain empire ? » * Questions ironiques : « ta force ? ton talent ? » * Accumulation de termes péjoratifs associés à l’homme « bizarre, aveugle, boursouflé des sciences et dégénéré » Ce registre polémique a pour but de montrer l’homme comme un monstre. Mais le changement de ton,

critique ce qui est admis et reconnu comme une valeur digne de l'honnête homme : la fidélité, et qu'il fait l'éloge de l'inconstance, ce qui n'est pas admis, ce qui est communément réprimé.) Quelle image de la femme Don Juan donne-t-il? Organisation du plaidoyer Après avoir réfuté la thèse de Sganarelle, Don Juan expose la sienne : 1. Toutes les femmes ont le droit d'être honorées par la séduction 2. Le plaisir de l'amour est dans le changement 3. Le plaisir vient aussi de la possibilité de triompher des

les rendre immortel. Enfin, le livre s’inscrit sans ambiguïté possible contre toutes les formes de censures. Par ailleurs, dès leur première investigation, les pompiers découvrent des livres dans une télévision. Cette cachette en forme de blague ironique revient sur l’un des thèmes principal de l’œuvre de Bradbury : l’opposition des deux médias, livre et télévision. La télévision a ici avalé le livre : « En 1953, la télévision naissante peut aux yeux de Bradbury contribuer à mettre en scène le mythe

et donne de la vivacité au débat. Le texte de La Colonie met ainsi en scène un dialogue argumentatif, tandis que le texte de Le mariage de Figaro tourne au monologue, au plaidoyer pour les droits des femmes et au réquisitoire contre les abus des hommes. Dans les deux textes, deux «camps» s'opposent: les femmes d'un côté, ironiques (« tenez donc, c’est que nous n’avons pas la langue assez bien pendue, n’est-ce pas ? » texte A) et revendicatrices, violentes (« Hommes plus qu'ingrats», texte B ; «Messieurs

exprimerez l’admiration, l’ironie ou l’indignation..), on choisira celui qui est le plus adapté au propos : selon le contexte, on pourra, dans une lettre de rupture, mettre en oeuvre le registre lyrique, ou le registre pathétique, ou le registre ironique). S’il s’agit d’une lettre ouverte, le registre à adopter pourra être le registre polémique Le degré d’implication de l’énonciateur et du destinataire Le degré d’implication de l’énonciateur et du destinataire variera selon le contenu et le type

exemple(s) Montesquieu- Le roi de France est un grand magicien : Connecteur Enfin Argument La littérature est un moyen pour s’amuser et en même temps s’instruire exemple(s) Candide Voltaire : c’est une lecture plaisante grâce aux procédés ironiques utilisés par l’auteur These II : La littérature est surtout une critique de la société Tout d’abord Argument La littérature est une dénonciation de l’organisation politique exemple(s) Montesquieu – Il y a dans chaque Etat trois sortes des

sujet, et restez-en à ce qui vous est demandé. Identifiez bien la situation (le locuteur, l'auditoire, les circonstances dans lesquelles ce discours est prononcé) et le type de discours (s'agit-il d'un éloge, d'un blâme, d'un réquisitoire, d'un plaidoyer ?). II - Forme Utilisez toute la rhétorique et les procédés oratoires que vous connaissez. N'hésitez pas à employer des figures de style, à jouer sur le rythme des phrases, sur les sentiments de votre auditoire. Et pensez à faire des paragraphes

14) mais celui-ci est indifférent face aux massacres de la guerre. En effet Dieu «rit » (v.9), il est complètement indifférent au sort des soldats, face au carnage de la guerre, Dieu « les raille » (v.3). Dans ce poème, Dieu est comparé à un être ironique, presque méprisant et cupide. Ainsi il « se réveille » (v.12) seulement lorsque les mères « lui donnent un gros sou » (v.14). Le point d’exclamation à la fin du vers 14 montre bien que Rimbaud est révolté par l’indifférence de Dieu face à la générosité

invoque (« ma façon de penser fut pour moi seule ») les idées de liberté individuelle et d’indépendance d’esprit, précieuses aux philosophes des lumières. Cela fait de ce texte, non seulement une autobiographie flatteuse pour la marquise, mais un plaidoyer pour l’émancipation individuelle.Elle affirme ensuite sa perspicacité quant à l’observation des figures. À force de dissimuler, elle est devenue capable de percevoir la dissimulation chez les autres. De nouveau elle se vante de sa précocité : « je