Plaire Et Instruire Molière

crées à l’époque : Académie française en 1635 qui tente de réglementer la vie intellectuelle du pays, volonté de prolonger l’esprit d’Aristote et d’impose rune doctrine classique fondé sur le précepte de plaire et instruire (orace et Aristote), combinaison de la fonction didactique et esthétique (Molière : châtier les mœurs de ses contemporain par le biais du rire, il faut suivre une nature marquée par la retenue, la nature de l’homme est toujours calme, amadouée, calme et surtout respecter le bon gout

les œuvres de l’antiquité. Louis XIV protège les artistes qui suivent les règles tant au niveau de la volonté de plaire et instruire que du respect de l’ordre et des règles. Les auteurs classiques vont miser sur la règle des trois unités (action lieu temps) ce qui n’est clairement pas le cas dans l’œuvre de Cazotte. Le classique se retrouve beaucoup dans le théâtre avec Molière par exemple qui utilisera la comédie comme miroir de son public et ainsi « corriger » les vices des hommes. Le courant

fait réfléchir : plaire et instruire Hugo, Voltaire et d'autres écrivains ont ainsi souvent eu l'idée éduquer leur lecteur, de le faire réfléchir grâce à la littérature. Toutefois, au lieu d'écrire des textes ardus sur des sujets complexes, certains auteurs ont compris que le lecteur, en lisant, en voyageant par l'imagination, peut réfléchir Voltaire : « Un livre n'est excusable qu'autant qu'il apprend quelque chose ». A- Le théâtre • Au xviie siècle, Molière => moraliste

Pierre de Marbeuf…Classicisme : Expression d’une littérature de cour, ce mouvement repose sur l’idéal d’une raison humaine faite d’équilibre et de mesure. Le mot d’ordre est « instruire et plaire ». Il s’agit aussi de définir un idéal esthétique à travers des règles d’écriture (Poétique d’Aristote). Auteurs : La Fontaine, Molière, Racine, Corneille…XVIIIème siècle :Lumières : Cherche à développer l’esprit critique, à diffuser le savoir, à lutter congtre toutes les formes de préjugés, d’intolérance et

masques et de miroirs | -Accumulations, antithèses -L'exagération, les hyperboles, la mise en abyme -La quantité (parallélismes,...) | XVII ème siècle LE CLASSICISME Corneille Racine Molière | -Chercher à plaire aux lecteurs en les faisant rire ou pleurer (comédie ou tragédie) -Instruire le lecteur -Respecter les valeurs morales et de symétrie | -Utilisation de règle -Emploi de langage soutenu en tragédie -Emploi de l'art des formes d'éloquence | XVIII ème siècle LES

devient alors l’unique but de leurs actions. Pour cela, ils utilisent tous les artifices connus : jeu de mots, calembours, mimiques et gestuelles. « Instruire et plaire » telle est la devise de tous ceux qui ont choisit de mettre au centre de leurs préoccupations l’amusement et le didactisme. C’est le cas de la plupart des auteurs du XVIIe tel Molière, La Fontaine, La Bruyère … En fait tout le travail de ces auteurs consistera à unir le rire, l’amusement, le divertissement, au sérieux de la connaissance

(le sublime se mêle au grotesque, le beau au laid) Visées  Morales et pédagogiques plaire et émouvoir ; inspirer la terreur et la pitié pour libérer les spectateurs de leurs passions ; instruire  Ludiques, morales et pédagogiques : amuser, enseigner au travers de la peinture des mœurs  Morales, pédagogiques et sociales : défendre les libertés, parler pour des plus humbles exemples  Racine, Andromaque (1667)  Molière, Tartuffe (1669)  Hugo, Hernani (1830) Genres voisins  Tragi-comédie, comédie héroïque

femmes lui fut évidemment comparée, d'autant plus que les deux pièces présentent une intrigue similaire (un mari jaloux qui tente de se préserver du cocuage, thème déjà abordé par Molière dans La Jalousie du barbouillé et dans Le Cocu imaginaire6.) Évaluant les mérites de l'une et de l'autre pièce, les détracteurs de Molière suggérèrent que la seconde n'était qu'une redite moins convaincante de la première, opinion qui était encore partagée un siècle plus tard par Voltaire, qui dans son Sommaire de

un mouvement culturel dominant au 17e siècle ou l’art des grands auteurs de l’Antiquité, déjà visités par la Renaissance, est érigé en règles et en principes esthétiques. 1)Pour le « classicisme » il faut plaire et instruire. C’est le projet même des Fables de la Fontaine. Les comédies de Molière corrigent les mœurs par le rire ; dans la tragédie, le spectacle des passions doit conduire à des émotions fortes et à la maîtrise de ces passions même. 2) Il faut être dans le respect des règles qui accompagnent

pour la rendre autonome - Revaloriser le poète comme messager - Privilégier une création originale contre l'imitation des anciens - Mettre en valeur le désordre - Utilisation de masques et de miroirs - Chercher à plaire au lecteur en le faisant rire ou pleurer (tragédie et comédie) - Instruire le lecteur - Respecter les valeurs de morales et de symétrie - Développer l'esprit critique (raison) - Diffuser le savoir et lutter contre les préjugés, l'intolérance et la superstition -Diffuser les idées de liberté