Plaire Instruire Théâtre

moucheron en occurrence- en tant que personnages principaux, ce qui peut nous paraître plutôt inhabituel. Inhabituel, certes. Mais tellement plus agréable à raconter ou à écouter ! Car il ne faut pas oublier que le but premier de la fable est de plaire. Et instruire aussi avec l'intermédiaire d'une morale, qui ne concerne bien sûr pas les animaux, mais plutôt ce qu'ils signifient ou représentent. Les deux axes que je vais traiter parleront de la structure de la fable (forme et fond, le lien qu'il y a

développement organisé qui prendra appui sur vos lectures personnelles et sur les textes étudiés en classe. Depuis l'antiquité, beaucoup d'auteurs recourent à la fiction pour instruire et critiquiter les hommes, comme Esope et Phèdre. Puis plus tard, La Fontaine dans ses fables, ou en core Molière, dans ses pièces de théâtre. La Fontaine a déclaré "Le monde est vieux (dit-on je crois), cependant il le faut amuser encore comme un enfant", c'est-à-dire que, comme les enfants, l'homme pour apprendre

et de nous faire rire. Le caractère divertissant de la comédie tient en premier lieu à ses intrigues menées vivement, qui tiennent le spectateur en haleine. Le spectateur est entraîné dans une combinaison irrésistible de péripéties et de coups de théâtre, comme le suggère le titre original du Mariage de Figaro de Beaumarchais (1784): La Folle Journée. Dans Le Malade imaginaire (1673), Argan veut marier sa fille Angélique non pas à l’homme qu’elle aime

art de la diegèse du récit, le théâtre est un art de la mimesis » Joelle Gadres-Tamine. Aucun siècle, n’est celui d’un seul genre en littérature toutefois il semblerait qu’a chaque siècle un genre prédomine ou est particulièrement florissant. C’est le cas de la poésie au XVIème siècle, de la littérature d’idée au XVIIIème siècle et du roman au XIVème siècle, le XVIIème siècle lui est communément surnommé dans la littérature française le grand siècle du théâtre ; époque le plus brillant de la

Sophie Colas et Rémi Bourrelly Dissertation de français : l’Apologue Docere, placere, plaire et séduire, voilà les ambitions des fables depuis l’Antiquité. C’est pourquoi les écrivains du passé, tels que Voltaire, Phèdre, ou encore le conteur Charles Perrault, ont su recourir fréquemment à l’apologue pour séduire leurs lecteurs. Jean de La Fontaine, a d’ailleurs parfaitement définie ce terme avec la célèbre citation tirée du Premier Recueil rédigé en 1668 : « L'apologue est composé

L'amour est-il muet, ou n'a-t-il qu'un langage ? De quel trouble un regard pouvait me préserver ! II fallait... JUNIE. - II fallait me taire et vous sauver. Combien de fois, hélas ! puisqu'il faut vous le dire, Mon cœur de son désordre allait-il vous instruire ! De combien de soupirs interrompant le cours Ai-je évité vos yeux que Je cherchais toujours ! Que! tourment de se taire en voyant ce qu'on aime, De l'entendre gémir, de l'affliger soi-même, Lorsque par un regard on peut le consoler ! Mais quels

production? Le XVII siècle français est, par excellence, le siècle du théâtre pour deux raisons il s'agit d'un événement littéraire et artistique, une représentation dramatique est aussi une cérémonie, un rite social, prolongement des salons et de la cour et de plus la culture classique--impersonnelle, sociale, fondée sur la culture commune à tous les "honnêtes gens" a trouvé dans le théâtre son mode d'expression favori. Le théâtre obtint ainsi ses lettres de noblesse au XVII siècle, les poètes trouvent

thématique du siècle lui-même, c'est à dire : distraire et instruire. Car pour les auteurs classiques du XVIIème siècle, tel est le but essentiel, Jean de la Fontaine lui-même dira « Il faut plaire pour instruire ». L'application de ce que nous pourrions appeler l'une des règle de base du classicisme peut se faire sous deux formes bien distinctes : telle qu'elle est décrite dans le livre lors d'une distraction comme une pièce de théâtre, les rôles et les textes devaient faire référence à des personnes

On purge Bébé : la sucession des quiproquos non sens : discours absurde et délire poétique du professeur de La Leçon à souligner le caractère comique, mais également inquiétant de la folie du professeur, ce qui est une particularité du nouveau théâtre et de Ionesco (à relever également chez Beckett dans Fin de Partie ou En Attendant Godot) orthographe : on écrit : soi-disant (invariable), langue, mais langage, malin, crescendo, embarrassant, apparemment, avoir affaire à, interrompre, se côtoyer

recul. En effet, l'humour rend réceptif. La fantaisie de l'argumentation permet de « plaire et de toucher » comme disent les classiques au XVII ème siècle. Les thèmes pouvant être qualifiés de sérieux ont toujours intéressé les auteurs tel que La Fontaine qui pour sa part, évoque la mort, le pouvoir, le malheur en respectant à chaque fois les deux fonctions de l'apologue, c'est-à-dire plaire et instruire comme dans la fable «  La mort et le malheureux », dans laquelle un homme Malheureux appelle