Plaisir Liberté

On ne peut donc pas lui imputer notre condition misérable. Alors pourquoi nous sentons-nous malgré tout misérables ? III - Notre situation misérable relève d’autres éléments • La finitude et la conscience du temps et de la mort • Notre liberté – au sens sartrien – qui nous condamne à éprouver notre existence et à la tragédie du choix et de la responsabilité • Et finalement l’impossibilité comme le soulignaient d’éjà les grecs de savoir ETRE HEUREUX AU PRESENT : finalement si on reprend

experience de mon pays ou je travaille toujours comme educatrice et quelques annees comme professeure , après finir les etudes universitaires de specialite. J’ai commence le travail a la garderie pleine d’entousiasme , d’energie positive et de plaisir. J’ai renontre l’equipe qui a reussir de me faire vite me sentir a l’aisse avec , les filles , les educatrices etaient tres gentiles avec moi et special une fille nomme Vivianne , ma coleque de grupe d’enfants avec laquelles nous ensembles on avait

destin, les stoïciens croient que le cosmos est un grand tout dans lequel Dieu est dans chaque aspect de la vie. Puis, ils croient que l’être humain est une espèce raisonnable qui a une place privilégié dans le cosmos car il détient la raison et la liberté. Pour atteindre le bonheur, il est important pour les stoïciens de premièrement vivre en accord avec la nature tout en la respecter en considérant l’immensité de ce qu’elle nous offre. Pour continuer, ils croient que toute forme de bonheur peut se

si le d'sir est bien un r'servoir de force et d''nergies seules susceptibles de satisfaire l'homme, alors le lib'rer constituerait un acc's ' son d'veloppement et ' son bonheur. N'anmoins, l'ambigu't' du d'sir consiste en ce qu'il est aussi bien plaisir que manque, activit' que passivit', espoir que d'sespoir, et dans tous les cas l'homme est prisonnier de cette tendance qui l'emporte malgr' lui. Alors mieux vaut s'en lib'rer afin d''viter la souffrance contraire ' la qu'te du bonheur. Mais ce choix

C’est avec beaucoup de plaisir que j’ai lu ce roman de Delphine de Vigan. Il met en scène 3 adolescents en quête d’amour et de reconnaissance, dont les destins vont se croiser l’espace de quelques mois. L’aventure humaine qu’ils vont vivre ensemble, va transformer leur vie et les mener au seuil de la maturité et d’une certaine liberté. Lou (le Moi du titre), est une jeune surdouée (13 ans) totalement introvertie. Elle est très mal dans sa peau, se sent mal aimée et incomprise.

Les hommes attendaient du développement de la technique de meilleures conditions de vie, la technique étant comme une liberté évoluant de jour en jour en même temps que l’évolution de la vie. Les hommes se contentent de posséder et de pouvoir gagner autant de bonheur, on espère de la technique qu’elle puisse combler nos manques et qu’elle nous apporte un certain plaisir grâce à tous les objets du quotidien qu’elle peut nous apporter en plus de ce que l’on peut trouver dans la nature. Freud dit

puisqu’elle ne peut accéder à un époux excitant et à la hauteur de ses fantasmes retrouvés dans ses lectures. Loin d’être satisfaite en tant qu’épouse, Emma Bovary est la représentation typique de la femme moderne. Voguant entre le plaisir de la sexualité et la liberté de cette jouissance, ce personnage avant-gardiste est brimé par les enjeux du mariage, où elle se questionne en disant : « Pourquoi, mon Dieu ! me suis-je mariée ? » (Flaubert, 1857, p. 60) La jeune femme voit son union comme une prison

conquiert les conquêtes féminine (désir) et fini par en mourir Le désir irrationnel n’est pas négatif, ca permet de prouver sa liberté en tant qu’être pensant, et donc quelle est la valeur du désir ? Est-il l’expression de ma liberté ? Et donc de mon bonheur ? Ou bien le désir a-t-il pour valeur l’esclavage et le malheur ? Taire ses désirs serait allé à l’encontre de ma liberté, or est-ce si simple ? Le désir s’inscrit comme une force, un élan, une énergie à l’homme. L’homme de dépasse et se surprend

civilisation octroie le nécessaire, plus elle satisfait les besoins fondamentaux, plus elle engendre le désir du superflux (ex : la société de consommation et le consumerisme, attitude de l'individu en quête de superflux destiné à provoqué satisfaction ou plaisir). Rousseau note que la plupart des besoins sont très simple mais que l'Homme est d'abord un être façonné par la culture et que donc tout besoin devient complexe parce que en réalité nature et culture sont indiscernables. II.Désir et manque 1

Désir-rêve, le souhait, le vœu, Désir appétit, la passion, l’envie, Désir de connaître, de comprendre, la curiosité, Désir instinctif que sont les pulsions, Désir raisonnable comme l’aspiration, le dessein, l’intention Désir de liberté Désir de reconnaissance… Desirs d’avoir, d’être et de devenir A travers ces désirs vices et vertus, l’image de H semble se dessiner dans toute sa complexité. L’homme peut-il être définit par ses désirs ? Nous nous pencherons particulièrement