Plan Détaillé Sur Les Lois Non Rétroactives

d’interdictions, et non d’obligations. 2. Le caractère contraignant de la règle de droit : Constitue une règle de droit celle dont la violation est assortie de sanctions étatiques. §1 : Contraintes d’Etat : - Seules les règles de droits sont sanctionnées par l’Etat car l’Etat ne sanctionne que les règles qu’il a lui-même élaboré. Ex : Comportement déviant par rapport au groupement religieux dans lequel je suis membre : excommunication = sanction Ecclésiastique et non étatique. - Le

ou spécial. A- La classification des lois en fonction de leurs forces obligatoires: Ici on distingue les lois impératives encore appelées les lois d'ordre public, et des lois supplétives. Les lois impératives: elles s'imposent et on ne peut y déroger par un accord tout fait. La règle générale est posée à l'article 6 du code civil → On ne peut déroger par des conventions particulières aux lois qui intéressent l'ordre public et les bonnes mœurs. Les lois supplétives: ce sont des règles qui ne s'appliquent

droit idéal le droit parfaitement juste ; Ex : peut-on se marier pour obtenir la nationalité française ?, NON car la finalité du mariage est de fonder une famille et non pas d’obtenir la nationalité française. Le quand désigne le domaine d’application et les limites de la règle, A quelle situation juridique la règle s’applique-t-elle. Ex : Est-ce que le mariage est ouvert à un frère et une sœur ? NON. Le comment désigne le caractère impératif ou supplétif de la règle et désigne le type de sanction applicable

objectif comme l'ensemble des règles à caractère juridique. Une compréhension exacte du phénomène du droit objectif nécessite que la notion de règle de droit soit précisée. En synthétisant, on peut définir la règle de droit comme une norme (écrite ou non) à caractère générale et impersonnelle dont l'inobservation est sanctionnée par l'autorité publique. La règle de droit présente un certain nombre de caractères qui facilite son identification. Certains de ces caractères se retrouvent pourtant dans

ce régime apparaît tout autant notion de loi, ce qu’elle est. On trouve successivement les personnes (livre1), les bien et les différents de la propriété (livre2), les différent manières (livre3), les sûreté (livre4) et Mayotte (livre5). Des le plan, tant les notions fondamentales des droit civil (pers, bien et propriété) ainsi que les lien qu’entretiennent les notions fondamentales. Les personnes sont celles pour lesquelles les droits sont construisent pour survivre et s’épanouir, les personnes

procès d’assise, c’est un procès qui se déroule devant la cour d’assise qui juge les crimes. Cet exemple est réducteur, la société compte beaucoup plus de problèmes de murs mitoyens que d’assassinat. L’homme de bureau voit dans le droit un ensemble de lois, de décret un corps de règles. L’ontologie juridique, c'est-à-dire l’étude de ce que le droit est (discours sur lettre) est souvent négligé par les juristes. Nous allons nous référer à Kant qui s’est posé deux questions : Quid Juris (signifie quelle

civil : Méthodologie, LGDJ, 10è éd., 2005. - Alain SERIAUX, Marc BRUSCHI, Le commentaire de textes juridiques : Lois et règlements, Ellipses, 2è éd., 2007. - Thierry GARE (sous la direction de), Annales : Introduction et droit et droit civil : Méthodologie et sujets corrigés, Dalloz, 2009. B- Les codes On appelle « code » un ouvrage qui réunit en les ordonnant l’ensemble des lois, décrets et arrêtés d’une même branche de droit. - Code des obligations civiles et commerciales (COCC), EDJA,

objectif comme l’ensemble des règles à caractère juridique. Une compréhension exacte du phénomène du droit objectif nécessite que la notion de règle de droit soit précisée. En synthétisant, on peut définir la règle de droit comme une norme (écrite ou non) à caractère générale et impersonnelle dont l’inobservation est sanctionnée par l’autorité publique. La règle de droit présente un certain nombre de caractères qui facilite son identification. Certains de ces caractères se retrouvent pourtant dans

bien la constitutionnalité des décrets pris sur le fondement de la constitution (exemple : décret de nomination de l’article 13). De fait, avec l’extension des garanties du droit communautaire, le juge écarte souvent la loi inconstitutionnelle pour non conventionalité. Le CE peut aussi se permettre des « audaces » et considérer que la loi est transparente si la loi ne pose pas de conditions à l’exercice d’une compétence : CE 1991 Quintin. CC 1976, élection de l’assemblée européenne

bien la constitutionnalité des décrets pris sur le fondement de la constitution (exemple : décret de nomination de l’article 13). De fait, avec l’extension des garanties du droit communautaire, le juge écarte souvent la loi inconstitutionnelle pour non conventionalité. Le CE peut aussi se permettre des « audaces » et considérer que la loi est transparente si la loi ne pose pas de conditions à l’exercice d’une compétence : CE 1991 Quintin. CC 1976, élection de l’assemblée européenne au suffrage