Platon Autorité Et Finalité

suffisamment distingué de l’artisan pour échapper au mépris qui, depuis les grecs, enveloppe les arts « serviles ». A cet égard, il est symptomatique de constater que Saint Thomas d’Aquin, par exemple, ne fut pas plus sensible aux cathédrales que Platon à l’Acropole. Pour toute une tradition classique, l’art se résume en fait à un simple « savoir-faire », vaguement soutenu par un peu de théorie.  L’autre signification du mot « art » est beaucoup plus moderne et désigne la création de choses belles

ainsi que leur objet (partie A). D’autre part, la finalité et la sanction de la règle de droit et de la règle morale divergent (partie B). A – SOURCE ET OBJET La première distinction qui s’établit entre la règle de droit et la règle morale concerne la source de ces règles. En effet, la règle de droit tire son origine de la puissance étatique, qui est une source extérieure à l’Homme. A ce titre, la règle de droit est donc édictée par une autorité publique habilitée à cet effet. En France, il

philosophie o 2.1 Conditions matérielles  o o 2.1.1 Les influences culturelles 2.2 Les premiers philosophes 2.3 Socrate    o o o • 2.3.1 L'invention du concept 2.3.2 Le dialogue socratique 2.3.3 La réflexion critique 2.4 Platon 2.5 La philosophie hellénistique 2.6 Origines philosophiques 3 Spécificité de la philosophie o o 3.1 Philosophie, mythes et religion 3.2 Philosophie et opinion   o 3.2.1 L'opinion 3.2.2 Philosophie et sophisme 3.3 Philosophie et

PARMENIDE (Elée) ; en Sicile, EMPEDOCLE ; à Chypre, XENON. De nombreux philosophes Grecs se sont en effet retirés dans des colonies. Il ne faut cependant pas oublier qu’Athènes accueillit plusieurs des plus grands philosophes de l’Antiquité : ARISTOTE, PLATON. La civilisation grecque domina le bassin méditerranéen pendant plusieurs siècles, grâce au rayonnement d’Athènes (démocratie, capitale des arts et des lettres ≠ Spartes (cité rivales) qui concentrait les forces militaires de l’époque à défaut des

portée de notre sujet à savoir : « Qu’est-ce qu’un maître en éducation ? » Comme le soulignait Freud ironiquement « éduquer, soigner et gouverner constituent trois professions impossibles ». Il parait difficile d’atteindre cet équilibre entre autorité et transmission, et parallèlement entre dominant et dominé. Plus récemment Le Monde de l’Education (juil août 2005) consacra plusieurs articles sur cette relation maître –élève essayant de savoir « qu’est-ce qu’un maître, à l’heure où l’autorité

:   > REPUBLIQUE Source Wikipédia   Le mot « république » provient du latin res publica qui signifie au sens propre « chose publique » et désigne l’intérêt général puis le gouvernement, la politique et enfin l’État. La république (Politeia) de Platon, Le politique (Politike) d'Aristote, et De la république (De re publica) de Cicéron, traitent tous des formes de gouvernement. Res, en langage juridique latin désigne la cause plaidée (Dictionnaire étymologique latin). Historiquement, il s'agit de

abordé par Platon en matière de régime politique et comment le règle-t-il ? Pour Platon, la masse populaire est assimilable par nature à un animal esclave, victime de ses passions et de ses caprices, manipulable, inconstant ; accepter le gouvernement du peuple, c'est accepter la tyrannie d'un animal incapable de réflexion et constance. L’idée-force de sa philosophie politique est: « le savoir conditionne l’action ». C’est-à-dire, qu’il faut éduquer avant de gouverner. Pour Platon, le peuple

cité. Les mécanismes essentiels du droit interne privé ont été élaborés par le droit civil : le droit des personnes, le droit de la famille, le droit des obligations … C- LE DROIT PENAL Le droit pénal n'est ni privé ni public, il présente 2 finalités : il tend à assurer le maintien de l'ordre social et pourrait ainsi être rattaché au droit public il réprime le dommage causé par l'auteur d'une infraction à une victime et il concerne alors les rapports entre les individus, il se rattache

pense pas la sensibilité comme de l'intelligence obscurcie, mais comme une faculté ayant son fonctionnement propre, une faculté essentielle à la construction d'une pensée conceptuelle. Ainsi – à l'instar de Schelling et Hegel – Kant conçoit-il la finalité de l'art comme un plaisir accompagnant la représentation en tant que mode de connaissance. Adorno n'en pense pas moins lorsqu'il affirme que « toutes les œuvres d'art, et l'art en général, sont des énigmes. Le fait que les œuvres disent quelque

disaient les Grecs problema. Et c'est bien l'analyse qu'en fait Platon, dans le MENON, lorsqu'il lance sa formule célèbre: "Nul n'est méchant volontairement". Il ne veut pas dire qu'il y a une innocence fondamentale de l'homme, un angélisme gaffeur! Il veut dire que le Cosmos (# chaos) inscrit la volonté humaine dans sa régularité, et cette volonté, parce qu'elle est liée à la raison ne peut démentir son calcul. Et lorsque Platon parle de moralité, ce n'est pas dans le sens Chrétien qu'il emploie