Platon Cité Idéale

PLATON Platon (en grec ancien Πλάτων / Plátôn, né à Athènes en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C.1) est un philosophe grec, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes, qu'il critiqua vigoureusement. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate, Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d'élaborer sa propre pensée qui explore la plupart des champs importants, notamment la métaphysique, l'éthique, l'esthétique et la politique. Diogène

d-541 b, Platon dit que le vrai philosophe est un homme libre qui, à la tête de la cité, voit la justice « comme la chose la plus importante et la plus nécessaire ». Or, on sait que la cité est organisée selon un ordre hiérarchique clairement défini et contraignant et que « l’homme lui ressemble ». Comment démêler ce paradoxe apparent ? La justice est un sujet phare de la philosophie de Platon. Pour lui, c’est une des clé de voûte pour une vie en société idéale. La justice de Platon permet de

critiquant l’ancien régime. Texte 2, de Platon, « Critias » : Platon, dans le Timée et le Critias, s'attache à la description d'une cité idéale. Le philosophe grec poursuit dans ces deux ouvrages un but précis : démontrer aux hommes de son époque que dans les temps anciens la Grèce avait été capable de vaincre des ennemis puissants, commandés par des rois fabuleux. Ces livres constituent donc une mise en garde contre une décadence possible de la cité grecque, pour peu qu'elle abandonne les principes

humains vivraient parfaitement en communauté est la République de Platon. Cette œuvre philosophique marque un tournant dans l’évolution de la pensée platonicienne, mais aussi dans celui de la culture occidentale. Un compte rendu exhaustif de la réception de ce dialogue de Platon serait impossible car, dès l’Antiquité, un philosophe romain comme Cicéron s’amuse déjà à composer sa propre version de la République, en hommage à Platon. Ce texte a une longue histoire et il faut bien reconnaître la

avons Glaucon, un personnage de la République de Platon. L’allégorie de la caverne : Elle met en scène des hommes enchaînés et immobilisés dans une demeure souterraine qui tournent le dos à l'entrée et ne voient que leurs ombres et celles projetées d'objets au loin derrière eux. Elle expose la pénible accession d’un homme à la connaissance de la réalité, ainsi que la non moins difficile transmission de cette connaissance. C’est grâce à Platon qui utilise l’allégorie de la caverne pour illustre

lois et des coutumes. De ce fait, la politique devient donc une nécessité pour l’homme, et qu’il devient alors impensable que l’homme vivant en société soit libre et n’obéissent à aucune loi et coutumes.Aristote a essayé de pensée une cité mais pas idéal comme Platon, lui, va chercher à s’inspirer d’autres cités. Il a donc étudié toutes les différentes institutions grecques pour savoir laquelle est la meilleure. Et c’est la qu’Aristote va dire que « l’homme est un animal politique », car il va chercher

La politique est l’art de gouverner, de diriger une cité. Elle prend des formes diverses selon les Etats, mais est appliquée de façon quasi-universelle. La fin peut endosser plusieurs sens. Tout d’abord elle peut être utilisée dans son sens propre, comme la disparition d’un phénomène, mais elle peut également être définie comme la recherche d’un but ou les limites d’un phénomène. Les deux termes présentent des contradictions. En effet, la cité gouverné aurait t-elle un but, dans quel cas elle serait

société abandonnée à l'« hybris ». Couple de notions qui apparaît de façon très nette dans les textes grecs, notamment ceux d'Hésiode (période archaïque), voire de Platon. La société des hommes est représentée comme habitée d'une tension. Les poètes de l'époque témoignent de ces agitations et démesures. Platon dans la cité idéale qu'il veut construire dans Les lois (340 AVJC) propose une exhortation à vaincre sa démesure en se constituant une mesure intérieure. Enfin chez Hérodote on réfléchit

philo politique ? Il faut étudier les mots et les définir. La politique (polis : cité ; teukein, pratique de la cité). On peut tirer plusieurs questions de l’étymologie : le mot cité est une embelli cation, tournure emphatique. Aussi dans l’exercice de la politique il y a de la pratique (pratique de la cité). Mot qui a un problème de genre (masculin et féminin) : le politique = l’homme politique (dans son ouvrage Platon nous dit que c’est un pasteur (berger) et tisserand ; pasteur pour l’autorité et

écoles philosophiques hellénistiques donc L’Académie de Platon/ Le Lycée d’Aristote/ Le Jardin d’Epicure/ et Le Portique des stoïciens. (cf :moodle). Lire textes grecs anciens (au moins extraits) et 2 ouvrages les plus utiles : Le Protagoras de Platon dans édition mentionnée et Le livre de Laurent Pernot sur la Rhétorique dans l’Antiquité. Explication des 3 éléments du titre= Pö , Rhé, Ethique. Pô : Le mot pô vient du grec « polis »= la cité-état dont les membres étaient des citoyens « polites »