Platon Critique De La Démocratie

forme de la rhétorique panégyrique ou épidictique (rhétorique d’apparat), un exercice de virtuosité gratuite ou de basse flagornerie exécuté pour l’unique bon plaisir du prince. C’est là sans doute la conséquence du conformisme latent, dénoncé par Platon, qui conduit le sophiste à aliéner la vérité au vraisemblable et la science à l’opinion. Mais c’est encore un effet de l’histoire des institutions : l’art oratoire paraît dans toute sa majesté dans l’Athènes démocratique du Ve siècle, et renaît avec

Strauss, « Sur la République de Platon », La cité et l’homme, Paris, LGF, 1987. Textes du recueil Héraclite, Fragments. Charles de Gaulle, Discours des 18 et 19 juin 1940. Lectures complémentaires Albert Camus, « La libération de Paris » in Actuelles, Ecrits politiques, Paris, Gallimard, 1950, p. 18-23. Quentin Skinner, « Préface » in Les fondements de la pensée politique moderne, Paris, Albin Michel, 2001, p. 7-14. Séance n° 3 : De la cité des philosophes-rois chez Platon à l’égalisation des conditions

stote surnommé le Stagirite, est un philosophe grec né en 384 av. J. -C. à Stagire, en Macédoine, est mort en 322 av. J. -C. à Chalcis, en Eubée. Disciple de Platon à l'Académie pendant plus de vingt ans, il prit ensuite une distance critique vis-à-vis des thèses de son maître et fonda sa propre école, le Lycée. Il fut également le précepteur d’Alexandre le grand. Sa conception de l'être comme « substance » (ou ontologie), et de la métaphysique comme

sûreté sans loi. Il n’y a donc pas de liberté sans loi, mais les lois étant idéalement l’expression du peuple (car dans le cas du contrôle réciproque des pouvoir il contrôle le pouvoir législatif) elles sont donc dépendantes de sa liberté. Dans une démocratie les représentants du peuple décident des lois, par extension c’est donc le peuple qui décide. Ses lois ayant pour finalité de garantir les libertés, la sûreté et la sécurité de ce peuple, il est légitime que le peuple décide fasse lui-même les lois

la peinture sont destinées à décorer. Pour ses détracteurs l’art, l’art au contraire de la science et de la technique qui ^participe concrètement au développement socio-économique de la société, ne joue pas rôle. De même certains philosophes comme Platon cachait mal leur haine pour la poésie et la musique. Pour lui l’art est une copie imparfaite de la vérité, voire une illusion mensongère. C’est pourquoi, il a écrit :<<il faut chasser les poètes de cité>>La république L’art pour le

mère, Phéstias, était une sage-femme originaire de l'île d'Eubée. Il est mort en 322 av. J.-C. à Chalcis, en Eubée. Philosophe macédonien qui fut précepteur d’Alexandre le Grand, il faut aussi le disciple de Platon à l'Académie pendant plus de vingt ans, il prit ensuite une distance critique vis-à-vis des thèses de son maître et fonda sa propre école, le Lycée. Auteur de nombreux livres tels que : Métaphysique Petits traités d'histoire naturelle Constitution d'Athènes Les Economiques La politique

amenant à l’hypothèse extrême qu’elle n’existe peut-être même pas (P.Bourdieu), c’est parce qu’elle est limitée dans le temps (doxa vs connaissance dans les dialogues de Platon, esprit critique des Lumières vs obscurantisme…) et dans l’espace (existence d'une opinion publique mondiale?). Mais aussi selon le rapport à autrui : •  démocratie •  prosélytisme OP + volonté qu'autrui puisse comme moi s'exprimer OP + volonté qu'autrui pense comme moi OP + volonté qu'autrui soit réduit au silence

ALAIN conclut fortement sur ce qui lui semble être la cause d'un si grand mal : le manque de fermeté ; l'absence ou l'insuffisance de courage qu'il faut pour penser et juger par soi-même en toute circonstance. B - UNE REFLEXION CRITIQUE SUR LE POUVOIR EN DEMOCRATIE 1 - La responsabilité du citoyen Ce texte ne manque pas d'intéresser le citoyen que nous sommes. Il nous rappelle d'abord tous à notre responsabilité individuelle : même en politique, surtout en politique, ne renonçons jamais

Grèce Antique : Protagoras qui est désigné par Platon comme un sophiste (désigne à l'origine un orateur et un professeur d'éloquence de la Grèce antique)Il critique le principe de vengeance, car une fois que le mal est fait, il ne peut être annulé par aucune action. Ainsi pour lui, si la peine de mort doit être infligée par la société, c'est uniquement pour protéger cette dernière contre le criminel ou encore dans un but dissuasif. Platon, pour sa part, voit dans la peine de mort un moyen

Hahahahaha Beeeeeeee5 by Sabine Exercer son esprit critique, c'est douter. Pour accéder à la connaissance pleine et entière de la valeur d'une chose, il faut nécessairement remettre en cause sa légitimité, son fondement. Celui qui ne doute pas de ce qu'il voit ou de ce qu'on lui a dit n'atteindra jamais la vérité : il fera confiance à l'opinion commune, souvent erronée et toujours malléable, ou à ses sens, généralement trompeurs. Celui qui ne doute pas croira que le Soleil tourne autour de la Terre