Platon Criton

de manque, que nous ne désirons plus. Le désir semble donc être par essence ce qui ne peut se satisfaire de la réalité. Ici, vous pouviez penser aux analyses de Platon dans le Gorgias lorsqu’il compare le désir au tonneau percé des Danaïdes, toujours plein, toujours vide et impossible à remplir. Autre référence possible ; toujours Platon dans le Banquet lorsqu’il en retrace l’origine à travers le récit mythique de la naissance dErosfils de Pénia (pauvreté) et de Poros, son père, richesse. Entre dénuement

A travers la réalisation de ce dossier « Les différents abus de pouvoir contre les femmes », j’ai certes découvert tout ce que les femmes pouvaient encore subir aujourd’hui, mais surtout, j’ai découvert un tas de choses que tout le monde ne sait pas forcément et dont je ne soupçonnais pas l‘existence. Par exemple au niveau historique, une foule de personne ignore encore la situation misérable que les femmes pouvaient avoir, il y a seulement 50 ans. Tout ça pour l’unique raison que tous ces abus de

Le philosophe américain Thomas S. Kuhn dans son œuvre "la structure des révolution scientifiques" oriente sa réflexion sur la notion de paradigmes suggérant l'idée d'une science gouvernée par un ensemble de schémas conceptuels accepté par la communauté scientifique et même la société. Ainsi Kuhn réfute la prétendue neutralité d'une démarche scientifique et conçoit l'action probable d'un certain nombre de présupposés sur la recherche scientifique. Pour lui, l'histoire des sciences se résumerait par

d-541 b, Platon dit que le vrai philosophe est un homme libre qui, à la tête de la cité, voit la justice « comme la chose la plus importante et la plus nécessaire ». Or, on sait que la cité est organisée selon un ordre hiérarchique clairement défini et contraignant et que « l’homme lui ressemble ». Comment démêler ce paradoxe apparent ? La justice est un sujet phare de la philosophie de Platon. Pour lui, c’est une des clé de voûte pour une vie en société idéale. La justice de Platon permet de

de la vérité d’être relative et non absolue. On peut donc se demander si lorsqu’on dit « à chacun sa vérité », le mot de vérité garde un sens et si oui lequel.   On peut effectivement soutenir comme le sophiste Protagoras selon le témoignage de Platon dans le Théétète que la vérité réside précisément dans le fait que l’homme au sens de l’individu est ce à partir de quoi il y a vérité. On appelle vrai ce qui nous paraît être et qui donc est pour nous. On appelle faux le contraire. De sorte que lorsque

stoïcisme apparaît en 332 avant JC et il est crée par Zénon. Le stoïcisme continue à être enseigné jusqu’au IIème siècle après JC avec Cicéron, Sénèque, Marc-Aurèle. L’épicurisme apparaît à la même époque. En rejetant toutes deux les philosophies de Platon et d’Aristote, ces deux philosophies sont des doctrines morales ; elles proposent des règles de vie propre à atteindre le bonheur et la sagesse. Le bonheur a pour nom ataraxie (= absence de troubles, pais de l’âme). Ces deux philosophies proposent

la civilisation occidentale », reprend l’idée de Nietzsche, qui constate que le nihilisme est la conséquence de la métaphysique, car il a poussé les Hommes à croire en un arrière-monde. Ce concept que Nietzsche consiste à critique les philosophes (Platon et Descartes par exemple) qui croient en l’existence d’un monde supérieur. C’est ici que Nietzsche affirme que les valeurs morales se ramènent à deux systèmes d’origine différentes ; la morale des faibles et la morale des forts. Selon lui, penser

utilisation potentielles) Imagination et pensée Leibniz : « les plus abstraites pensées ont besoin de quelque img° » (Philosophische Abhandlungen) - Pensée ne peut dvlper d’activité cognitive sans avoir recours aux images (visuelles, verbales) Platon : figures mathématiques permettent de voir objets supérieurs aperçus uniqt par la pensée Quéau : métaphores sont au langage poétique ce que les modèles sont au langage scientifique = manifester de manière indirecte ce qui ne se laisse pas appréhender

Les trois textes du corpus, Montesquieu « lettres persanes», Flaubert « Madame Bovary » et Malraux « La condition humaine » illustrent parfaitement les remarques de Camus sur le roman et sur le héros du roman. Effectivement, les romanciers ont tous créé un univers ou leur héros n’aura pas d’échappatoire face à son destin. L’univers de Roxane (Texte 1), est un « affreux sérail » ou des « gardiens sacrilèges Les trois textes du corpus, Montesquieu « lettres persanes», Flaubert « Madame Bovary » et

s'écoule, tout est en mouvement, tout se transforme : "nous ne nous baignons pas dans le même fleuve". Socrate (470-399) n'a pas écrit une ligne ; on ajoute souvent :"comme Jésus". L'absence d'ouvrages sert son prestige. Nous le connaissons grâce à Platon, son disciple de quarante-deux ans plus jeune. Pour lui, "Connais-toi toi- même" signifiait qu'il faut atteindre la connaissance et la maîtrise de soi et s'affranchir des spéculations idéologiques et des explications théologiques. Il eut le sentiment